Le blog eBoons propose une synthèse des informations récoltés sur le net sur les sites marchands, le e-commerce et les technologies numériques aux services du e-business. Notre logique: vivre moins chère sans se priver !

2007-03-31

E-commerce : la logistique en première ligne


30/03/2007
Livraison à domicile, sur rendez-vous, via des points relais ou des automates… Des solutions sur–mesure se mettent en place pour toucher une clientèle éparpillée et très exigeante.
E-commerce : la logistique en première ligne Confronté à l'explosion du commerce sur internet dont les ventes ont doublé en deux ans en France, atteignant 12,7 milliards d'euros en 2006, le secteur du transport et de la logistique doit s’adapter à toute vitesse aux exigences de sa nouvelle clientèle.

« Les clients ne veulent plus attendre et s'il y a un hic dans la chaîne logistique, ils veulent être prévenus », selon Guillaume Darrousez, directeur général de Darty.com, qui s’exprimait lors d’une conférence le 29 mars à la semaine internationale du transport et de la logistique (SITL). Un point de vue partagé par Paul Legras, directeur logistique de Pixmania, l'un des spécialistes du commerce sur internet qui ont choisi d'assurer par eux-mêmes leur logistique. La plupart externalisent cette activité. « La qualité de la livraison et du suivi est primordiale », souligne-t-il, ajoutant « un client mal servi est perdu ».

La traçabilité au premier plan

Les opérateurs qui proposent des services logistiques ont donc mis au premier plan la traçabilité pour savoir à tout moment où en est la livraison d'un colis, et pouvoir informer en tant réel les clients que leur livraison est en cours, va arriver ou a subi un contretemps.

Le prestataire logistique est aussi étroitement associé à l'activité du commerçant en ligne sur un plan informatique, a expliqué Christian Morin, PDG du groupe familial Morin. Ce pionnier s'est lancé dès 2000 dans cette activité. Il est passé de 150 à plus de 25 000 colis par jour en six ans. Il insiste sur « l'instantanéité de l'échange de données afin de réaliser une mise à jour en temps réel des informations» entre le stock de marchandises qu'il gère et le site de vente en ligne. « Le site est crédible parce que le produit est disponible », résume-t-il.

La livraison, elle-même, subit aussi des évolutions. Pour le directeur général de Darty.com, « le vrai besoin est à domicile avec un créneau horaire ». Coliposte estime qu'il faut « s'adapter au rythme de vie de gens actifs qui ne peuvent pas attendre un colis pendant une journée ». Comme DHL l’a fait avant elle, la filiale de La Poste expérimente un système de livraison de colis dans des sortes de consignes automatiques dans des locaux sécurisés accessibles 24 heures sur 24.

Point relais : plus rapide et moins cher

Les logisticiens s’appuient aussi de plus en plus souvent sur un réseau de commerçants. Distingué par un trophée à la SITL, Mondial Relay, une filiale du groupe 3-Suisses créée à l’origine en 1997 pour le transport à domicile des colis et des produits blancs, s'est lancée sur ce créneau en 2003 avec son partenaire, Kiala. Elle assure la livraison pour le compte de sites tels que 2XMoinscher.com sur ses 3.500 points-relais en France. « L’un des avantages de ce mode de livraison, c’est sa rapidité car les colis sont livrés en 24h chez le commerçant et son intérêt économique : une livraison sur un point relais coûte de 20 à 30% moins cher qu’une livraison à domicile », précise son directeur commercial, Eric Divry.

Christine Leroy


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2007-03-29

Deux plates-formes dominent le marché




Java EE et .Net sont plus utilisées que les autres plates-formes. Les stages de formation s'adressent aux développeurs passant à la programmation objet ou se perfectionnant en vue d'un nouveau projet.

Claire Chevrier et Boris Perzinsky , 01 Informatique (n° 1894), le 26/03/2007 à 07h00

Forrester désigne Java EE (nouveau nom de J2EE depuis sa version 5, en mai 2006) et .Net comme les technologies de développement les plus populaires. Une étude de novembre 2005 démontre qu'elles sont utilisées respectivement par 35 et 44 % des entreprises nord-américaines et européennes, loin devant les autres plates-formes.

Contrairement à la tendance générale, en France, la pénétration de JavaEE l'emporte sur celle de .Net. Un sondage du Club 01 DSI de décembre 2006 sur les architectures orientées services indiquait cependant « une perception équivalente des deux plates-formes en matière de facilité de développement ».

Des cursus déclinés en trois paliers

Les entreprises utilisatrices et les SSII sont les plus grosses clientes des organismes dispensant des cours portant sur Java EE et .Net. Le droit individuel à la formation (DIF) est encore trop récent pour générer un volume significatif des demandes individuelles. Les cursus relatifs à ces deux plates-formes sont comparables.

Xavier Paradon, directeur technique de Valtech Training, y distingue trois niveaux de formation : l'apprentissage de l'objet au travers d'un langage (Java, C++, C#, etc.) ; la construction d'une application de bout en bout ; et une spécialisation sur un thème technique (Struts, EJB, etc.). Ces enseignements s'adressent à des développeurs. Soit pour les aider à passer aux nouvelles technologies, soit pour renforcer leurs compétences - par exemple, en les initiant à un framework qu'ils vont utiliser.

