eBoons, Le Pro de l'achat malin : e-commerce

Le blog eBoons propose une synthèse des informations récoltés sur le net sur les sites marchands, le e-commerce et les technologies numériques aux services du e-business. Notre logique: vivre moins chère sans se priver !

2009-08-03

E-commerce français : 5,24 milliards d’euros au second trimestre

Stratégies & marchés


31-07-2009

Par Jose Diz


Santé insolente pour le e-commerce au dernier trimestre. Les chiffres de l’Acsel apportent un peu de gaité dans une conjoncture morose.

Les sites de commerce électronique français auraient enregistré un chiffre d’affaires de 5,24 milliards d’euros au second trimestre 2009, soit une hausse de 30% comparé au second trimestre 2008. Pour parvenir à dépenser cette somme, les internautes ont réalisé 50,5 millions de transactions, soit une progression de + 35 % en un an. Logique, plus de passage, plus de ventes… Ces chiffres sont tirés du baromètre trimestriel de l’Acsel (Association de l’économie numérique), qui s’appuie sur les données fournies par les intermédiaires de paiement en ligne (Atos, Crédit Mutuel, Monext, Ogone, Paybox, PayPal, SP Plus/Caisse d’épargne ; incluant les cartes privatives).

Et mon e-entreprise, connait pas la crise
Par rapport au premier trimestre, la croissance est de + 3 %, tandis que le premier trimestre affichait lui une légère baisse par rapport au quatrième trimestre 2008.Ce chiffre d’affaires et cette croissance peuvent surprendre en période de crise. Néanmoins, l'Acsel explique que : « la dynamique du marché est en partie soutenue par l’arrivée de nouveaux entrants qui affichent assez logiquement des taux de progression plus élevés que les acteurs installés depuis longtemps sur le marché.»


Par ailleurs, le groupement des cartes bancaires indique que plus de 8% des transactions réalisées sur les sites des e-commerçants français sont effectuées par des porteurs étrangers, alors qu’ils ne représentent que 3% de l’activité globale Cartes Bancaires.



La logique est de vivre moins chère sans se priver !

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet
www.eboons.com

2007-05-22

Google connaît sa première évolution majeure en neuf ans


Depuis sa création, le géant de la recherche en ligne n'avait pas connu de mutation importante. C'est désormais chose faite avec une nouvelle version bâtie sur son concept de « recherche universelle ».

Jean-Baptiste Su (dans la Silicon Valley) , 01net., le 21/05/2007 à 18h30







Google unifie ses index. En apparence, le changement n'est pas très spectaculaire. C'est pourtant l'évolution la plus importante apportée au moteur de recherche depuis sa création, il y a presque neuf ans.

« Jusqu'à présent, lorsqu'un utilisateur lançait une recherche, il fallait qu'il choisisse dans quel index chercher : les pages Web, les images, les vidéos, les actualités, etc. Ce n'est plus le cas aujourd'hui, car notre nouvel algorithme le fera pour lui et affichera les meilleures réponses quel que soit leur type (texte, images, plans, vidéos, etc.) », explique Marissa Mayer, vice-présidente chargée des produits et des services grand public au sein de Google.

Par ailleurs, grâce au lecteur vidéo intégré au moteur de recherche, il est enfin possible de visualiser une vidéo YouTube et Google Video directement dans la page de résultats au lieu d'être renvoyé, comme c'était le cas jusqu'à présent, vers ces sites respectifs. Pour l'instant, ces changements ne sont visibles que sur la version américaine de l'outil. Mais cette évolution s'étendra progressivement aux sites étrangers, bien qu'aucun calendrier n'ait encore été précisé.

Une nouvelle barre de navigation

En marge de la refonte de son moteur, Google fait une petite entorse à sa tradition d'extrême sobriété graphique. Sa page d'accueil (et toutes les pages de recherche) s'enrichit d'une barre de navigation donnant accès en un clic à tous les services proposés par la firme, dont sa messagerie électronique gratuite, Gmail.