Tout commence par l'étape essentielle du passage à l'objet. En effet, pour un pratiquant de Visual Basic, se mettre à Visual Basic .Net n'est ni facile ni anodin. « C'est une autre façon de penser, souligne Xavier Paradon. C'est pourquoi nous conseillons un temps minimal de mise en oeuvre. » Un principe appliqué à l'ensemble des cours.

.Net devance Java/J2EE en Amérique du Nord et en Europe
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Allen Impact adopte Microsoft Dynamics AX pour faire face à la concurrence des méga-chaînes de fournitures de bureau





Allen Impact adopte Microsoft Dynamics AX pour faire face à la concurrence des méga-chaînes de fournitures de bureau



REDMOND, Washington, March 28 /PRNewswire/ --

- La société indépendante de fournitures de bureau anticipe une amélioration des opérations, du e-commerce, de l'analyse des données et des comptes-rendus, ainsi qu'un retour sur investissement deux fois plus rapide que prévu.

Allen Impact Services LLC, une des plus importantes sociétés indépendantes de fournitures de bureau, a remplacé son progiciel de gestion intégré et d'e-commerce par Microsoft Dynamics(TM) AX et Product Vertical Extensions for Dynamics AX de MBS Dev Office.

(Photo: NewsCom: http://www.newscom.com/cgi-bin/prnh/20000822/MSFTLOGO )

La société, dont le siège est situé à Beltsville, Maryland, a entamé le processus de transition de son progiciel actuel de gestion intégré Systems House vers une solution de Microsoft Dynamics et des applications sur mesure développées par MBS Dev Inc, un partenaire certifié de Microsoft qui personnalise Microsoft Dynamics AX en réponse aux besoins spécifiques des sociétés de fournitures de bureau et des autres entreprises verticales.

MBS Dev a conçu le système spécialisé de Microsoft Dynamics afin d'aider les sociétés indépendantes de fournitures de bureau comme Allen Impact à non seulement concurrencer les méga-chaînes nationales, mais à aussi étendre la qualité du service inhérente à ce type de fournisseurs à l'e-commerce et aux autres systèmes informatiques.

<<>>, explique Bill Ratcliffe, président d'Allen Impact. <<>>

M. Ratcliffe prédit que le système de Microsoft Dynamics AX, associant fonctionnalités avancées et personnalisation, réduira le retour sur investissement d'Allen Impact à moins de 18 mois, soit la moitié du temps que la société avait initialement prévu. Les fonctionnalités et les avantages spécifiques sur lesquels la société base ses prédictions sont les suivantes :

-- Commande en ligne conviviale. La simplicité de la saisie de commandes en ligne d'entreprise à entreprise développée par MBS Dev et la technologie sous-jacente de Microsoft(R) est d'ores et déjà productrice de bénéfices pour Allen Impact. La société a fourni à un groupe pilote de clients une session de formation de 20 minutes sur la façon de passer des commandes sur son nouveau site d'e-commerce. Sur ces 50 clients, seulement un seul a contacté Allen Impact avec des questions et des inquiétudes. <<>>, estime M. Ratcliffe. -- Analyse et comptes-rendus rapides. Les outils d'analyse de données Microsoft SQL Server(TM) intégrés dans Microsoft Dynamics AX réduisent le temps nécessaire pour créer des comptes-rendus personnalisés à l'intention des clients et permettent de demander à des bases de données de grande taille des informations sur les ventes et les tendances de profit. Une demande typique qui prenait auparavant six heures avec l'ancien progiciel d'Allen Impact ne prend maintenant que 15 secondes. Cela permettra aux employés de rechercher les tendances de données cachées en exécutant des douzaines de demandes en une fraction du temps qu'il fallait pour exécuter une seule demande. -- Une transition facile. Comme dans beaucoup de sociétés, les employés d'Allen Impact craignaient que cette transition vers un nouveau progiciel de gestion client nuise aux affaires. Selon M. Ratcliffe, ce n'est le cas ni maintenant ni à l'avenir, à cause des interfaces, commandes et flots de travaux hautement intuitifs et familiers dans l'ensemble de Microsoft Dynamics AX.

<<>>, déclare Michael Park, corporate vice president, US Microsoft Dynamics business, Microsoft Corp. <<>>

A propos de MBS Dev

MBS Dev, Inc est une corporation du Colorado fondée pour aider les clients de Microsoft Dynamics AX en matière de solutions verticales de distribution, d'exigences de développement et de services de soutien. MBS Dev, Inc est revendeur à valeur ajoutée certifié et un éditeur indépendant de logiciel, partenaire de Microsoft Dynamics AX.

A propos d'Allen Impact

Allen Impact Services, LLC a été fondé en décembre 2003, suite à la fusion des services de George W. Allen Company, Inc. et d'Impact Office Products, Inc. Situé dans les agglomérations de Washington, D.C., Baltimore, et Philadelphie ce partenariat a permis de réunir deux des plus importantes sociétés indépendantes de fourniture de bureau ainsi que leur clientèle nationale. La clientèle des sociétés a été élargie pour inclure la présence importante de GWA dans l'administration ainsi que les comptes commerciaux nationaux considérables d'Impact. Les partenariats individuels avec Councell Computer Products et Deskmate restent en vigueur et mettent à la disposition des organisations de minorités et des administrations de PME les alternatives dont ils ont besoin.

A propos de Microsoft Dynamics

Microsoft Dynamics est une gamme de solutions de gestion financière, de la relation client et de la chaîne d'approvisionnement qui aide les entreprises à fonctionner de façon plus efficace. Proposées à travers un réseau de partenaires prestataires de services spécialisés, ces solutions de gestion d'entreprise intégrées et souples offrent un environnement commun avec les autres produits logiciels Microsoft afin de rationaliser les processus dans toute l'entreprise.

A propos de Microsoft

Fondée en 1975, Microsoft (Nasdaq:MSFT) est le leader mondial en matière de services et solutions informatiques visant à aider le public et les entreprises à atteindre leur potentiel maximum.

A propos de Microsoft EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique)

La présence de Microsoft dans les territoires de l'EMEA remonte à 1982. Microsoft y compte plus de 12 000 employés répartis dans plus de 60 filiales et offre ses produits et services dans plus de 138 pays.

Ce communiqué est émis uniquement à titre d'information. Microsoft Corp se dégage de toute responsabilité concernant l'utilisation de ce communiqué à d'autres fins. Microsoft Corp ne peut, à aucun moment, être tenu responsable pour toute perte spéciale, directe, indirecte ou conséquente, que ce soit par une action contractuelle, une négligence ou toute autre action provenant de ou en relation avec l'utilisation ou la performance du matériel. Aucun élément du présent communiqué ne peut être interprété comme une garantie.

REMARQUE : Microsoft et Microsoft Dynamics sont des marques commerciales déposées ou des marques commerciales de Microsoft Corp aux Etats-Unis et/ou dans d'autres pays.

Les noms de sociétés et de produits mentionnés dans ce communiqué sont les marques de leurs propriétaires respectifs.

Site Web : http://www.microsoft.com

Microsoft EMEA Response Centre, +44-870-243-0515, ou emearesponse@waggeneredstrom.com / REMARQUE A L'INTENTION DES EDITEURS : Pour obtenir de plus amples renseignements sur Microsoft EMEA, veuillez consulter http://www.microsoft.com/emea ou le centre de presse EMEA sur http://www.microsoft.com/emea/presscentre. Les liens Internet, les numéros de téléphones et les titres étaient corrects à la date de la publication mais sont susceptibles d'avoir changé depuis. Pour obtenir des informations supplémentaires, les journalistes et les analystes peuvent se mettre en rapport avec le centre de presse de Microsoft EMEA au +44-870-243-0515 ou les autres contacts appropriés mentionnés sur http://www.microsoft.com/emea/contactus. Si vous désirez obtenir des renseignements supplémentaires à propos de Microsoft Corp., veuillez consulter la page Web Microsoft : http://www.microsoft.com/presspass dans les pages d'informations sur Microsoft. NewsCom: http://www.newscom.com/cgi-bin/prnh/20000822/MSFTLOGO, AP Archive: http://photoarchive.ap.org, PRN Photo Desk photodesk@prnewswire.com




Les sites étrangers n'ont pas à inclure la taxe pour copie privée


Si les sites européens n'ont pas à payer la « taxe Sacem », ils ne sont pas tenus non plus d'informer les clients qu'elle est à leur charge.

Hélène Puel , 01net., le 26/03/2007 à 19h05

La saga judiciaire entre RueduCommerce et cinq cybermarchands européens connaît une revirement inattendu. La cour d'appel de Paris, dans un jugement rendu le 22 mars dernier - que 01net. a pu se procurer -, a débouté le site français. RueduCommerce poursuivait Dabs.com, CD Folie, Nierle, Omnisoft Multimedia et MegaMatic pour concurrence déloyale. Il leur reprochait ne pas avoir indiqué dans leurs prix le surcoût lié à la rémunération au titre de la copie privée sur leurs ventes de CD et de DVD vierges, affichant par conséquent des prix biens inférieurs à ceux des e-commerçants français.

La cour d'appel de Paris a rejeté la plainte pour concurrence déloyale. Mais a tout de même reconnu que « l'absence de versement de la "taxe Sacem" par les sociétés établies dans certains Etats de l'Union européenne, n'est pas sans incidence sur les prix de vente des produits en cause », ce qui défavorise les siteJustifiers en France qui, eux, doivent s'acquitter de cette redevance.

Elle a rappelé qu'aux termes de l'article L 311-4 du code de la propriété intellectuelle, la rémunération au titre de la copie privée doit être « versée par le fabricant, l'importateur ou la personne qui réalise des acquisitions intracommunautaires ». Or, Dabs.com, CD Folie, Nierle, Omnisoft Multimedia et MegaMatic ne « revêtent aucune de ces trois qualités ».