Google a aussi intégré des menus de navigation contextuels qui s'affichent, cette fois, en dessous du logo, en fonction de la requête faite par l'internaute. Dans sa présentation, Marissa Mayer a pris l'exemple du mot « python », qui est aussi un langage de programmation. Apparaît alors un menu pointant vers les index Blogs, Livres, Groupes et Code, ce qui permet ensuite d'approfondir la recherche et de filtrer les résultats.

Pour Google, l'annonce de son nouveau moteur n'est qu'un premier pas vers la recherche universelle. Car, au fur et à mesure, l'entreprise de la Silicon Valley compte bien ajouter de nouveaux index, comme les groupes de discussion, les produits ou la finance.

A nouvel algorithme, nouvelle architecture

Pour les ingénieurs du projet, le problème épineux est que cette « recherche universelle » nécessite que tous les index soient capables de supporter des centaines de millions de requêtes par jour. Ce qui est bien sûr le cas du site principal Google.com, qui répertorie plus de 8 milliards d'éléments, mais certainement pas des autres index.

« Par exemple, les 500 serveurs du site Actualités ne traitent environ que quelques millions de requêtes par jour. En théorie, il aurait fallu multiplier par 100 le nombre de ces serveurs pour répondre à la recherche universelle. Même chose pour les autres index. Ce qui, même pour Google, n'était pas possible », reconnaît Marissa Mayer. Bien que la nouvelle architecture reste très secrète, Google n'a eu besoin que d'une fraction du nombre de serveurs supplémentaires requis.

Cependant, après avoir effectué une recherche universelle, le plus difficile reste encore à faire : déterminer la pertinence d'une page de texte par rapport à une image, à une vidéo, etc. Pour cela, les ingénieurs de Google ont dû modifier l'algorithme de recherche originel (le PageRank) pour afficher les meilleurs résultats quel que soit leur type (texte, image ou autres). Mais en la matière, concurrence oblige, le géant américain a préféré garder le secret

2007-05-20

10 plates-formes d'e-commerce


Parmi les solutions de commerce en ligne, il faut distinguer la création de sites BtoC (Business to Consumer) d'une part, et BtoB (Business to Business) d'autre part, ces derniers accessibles principalement en environnement Extranet.

"Il existe d'abord des solutions prêtes à l'emploi fournies en ASP permettant de mettre rapidement en ligne ses catalogues, et une famille de solutions packagées, Open Source ou propriétaires" résume Gaston Annebicque, manager e-Business chez Business&Decision. Nous avons choisi de nous intéresser dans ce panorama à ce second type d'offres.

Les critères de choix
1 Les capacités de dimensionnement de la brique de gestion d'e-catalogue
2 La présence native d'une passerelle vers les systèmes de paiement en ligne
3 La présence d'un gestionnaire multi-site


La plupart des solutions ne limitent pas leurs capacités en étant en mesure de référencer plusieurs dizaines de millions d'articles, généralement répartis en familles, sous-familles et sous-sous-familles de produits (soit sur 3 niveaux d'arborescence). En revanche, la fonctionnalité de cross-selling visant à créer des groupes de produits et des seuils de réductions, pourra varier en fonction des offres.

"Certaines solutions permettent une gestion évoluée des catalogues à l'aide d'animations Flash ainsi qu'un suivi de la gestion des stocks permettant de déterminer des seuils d'alertes", précise Stéphane Zibi, directeur du business développement et de la stratégie, Zeni Corporation Groupe Keyrus.

"La gestion des commandes reposera sur un back-office intégré pour la mise à jour des statuts ou utilisera celui d'un progiciel de gestion déjà présent dans l'entreprise et communiquera avec ce dernier grâce à des connecteurs ou via des exports automatisés de données nécessitant un éventuel travail d'adaptation et de développement spécifique, notamment dans le cas des solutions Open Source", indique également Gaston Annebicque.



Access Commerce a réalisé un chiffre d'affaires de 9,2 millions d'euros et compte une quarantaine de références en France (60 dans le monde).