Pas d'obligation d'information

Par conséquent, les marchands n'ont pas à s'acquitter de la rémunération au titre de la copie privée. Ni à la répercuter sur leurs clients. Mieux, il n'y a rien de déloyal au fait de ne pas indiquer aux consommateurs qu'il leur revient de payer eux-mêmes la copie privée. Ces sociétés ne sont « pas soumises par ailleurs, dans l'exercice de leur activité de vente à distance, à une obligation légale d'information de leurs clients sur les incidences de cette taxe sur les prix pratiqués ainsi que sur la nécessité de la payer ».

Selon le tribunal, RueduCommerce n'a pa réussi à démontrer que les sociétés incriminées ont exploité des différences réglementaires au sein de l'Union européenne pour capter déloyalement une partie de sa clientèle.

La décision de la cour d'appel de Paris rend caduc le jugement du tribunal de commerce de Bobigny rendu le mois dernier. Faute d'avoir mentionné de façon claire et explicite l'obligation pour un acquéreur situé en France, d'acquitter la rémunération pour copie privée, ces sites avaient été condamnés à des amendes exécutoires allant de 22 600 à 47 500 euros.

Même si rien n'est spécifié clairement dans le jugement, la justice ne remet pas en cause le fait qu'il convienne aux consommateurs de s'acquitter eux-mêmes de la taxe auprès des ayants droit. Sans toutefois souligner le flou concernant les modalités de paiement de la redevance pour la copie privée.

L'affaire pourrait ne pas en rester là. Interrogé sur un éventuel pourvoi en cassation, RueduCommerce indique qu'aucune décision n'a encore été prise du côté du demandeur. Sorecop, l'organisme chargé de collecter la rémunération pour la copie privée, était pour sa part indisponible ce jour.



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2007-03-28

Le e-commerce cartonne en Suisse




communication - 27 mars 2007
Les Suisses achètent de plus en plus sur le web, le commerce en ligne est passé ces 3 dernières années de 2,2 à 4,24 milliards

Ayant quasiment doublé en trois ans, le chiffre d'affaires réalisé en ligne devrait encore une fois doubler ces trois prochaines années, selon Thomas Rudolph, directeur de l'Institut de marketing et de commerce de la Haute école st-galloise, qui a réalisé l'étude. Sur le moyen terme, cette croissance intervient au détriment du commerce traditionnel. Actuellement, près de 40% des internautes achètent leurs billets d'avion exclusivement sur Internet, contre 22% en 2003. Les prestations bancaires (35%) ou les demandes d'informations (34%), tout comme l'achat de tickets d'entrée (29%), connaissent un succès grandissant auprès des utilisateurs du réseau des réseaux. En revanche, seuls 2% des internautes y achètent des produits alimentaires.






2007-03-26

Les FAI, champions toutes catégories des plaintes en 2006




Selon la DGCCRF, les plaintes contre les fournisseurs d'accès à Internet ont augmenté de 17,4 % en 2006.

Stéphane Long , 01net., le 23/03/2007 à 19h11

C'est décidément une mauvaise semaine pour les fournisseurs d'accès à Internet (FAI). Il y a quelques jours, l'Afutt (Association française des utilisateurs des communications) soulignait, dans son rapport 2006 , l'augmentation des plaintes à leur encontre. Aujourd'hui, la DGCCRF (*) arrive sensiblement aux mêmes conclusions dans son bilan 2006.

Selon l'organisme public, les FAI sont les plus mauvais élèves du secteur des télécommunications. Les litiges avec les consommateurs ont augmenté de 17,4 % en un an, alors qu'ils ont diminué de 6,7 % dans le cas de la téléphonie mobile et de 37 % pour le téléphone fixe. Avec 17 322 plaintes, Internet représente à lui seul plus de la moitié du total des plaintes (58,3 %). Le rapport souligne par ailleurs que le nombre de réclamations sur ce marché a progressé plus rapidement que l'augmentation du nombre d'abonnés.

Les opérateurs mobiles virtuels aussi dans le collimateur

Les raisons de la grogne des utilisateurs sont les mêmes que l'année dernière : problèmes techniques (29 %), difficultés de résiliation (22 %) et facturation (moins de 10 %).

Les FAI ne sont pas les seuls à être pointés du doigt. Les MVNO, ces opérateurs mobiles sans réseau qui louent les infrastructures de Bouygues Telecom, d'Orange ou de SFR, sont également écornés dans le rapport 2006. Sans « la conflictualité générée par les pratiques des MVNO » , les plaintes enregistrées dans le secteur de la téléphonie mobile (6 915 en 2006) auraient été beaucoup moins importantes, note la DGCCRF.

Pour recadrer tout ce petit monde, cette dernière a prévu de renforcer les contrôles. Elle a mis en place un suivi individuel des opérateurs, notamment à l'égard de « ceux suscitant le plus grand nombre de plaintes » et vérifiera périodiquement les engagements pris par les professionnels. Un bilan est prévu pour l'été 2007. Si rien ne bouge d'ici là, l'organisme n'exclut pas de passer à une phase répressive.

(*) Direction générale de la concurrence, de la consommation, et de la répression des fraudes.