Tableau de synthèse de la solution d'Access Commerce
Editeur/Solution Tarification Clients Commentaire
Access Commerce / Cameleon Commerce Suite

Achat de licence : dès 20 000 €

Lapeyre, Thyssen Group, Manitou... La solution embarque une fonction de gestion de l'information produit (PIM) montrant notamment son utilité en cas de volume de données conséquent (nombre élevé de références produits/services)



2007-05-03

Frédéric Decaudin (BEA) : "Nous adossons notre outil de développement Web 2.0 à notre portail"






Le leader des serveurs d'applications dévoile en avant première ses solutions Web 2.0. Annoncée pour juillet prochain, la suite qu'il a conçue propose un environnement de création d'interfaces composites.


En savoir plus



La stratégie de BEA sur le Web 2.0 se précise. L'éditeur a levé le voile sur trois nouveaux produits lors d'une conférence de presse le 25 avril dernier à Paris. A cette occasion, Frédéric Decaudin, consultant avant-ventes chez BEA France, nous a accordé un entretien sur Aqualogic Ensemble. L'outil de la nouvelle gamme Web 2.0 de BEA cible le développement d'interfaces composites. La gamme qui s'inscrit dans l'offre portail de BEA est prévue pour être commercialisée en juillet prochain.

Aqualogic Ensemble (dont le nom de code était Project Runner) se présente sous la forme d'un environnement visuel permettant de combiner des tags au sein d'une interface utilisateur, et ce en vue de faire appel à différentes applications basées sur des serveurs tiers.

"L'outil répond à une forte demande de nos clients grands comptes désirant reprendre des composants existants pour bâtir des IHM", explique t-on chez BEA. Comme l'explique Frédéric Decaudin, Aqualogic Ensemble repose sur des mashup XML pour générer des appels de composants. L'éditeur a bien conscience de ne pas être le seul à se positionner sur ce créneau. Cependant, il met en avant de réels points forts fonctionnels. Au programme : un dispositif de monitoring de la performance et d'administration des interfaces.

Les deux autres produits proposés par BEA dans sa gamme Web 2.0 : AquaLogic Pages qui cible les utilisateurs finaux en leur proposant un environnement pour gérer flux d'informations et connaissances, et AquaLogic Pathways qui est présenté comme un système collaboratif expert de recherche et de partage d'informations - combinant des outils de tagging et de bookmarks, à des solutions de recherche et d’analyse d’activité.




Comment bâtir un modèle conceptuel en vue de réaliser un diagramme de classes à l'aide de l'Unified Modeling Language. Principales étapes de construction avec un exemple à la clé.

La modélisation des concepts (ou des domaines) permet d'identifier les objets importants dans une application. Ce processus nous permettra d'identifier les futurs problèmes et de mieux comprendre le fonctionnement de l'application.

Ces concepts sont représentés dans le diagramme de classes. Le diagramme de classes est la clé de la conception orientée objet.

Ce diagramme représente la structure du code à développer. Certaines applications UML permettent même d'exporter du code à partir de diagrammes de classes. Cela permet d'unifier le travail de plusieurs programmeurs au sein d'une même équipe, en plus de sauver du temps.

À cette étape d'analyse cependant, le diagramme de classes ne représentera pas toute la structure interne de l'application. Il s'agira simplement d'un premier jet du diagramme de classes.

Les concepts du domaine

Afin d'identifier les concepts-clés d'un système, nous nous référerons aux spécifications définies par les cas d'utilisation. En analysant les scénarios de cas d'utilisation, les éléments suivants seront identifiés comme des concepts possibles :

» des objets réels ou tangibles,
» des lieux des transactions,
» des rôles ou des métiers (un Client, un Vendeur),
» des systèmes externes à l'application,
» des noms abstraits (la Soif),
» des organisations des événements.





2007-04-30

Commerce électronique, l'avis d'un professionnel du marketing

par : Laurent Hanout


A l'heure où comme le branle-bas de combat chez différents ministères sur cette question du commerce électronique après le dernier conseil ministériel sur le sujet, nous avons jugé instructif de donner plus de visibilité à cette réaction d'un de nos lecteurs, professionnel du secteur.