2007-03-25

L'e-commerce belge a doublé en 2006

Bron: Belga

24/3/2007 10:2


BRUXELLES 24/03 (BELGA) = Le nombre de transactions sur des sites belges d'e-commerce a doublé entre 2005 et 2006, passant de 1,4 millions à 2,8 millions. En terme de chiffre d'affaires, la progression est de 70%, passant de 168,9 millions à 273,5 millions d'euros, montrent des chiffres d'Ogone cités samedi dans La Libre Belgique. La solution de paiement en ligne d'Ogone est utilisée par 95% des sites marchands belges. Le prix moyen par transaction est passé en un an de 120 à 100 euros. Selon Ogone, c'est une évolution logique car, par le passé, l'e-commerce en Belgique se limitait essentiellement à la vente de CD, DVD, livres et surtout de voyages, un secteur où la dépense moyenne est très élevée. (LAR) ./.



2007-03-23

ShopReflex, de l'e-commerce à la sauce Web 2.0





Ce nouveau site français recense des fiches produits et des avis d'internautes dans une démarche de guide d'achat. Une initiative qui emboîte le pas à Ohmybuzz ! ou Vozavi.

Arnaud Devillard , 01net., le 22/03/2007 à 18h49

Le Web collaboratif, ce n'est pas seulement de l'échange de vidéos. Ce sont aussi de bons plans pour acheter en ligne. En bêta test depuis quelques semaines, le site ShopReflex, exploitant ce créneau, a ouvert officiellement ses portes ce jeudi 22 mars. Le principe est maintenant connu et relève de ce que l'on appelle le user generated content, soit le contenu généré par les internautes eux-mêmes.

Les internautes s'enregistrent sur le site et y créent un compte. Puis, ils postent des fiches de produits qu'ils ont achetés afin de guider les autres utilisateurs. Un bouton « Ajouter à Shopreflex » peut être inséré dans la barre d'outils du navigateur ou placé dans la liste des favoris. Avec cette commande, un produit sélectionné sur un site d'e-commerce atterrira automatiquement dans la liste des produits préférés de l'utilisateur, dans son espace personnel sur ShopReflex. Toutes les informations pratiques concernant l'article sont reprises du site d'origine : description, photo, prix, site Internet où il a été acheté.

L'internaute y associe des tags (des mots clés) pour aider à la recherche sur le site et, c'est quand même le but, donne son avis pour ne pas en rester aux caractéristiques données par le cybermarchand. Les autres internautes peuvent à leur tour ajouter un commentaire, transférer la fiche à quelqu'un, voter (ce qui donnera une note à la fiche-produit), alerter d'un problème sur la fiche (un contenu illicite par exemple). Bref, les fonctions habituelles que l'on retrouve sur YouTube, Dailymotion ou autre AgoraVox.

Bridage du système

On retrouve également toutes les possibilités de regroupement d'utilisateurs par affinités et de création de listes de discussion. Du communautaire, de la personnalisation, mais appliqués au commerce en ligne. ShopReflex est bien dans l'air du temps. Mais il n'est pas le seul sur ce créneau.

En novembre 2006, le site Vozavi apparaissait en version bêta. Comme son nom l'indique, il note et compare des produits à partir d'une synthèse des avis postés par les internautes. Ouvert à la fin du même mois, Ohmybuzz ! s'adresse, lui, à des sites marchands qui mettent en avant leurs articles. Mais ce sont quand même les internautes qui votent et commentent.

ShopReflex propose lui aussi son service aux marchands et aux internautes qui vendent des articles sur les sites de courtage comme PriceMinister. Mais il compte le faire avec précaution. « On demande aux cybermarchands de mettre les produits les plus originaux, les plus exclusifs, des promotions exceptionnelles, explique Ludovic Lecomte, l'un des fondateurs du site, ancien d'e-TF1 et d'Ask.com. Ils doivent se déclarer comme cybermarchand et ne peuvent pas voter, ni donner de note. » ShopReflex part du principe qu'ils joueront le jeu. Mais qu'un internaute poste un peu trop de fiches produits, surtout venant d'un même site, et il sera considéré comme marchand. Les e-commerçants ne sont pas limités dans le nombre de produits qu'ils peuvent afficher, mais s'il y a des abus, des annonces qui ne correspondent pas aux critères, ShopReflex pourra brider le système.





2007-03-22

Grégory Boutté (eBay) : "eBay, laxiste sur la contrefaçon ? Nous poursuivons nous même les vendeurs de faux !"


Depuis un an, la fronde des marques du luxe s'organise contre eBay, accusé de favoriser et de profiter de la contrefaçon. Le directeur général d'eBay France réfute cette idée et explique pourquoi.



22/03/2007

Que répondez-vous à l'industrie du luxe qui vous juge laxiste en matière de lutte anti-contrefaçon ?




Grégory Boutté : La contrefaçon est un sujet que nous prenons extrêmement au sérieux. D'ailleurs, nous n'avons pas attendu pour prendre la mesure de ce phénomène. Le programme VeRO qui permet aux marques de nous signaler les produits contrefaits présents sur le site existe depuis 1998. 95 % des demandes effectuées dans le cadre de VeRO sont traitées dans les quatre heures qui suivent le signalement des produits. Nous collaborons activement avec les douanes, la gendarmerie nationale et la police. Sur les 18 derniers mois, eBay France a répondu à 2.800 réquisitions, qui conduisent à une dizaine d'arrestations par mois sur les derniers mois de l'année. Qui plus est, nous avons décidé de poursuivre nous même en justice les vendeurs pris en train de vendre des lots de produits contrefaits. Tout ça, ce sont des faits, montrant à quel point nous sommes déterminés à lutter contre la contrefaçon sur eBay.

La contrefaçon vous coûte-t-elle plus qu'elle ne vous rapporte ?
Bien sûr. En premier lieu parce qu'un client abusé est un client perdu. Ensuite, en raison de tous les moyens techniques que nous devons mettre en œuvre pour lutter contre elle. Un employé d'eBay sur six, c'est-à-dire 2.000 personnes, travaille à surveiller quotidiennement nos sites pour y détecter la fraude, dont la contrefaçon. Enfin, la contrefaçon nous coûte le remboursement systématiquement de l'utilisateur du site qui a acheté un faux. Ce sont des sommes considérables qui se comptent en millions d'euros.

Quelles mesures techniques avez-vous récemment mis en place ?
La plus symbolique est l'évolution de notre système d'évaluation alors qu'il n'avait pas changé depuis 10 ans. Les acheteurs peuvent désormais laisser des commentaires sur le fait que le vendeur a bien fourni le produit promis et non pas un faux. Cela permet aux autres acheteurs d'identifier des vendeurs de faux et cela nous aide à identifier les vendeurs de faux. Nous avons en outre mis fin aux formats d'enchères privilégiés par les fraudeurs pour vendre du faux : les enchères d'un à trois jours ouvertes, notamment durant le week-end. Nous avons aussi mis en place des vérifications supplémentaires sur certains types d'objets vendus depuis certains pays, notamment asiatiques. Seuls les plus honnêtes qui se sont authentifiés par Paypal et dont le nom, l'adresse et le numéro de compte bancaire sont connus peuvent vendre leurs produits. Frantz GRENIER, JDN



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PayPal annonce près de 35 millions de comptes en Europe



SAN JOSE, Californie--(BUSINESS WIRE)--La société PayPal a annoncé aujourdhui quelle avait près de 35 millions de comptes en Europe. Cette étape jalon confirme la popularité croissante de PayPal parmi les consommateurs et les fournisseurs dInternet à travers lEurope.

La popularité de PayPal est reflétée dans les taux de pénétration élevés parmi les cyberacheteurs dans les plus grands marchés dEurope dont le Royaume Uni, lAllemagne, la France et lItalie. Daprès Forrester Research, 23% (presque 1/4) des cyberacheteurs européens préfèrent payer avec PayPal.

« PayPal travaille d'arrache-pied pour construire un service de paiement sûr et pratique spécifiquement conçu pour le-commerce européen, » a déclaré Brent Bellm, vice-président de PayPal Europe. « PayPal permet aux consommateurs de payer avec la carte ou la banque de leur choix, sans jamais avoir à retaper leurs informations financières ni à les partager avec le fournisseur. En Europe, choix, commodité et confidentialité sont ce qui fait de PayPal une méthode de paiement aussi populaire. »

En 2006, PayPal a traité 8,4 milliards de dollars en volume total de paiements en Europe. Des milliers de fournisseurs européens acceptent aujourdhui PayPal sur leurs sites Web, y compris des sites de-commerce de premier plan tels que Boots, DHL, Harrods, Meetic, Pixmania et eBay. Avec PayPal, les fournisseurs peuvent vendre leurs marchandises aux dizaines de millions de cyberacheteurs confirmés qui préfèrent PayPal, constatant souvent une hausse incrémentielle de leurs ventes après avoir ajouté PayPal sur leurs sites.

PayPal revendique une présence locale dans 15 pays dont lAutriche, la Belgique, la France, lAllemagne, Italie, lEspagne, lIrlande, les Pays-Bas, la Pologne, la Suisse et le Royaume Uni. Dans le but dappuyer le-commerce local et transfrontières, PayPal prend également en charge des paiements provenant de 103 marchés dans 17 monnaies étrangères dont leuro, la livre Sterling, la couronne tchèque, la couronne danoise, le forint hongrois, la couronne norvégienne, le zloty polonais, la couronne suédoise et le franc suisse.

À propos de PayPal

Fondée en 1998, PayPal, une société eBay, permet à tout particulier ou à toute entreprise disposant dune adresse e-mail denvoyer et de recevoir facilement des paiements en toute sécurité en utilisant un compte en banque, une carte de crédit ou un solde stocké. Comme PayPal permet aux clients de faire des achats en ligne sans partager leurs informations financières avec les fournisseurs, la confidentialité est intégrée au service. PayPal a plus de 133 millions de comptes et est disponible aux utilisateurs sur 103 marchés du monde. Un complément dinformation sur la société est disponible à ladresse https://www.paypal.com.




Contacts

PayPal Inc.
Amanda Pires, +1-408-967-1005 (Médias)
apires@paypal.com




2007-03-21

"Symfony réconcilie le Web 2.0 et l'accessibilité Web"



Pour rester léger et favoriser le développement d'extensions, le framework PHP n'intègre que les fonctions de bases d'une infrastructure de développement. Un choix qui permet d'envisager son évolution en douceur.
20/03/2007 JDN Développeur. Quels sont les points forts et les points faibles du framework de développement Symfony ?