« La situation tunisienne est simple. Pour un entrepreneur qui voudrait se lancer, il existe d'énormes potentiels à l'exportation, alors qu'il n'y a tout simplement aucun avenir sur le marché intérieur à court terme. Comme frein sur le marché intérieur, vous évoquez le très faible usage des cartes bancaires et donc la difficulté du paiement en ligne. C'est vrai, mais il est un autre gros écueil à l'autre bout de la chaîne : la livraison ! Dans tous les pays où le secteur de la vente à distance est important, et le e-commerce en fait partie, le service postal est de qualité. L'essentiel des livraisons repose sur la capacité des postes nationales à traiter des colis dans un délai raisonnable, à des coûts réduits, avec une fiabilité importante (pas de colis égarés). Le service colis de Deutsche Post en Allemagne ou celui de Belgium Postal Services en Belgique sont performants, Coliposte filiale de La Poste en France essaie d'être à niveau : référentiel de toutes les adresses possibles sur le territoire, identification individuelle des colis par code barre, « tracking » (suivi) des colis en ligne, gestion des retours. Parfois, les délais ne sont pas tenus, mais ça finit par arriver dans 99,7% des cas.

Supposons que, demain, j'ai 5 000 clients individuels à livrer, répartis dans toute la Tunisie, combien recevront leur commande, dans combien de temps et à quel tarif unitaire ? En Allemagne, une majorité de clients paient leur commande au facteur, à réception du colis, le fameux « paiement contre-remboursement », formule avantageuse qui garantit au commerçant de ne pas avoir d'impayé et au client de payer ce qu'il prend, comme en magasin. Est-ce imaginable en Tunisie ?

A l'export, en revanche, tout est théoriquement ouvert, parce qu'il existe une demande solvable. La « mondialisation », le consommateur l'a intégrée, il n'a pas d'opposition de principe à acheter directement loin. Cependant, il faut être compétitif : face à La Redoute.fr dans les vêtements et la déco ou cdiscount.fr dans beaucoup de domaines, quel sera son avantage soit de prix, soit de qualité, soit d'originalité ? Concevoir un site performant, contrairement aux idées reçues, ça coûte cher, aussi cher que de bâtir un beau magasin. Ca commence par avoir bien positionné son offre, puis savoir la mettre en valeur avec de belles photos et des textes bien écrits et sans faute de grammaire ni d'orthographe, dans chacune des langues des pays visés. Très peu de sites web tunisiens actuels peuvent y prétendre. Celui de Doremail est peut-être le meilleur sur le plan de l'esthétique, l'ergonomie nécessiterait encore des améliorations. Et il faut réinvestir continuellement, pour renouveler les offres, les contenus, acheter des mots-clés sur les moteurs de recherche pour générer du trafic, collecter légalement de nouvelles adresses e-mails (en Tunisie, aujourd'hui, on spamme, mais dans tous les pays occidentaux, ces pratiques sont désormais passibles de prison et de lourdes amendes). D'ailleurs, les e-mails postés depuis la Tunisie n'arrivent quasiment plus à leurs destinataires occidentaux, les filtres anti-spam les éliminent systématiquement, tous mes amis parisiens ne reçoivent plus mes mail sur mon adresse.tn… De plus, il faut qu'il soit rassuré sur la fiabilité du commerçant, depuis le paiement en ligne jusqu'à la livraison. De ce point de vue, comme je l'ai expliqué aux autorités, il faut utiliser les systèmes de paiement sécurisé en vigueur sur les marchés visés : un système français pour le marché français, un système allemand pour le marché allemand, etc. Ce n'est pas une question technologique, c'est une évidence culturelle indiscutable. Ensuite, la question logistique demeure un facteur bloquant. Les prix pratiqués par La Poste et Rapidpost sont trop élevés, les délais insuffisamment garantis. Quant à travailler avec des prestataires logistiques européens spécialisés dans le traitement des colis de VAD, encore faudrait-il avoir accès aux plateformes logistiques modernes dont on parle depuis 4 ans… Ceux qui me connaissent savent que j'ai fondé un site marchand exportateur de l'artisanat, LENARGHILEBLEU.COM, en 2003, avec de grandes ambitions, tout en enseignant le e-commerce à l'IHEC. 18 mois plus tard, je suis rentré en France, où j'ai travaillé dans de grandes entreprises de distribution « multicanal » (e-commerce, boutiques et catalogues papier), le BHV (Galeries Lafayette), puis les jardineries DELBARD. A l'époque, l'impossibilité de trouver des investisseurs tunisiens pour m'accompagner a laissé ce site à l'état de simple projet. Ces 4 dernières années, le e-commerce a connu en Europe des taux de croissance de +35 à + 60 % par an, soit un quadruplement du marché : 8 milliards d'€ de CA rien qu'en France en 2006 ! Pendant ce temps-là, au Maroc, je constate que ça avance plus vite et plus solidement. Les sites de e-commerce qui se sont créés dans les années 2002-2003 sont presque tous sortis du rouge au bout de 3 à 4 ans, et ont pris une valeur certaine. Alors, oui, tournons la page du site «welcome to Tunisia» et du e-dinar, et cherchons à rattraper le temps perdu» !