Fabien Potencier. D'abord son importante documentation pour un projet Open Source. 700 pages sont disponibles en ligne sur le framework, dont un livre publié sous licence GFDL : The Definitive guide to symfony.

Ensuite, Symfony propose une approche visant à simplifier au maximum le travail sur le code. Dans cette optique, il propose notamment un sous framework de génération de code, qui permet par exemple de générer une console d'administration permettant d'éditer les objets de la base de données. Les autres points forts de Symfony sont sa configurabilité et ses dispositifs de protection, contre le cross site scripting par exemple.


Symfony s'inspire t-il de Ruby on Rails ?
Dire que Symfony est basé sur Grail est une idée fausse. Vu la popularité de Ruby on Rail, on a tendance à penser que tous les frameworks qui sont arrivés après reposent dessus. Or, le développement de Symfony a commencé bien avant.



Mais il est vrai que nous nous inspirons d'autres frameworks, tels que Struts ou même Ruby on Rails, et Symfony présente des points communs avec eux. C'est le cas par exemple de l'architecture MVC, de notre couche d'abstraction d'objets relationnels. Beaucoup de frameworks exploitent ces bonnes pratiques. Concernant notre système de routing d'URL, il est vrai qu'il est directement inspiré de Ruby on Rail.

Quelles sont les principales différences entre Symfony et Ruby on Rails ?
En général, les frameworks sont orientés par les conditions d'utilisation de leur créateur. Ruby on Rails a été créé par une société centrée sur des développements Web 2.0. Quant à Symfony, il est issu de 5 ans d'expérience de Sensio Labs dans le développement pour les grands comptes. Dans cette logique, nous assurons également le support des versions antérieures de Symfony pendant un à deux ans, et ce à la différence des technologies concurrentes qui imposent le plus souvent de migrer à chaque nouvelle version.









Nous fournissons un script pour mettre à jour les développements"

Sur ce plan, nous offrons un support commercial qui permet d'être prioritaire sur les mises à jour et bénéficier d'engagement de mise à jour. Nous fournissons également un script pour mettre à jour automatiquement les développements par simple ligne de commande, et assurer la prise en compte des mises à jour de Symfony.

Finalement, Symfony reste assez minimaliste en termes fonctionnels ?
Avec Symfony, nous avons voulu concevoir un full-stack framework. L'idée est de fournir 80% des dispositifs dont le développeur a besoin, et d'éviter d'inclure trop de fonctions dans l'outil. L'objectif est qu'il reste léger et le plus ouvert possible, notamment pour accueillir des plug-in qui peuvent justement supporter les extensions nécessaires. La gestion des droits est par exemple prise en charge directement par le framework, alors que la gestion des authentifications l'est par le biais d'un plug-in.

Que répondez-vous aux critiques à l'encontre de l'ORM Propel, intégré à Symfony ?
Cette couche d'abstraction d'objets relationnels est maîtrisée en PHP 5.0, et très stable. Etant basée sur sa propre couche d'abstraction, elle est effectivement moins performante que des ORM plus récents, comme PHP Doctrine par exemple. Notez que nous prenons en compte PHP Doctrine depuis 6 mois par le biais d'un plug-in. A terme, il remplacera Propel. Nous l'intégrerons dans la version 1.1 du framework.

Comment s'organise la communauté Symfony ?
Elle se divise en trois. Des développeurs qui travaillent sur le cœur de l'outil. Un groupe qui assure le support sur les listes de diffusion, les forums... Et enfin, des personnes qui réalisent la documentation technique, et qui sont généralement les plus difficiles à trouver.

Au-delà de cette organisation, il est important pour réussir dans le domaine très concurrentiel des frameworks PHP de définir une ligne claire. C'est moi qui impulse cette vision que je soumets sur les mailing list. C'est particulièrement important pour garantir la cohérence des développements. Côté plug-in, nous laissons une grande liberté aux développeurs. Si un concept nous paraît bon, on l'intègre alors au noyau.

Yahoo a fait le choix du framework pour développer son gestionnaire de booksmarks"

Quelle est votre approche concernant Ajax ?
Symfony réconcilie Ajax et l'accessibilité Web. Nous sommes d'ailleurs en train d'améliorer ce point. Nous avions mis en place dans le framework un support d'Ajax et de JavaScript basé sur Prototype. Mais cette implémentation n'allait pas dans le sens de l'accessibilité Web.

Parallèlement, un plug-in basé sur JQuery a été élaboré. Il est basé sur un mécanisme permettant de désactiver les comportements JavaScript, tout en garantissant la présence d'un contenu HTML conforme aux spécifications du W3C en matière d'accessibilité. Nous avons décidé d'intégrer cet élément à Symfony. Il viendra remplacer le support basé sur Prototype qui va être traduit sous la forme d'un plug-in pour permettre aux développeurs qui l'utilisent de continuer à travailler.

Quelles sont les principales références de Symfony ?
Yahoo a fait le choix du framework pour développer son gestionnaire de booksmarks. Cette application a été déployée au niveau mondial. Yahoo s'est notamment appuyé sur les possibilités de personnalisation de Symfony, sa configurabilité, et ses fonctions multiligues. C'est également le cas pour le site de automobiles Peugeot qui a été déployé en 35 langues.