2007-04-27

Augmentation du nombre des adeptes du commerce en ligne

Le e-commerce se porte bien






Par Judith SCHLUMBERGER
Le Journal du Dimanche
>"> Après les très bons résultats de 2006 (+ 37%), la progression du commerce sur internet s'est poursuivie durant les trois premiers mois de 2007. Le chiffre d'affaires de l'ensemble des sites de ventes en ligne a grimpé de 40% par rapport au même trimestre de l'année dernière et a atteint 4 milliards d'euros. Il pourrait atteindre 18 milliards d'euros en 2007.

La Fevad (Fédération des entreprises de vente à distance) qui réunit plus de 370 entreprises et près de 600 sites internet présentait aujourd'hui les résultat de ses études. Cette progression est dopée par la création de nouveaux sites. Leur nombre a triplé en trois ans. Il y a désormais plus de 22.000 sites marchands actifs et pour ce seul trimestre, leur nombre a augmenté de 10%.

Pour réaliser cette étude, la Fevad s'est appuyé sur les résultats de 32 sites leaders (Anyway, Fnac.com,, la Redoute, Surcouf ou encore Topachat) qui représentaient à eux seuls près de 42% du chiffre d'affaires total du e-commerce en 2006 et qui concernent trois grands secteurs : la vente aux particuliers, la vente aux professionnels et celui du voyage et des loisirs.


La tendance a la hausse profite notamment aux agences de tourisme en ligne dont le chiffre d'affaires grimpe de 22% alors que le marché des agences de voyage classiques, ne progresse, lui, que de 6,5% sur ce même premier trimestre 2007. La Fevad a également interrogé les sept plateformes sécurisées de paiement qui confirme la hausse des montants des paiements en ligne et celui du nombre des transactions.

Il y a désormais environ de 18 millions de cyberacheteurs en France, ce qui place l'Hexagone au quatrième rang européen. 53% des acheteurs en ligne ont plus de 35 ans mais les deux tranches d'âge qui progressent le plus rapidement sont les moins de 25 ans et les plus de 50 ans. Enfin, le trio gagnant des sites les plus visités demeure eBay (qui séduit à lui seul près de 40% des internautes) Fnac.com et Voyages-sncf. com, suivis de Cdiscount, La Redoute ou encore Amazon et PriceMinister.




2007-04-26

Consacrer davantage la culture du e-commerce

Tunisia Online (Tunis)
ACTUALITéS
25 Avril 2007
Publié sur le web le 25 Avril 2007
Tunis


Le Président Zine El Abidine Ben Ali a souligné, mercredi matin, lors d'un conseil ministériel consacré au commerce électronique, l'importance de ce nouveau type de transactions et l'impératif de mettre en place les incitations à même d'impulser le commerce électronique, de manière à promouvoir davantage l'activité commerciale et de dynamiser les exportations.


Le conseil a passé en revue l'évolution des indicateurs liés à l'utilisation des transactions commerciales électroniques au niveau du marché intérieur et des exportations, ainsi qu'à celui des prestations publiques à distance.

Dans le souci de consacrer davantage la culture du e-commerce, le conseil a retenu un ensemble d'objectifs consistant notamment :

- à promouvoir les transactions électroniques sur le marché intérieur, à travers le développement des échanges entre les entreprises d'une part et entre les entreprises et leurs clients d'autre part, ainsi qu'à travers l'augmentation du volume des transactions électroniques avec l'étranger,

- à créer de nouveaux sites de shopping et à oeuvrer à la généralisation des sites web de commerce dans les espaces commerciaux,

En vue de réunir les conditions propices à la réalisation des objectifs fixés, le Président de la République a ordonné l'élaboration d'un programme visant à développer le nombre des entreprises qui optent pour le e-commerce et à en assurer le suivi.

Ce programme sera axé, notamment, sur la création d'une pépinière de projets de services à distance et la mise en place d'une unité d'information et d'orientation des projets de commerce électronique.

Le Chef de l'Etat a, par ailleurs, recommandé de mettre en place des incitations financières et de restructurer le secteur pour élargir les échanges commerciaux électroniques.

A cet effet, il a été décidé de créer un régime d'assurance couvrant les opérations financières en ligne et de former des experts judiciaires, en particulier dans les domaines de la signature, de la certification et de l'archivage électroniques.

Dans le but d'impulser les échanges commerciaux électroniques entre les professionnels, notamment dans le cadre de l'activité des entreprises publiques, le Chef de l'Etat a ordonné d'adopter le e-commerce dans les marchés publics, chaque fois que cela est possible, et d'encourager les entreprises publiques à adhérer au système du paiement électronique.

Par ailleurs, le Président Ben Ali a insisté sur l'impératif de renforcer les efforts visant à ancrer davantage la culture numérique auprès des opérateurs économiques, recommandant également de veiller à poursuivre la consolidation de l'infrastructure des communications et à développer les systèmes de paiement électronique.



Il est toujours difficile de convertir les internautes en consommateurs

L'essentiel par eBoons:

  • Pour améliorer leurs taux de conversion, les détaillants Internet devraient allouer plus d’efforts à la recherche de marché quantitative traditionnelle
  • Les détaillants en ligne peuvent se servir de groupes type, du courriel et d'entretiens avec des agents de service à la clientèle pour déterminer ce qui intéresse les gens
  • E-Tailing fait écho à cette observation, indiquant que les sites de commerce en ligne les plus performants – ceux dont le taux de conversion dépasse 10%
Les préférences de leurs consommateurs :des services personnalisés peuvant servir d’outils promotionnels pour favoriser la loyauté et la rétention des consommateurs
  1. Proposer l’expédition gratuite et sans restrictions de sa marchandise
  2. Disposer d’une plus grande variété d’options de paiement de pouvoir prendre possession de l’article en personne dans un magasin.




(Canoë)
D'après ADWeek.com

Au cours des deux dernières années, les détaillants du Web ont augmenté leur budget de marketing sans voir d’effet correspondant du côté de ventes en lignes remarquablement peu élevées.
Deux études récentes explorent le problème et en viennent à des conclusions similaires : les commerçants électroniques ignorent en grande partie les préférences de leurs consommateurs. Une de ces études met également en cause une sur dépendance aux mesures de l’achalandage Web. Les consommateurs sont plus nombreux que jamais à se procurer de la marchandise en ligne, mais le taux du nombre d’internautes effectuant des achats à un site donné sur le nombre qui ne fait que visiter demeure infime – et semble même diminuer. Les consommateurs ont dépensé 109G$ en achats en ligne l’année dernière, mais ce n'est qu’une moyenne de 2% des visiteurs à des sites de commerce en ligne qui sont convertis en acheteurs, un taux de conversion qui a peu changé aux cours des dernières années, d’après le 6e sondage annuel des commerçants du groupe E-Tailing. (Le taux de conversion avait été mesuré à 3% en 2001, selon les données de Forrester Research.) D’autre part, les détaillants en ligne ont réservé 29% de leur budget à des fins de marketing, en 2006, alors que cette proportion avait été de 27% l’année précédente, selon le sondage, qui précise que les trois quarts de ces sommes ont été réservés au marketing en ligne et le quart restant au marketing hors ligne. Le marketing par courriel s’est avéré la méthode la plus populaire pour «réabonner, rassurer et fidéliser les consommateurs», indique le sondage. Rabais saisonniers, coupons et recommandations de vente réciproque sont également au nombre des pratiques courantes. Ces méthodes ne produisent pas du tout les effets escomptés, tel que démontré par les taux de conversion résolument bas.




Selon Jeffrey Grau, analyste Web principal à la firme eMarketer et auteur de U.S. Retail
E-Commerce Update
, cette «déconnexion» entre les dépenses et les résultats peut être attribuée au fait que les détaillants en ligne font trop peu de marketing traditionnel et se fient trop aux mesures Web. Pour améliorer leurs taux de conversion, les détaillants Internet devraient allouer plus d’efforts à la recherche de marché quantitative traditionnelle», dit-il.
Les détaillants en ligne observent les mesures d’auditoires Web comme les préceptes d’une religion», poursuit-il. «Ils ne cherchent pas ce qui se trouve derrière ces chiffres.» «L’étude de marché explique aux détaillants le comportement des consommateurs, ce qui diffère d’une mesure exclusive de ce sur quoi cliquent les consommateurs», a expliqué M. Grau. «Les détaillants en ligne peuvent se servir de groupes type, du courriel et d'entretiens avec des agents de service à la clientèle pour déterminer ce qui intéresse les gens. Cependant, les analyses Web ne suivent que le comportement du consommateur sans que ces données n’expliquent le pourquoi des actions des consommateurs», dit-il. Le sondage du groupe E-Tailing fait écho à cette observation, indiquant que les sites de commerce en ligne les plus performants – ceux dont le taux de conversion dépasse 10% - ressortent du lot parce qu’ils «connaissent leurs consommateurs et leurs concurrents à un point tel qu’ils sont en mesure d’offrir un service tout en un aux internautes», incluant la commodité et des caractéristiques personnalisées en fonction de leur public cible.

Parmi les chefs de file en termes de taux de conversion:
  1. ProFlowers.com (24%),
  2. L.L. Bean (18%)
  3. QVC (17%),
D’après l’étude. Le rapport d’eMarketer décrit par ailleurs un exemple de détaillants en ligne qui ne sont pas au diapason des préférences de leurs consommateurs. Citant à l’appui les données des recherches de la firme, l'étude indique que les consommateurs préfèrent l’expédition gratuite sans restrictions à toutes les autres promotions de marketing. Les gens ont répondu qu’ils avaient une meilleure perception du détaillant, et seraient plus enclins à y acheter des produits et à recommander le site si celui-ci propose l’expédition gratuite et sans restrictions de sa marchandise. Les consommateurs ont également indiqué qu’ils considérent l’expédition gratuite mais avec restrictions au même titre qu’aucune gratuité dans l’expédition. Pourtant, en 2006, moins de détaillants en ligne ont offert cette option à leurs consommateurs qu’en 2005, préférant ajouter des conditions à leurs offres initiales d’expédition gratuite et sans restrictions de la marchandise, selon le rapport. Des recherches subséquentes de M. Grau indiquent que les consommateurs pourraient par exemple souhaiter disposer d’une plus grande variété d’options de paiement et dans d’autres cas, de pouvoir prendre possession de l’article en personne dans un magasin. «Ces services personnalisés peuvent servir d’outils promotionnels pour favoriser la loyauté et la rétention des consommateurs», dit-il.

Définition de Achalandage

Le mot "achalandage" vient du mot "chaland" par lequel naguère on désignait le client postentield'un commerçant de détail. Il reste utilisé dans les contrats pour désigner un des élémément du fonds de commerce qui est constitué par la valeur que représente la clientèle qui est le plus souvent cédée avec le fonds.






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