Antoine Crochet-Damais, JDN Développeurs




Les outils de développement PHP






Des frameworks aux bibliothèques de composants, comparatif de 13 environnements de développement centrés sur le célèbre langage Open Source. Un panorama basé sur le dernier livre blanc de la société de services Smile.

Dans son dernier livre blanc, Smile passe en revu 11 frameworks Open Source en étudiant leurs fonctionnalités. Selon la société de services, les solutions les plus complètes et matures dans ce domaine sont CakePhp, Symphony et Prado. Pour en donner un rapide apperçu, CakePHP6 est un framework inspiré de RubyOnRails, compatible avec PHP 4 et 5 : il est "rapide à prendre en main, et offre de nombreuses fonctionnalités et de bonnes performances" d'après Smile. Rappelons qu'un frameworks a pour but de structurer une application en imposant une architecture logicielle, une arborescence de répertoires et des conventions.

Symfony est un framework PHP5 basé sur le modèle MVC (Modèle Vue Controleur) qui permet de structurer une application en distinguant la partie présentation du code applicatif. Il est sponsorisé par la société française Sensio Labs. Pour Smile, "Symfony reste l'un des meilleurs frameworks pour les développements spécifiques en PHP" bien que les performances de son actuel ORM, Propel, soient critiquées (voir l'interview de Fabien Potencier de Sensio Labs).

Concernant Prado, Smile estime qu'il s'agit d'un bon framework, à compléter avec quelques composants, notamment pour les accès à la base de données. "A cause de son modèle événementiel, il sera surtout conseillé pour les applications Web très interactives, plutôt que pour les sites Web de consultation", analyse la société de services.

Smile préconise en outre l'utilisation des bibliothèques de composants Pear et eZ Componant, qui viennent en complément d'un framework pour enrichir un projet de développement sur des taches spécifiques, ou bien seuls dans le cas de projet peu complexe. De nombreux composants sont disponibles permettant de gagner du temps en évitant de réinventer la roue.

Smile sélectionne deux bibliothèques :
Les composants Pear sont les plus largement utilisés, et disponibles principalement pour PHP4. Pear inclut de nombreux packages qui ne sont plus maintenus mais sont toujours présents.
eZ Components est une bibliothèque, moins connue que Pear, mais activement maintenue. Elle est dédiée au PHP5, ce qui la rend plus adaptée que Pear pour les projets récents.

JDN Développeurs le 19/03/2007,
Comparatif réalisé par Eliane Consola, JDN Développeurs







ALAIN BAGNAUD, DIRECTEUR GENERAL, POLE LOGISTIQUE ET MARKETING, REED EXPOSITIONS FRANCE

Lettre N° 164 - Mercredi 21 mars 2007







BI : Comment va s’organiser le salon ?
AB : « La SITL Temps Réel s’articule autour de trois grands secteurs.
La section dédiée aux prestataires logistiques enregistre une forte croissance à la faveur du développement des PME du transport qui venaient peu sur la SITL auparavant. La concentration des acteurs logistiques a fait naître de nouvelles demandes de la part des chargeurs et entraîné un appel d’air pour les entreprises régionales et les « niches players ». Cette année, le salon SITL va accueillir une quarantaine d’entreprises de taille moyenne spécialisées dans ce secteur d’activité. Bien évidemment, ils viendront exposer aux côtés des grands prestataires logistiques. Au total, les acteurs liés aux services Transport et Logistique vont représenter 40% des exposants du salon. Ensuite, nous trouvons traditionnellement les professionnels des technologies de l’information, en progression également cette année, et qui représentent environ 30% du nombre d’exposants. C’est un secteur qui n’existait pas il y a encore 10 ans et qui connaît une croissance rapide. Nous y retrouverons notamment les dernières nouveautés en matière de géo-localisation, d’identification et de traçabilité des produits, ou encore de logiciels de gestion d’entrepôts. »

BI : Qu’en est-il du secteur immobilier ?
AB : « L’immobilier logistique a progressé de façon considérable ces dernières années, porté par la demande de surface d’entrepôts et la création de centres d’activités logistiques. La progression est de l’ordre de 10% par rapport à 2005. Tous les grands opérateurs en matière d’immobilier logistique, concepteurs, constructeurs, aménageurs, commercialisateurs, collectivités locales seront présents à cette édition 2007, GSE, ProLogis, DTZ, ou encore Eiffage. Nous avons également la présence de tous les conseils en immobilier d’entreprise qui disposent d’un département dédié à la logistique. »

BI : Quels sont les temps forts du salon ?
AB : « Le thème général de cette année portera sur les « nouveaux marchés de la logistique ». Nous en avons identifié cinq : le e-commerce, la « reverse » logistique, la traçabilité, le ferroviaire et le transport maritime et fluvial. Tous ces nouveaux marchés seront analysés et décryptés par des experts et professionnels au travers de conférences thématiques, plénières et d’ateliers de travail. Nous allons mettre également en place un parcours « expert » pour les visiteurs. »

BI : Un mot sur les prix…
AB : « Notre traditionnel Prix de l’Innovation Logistique vient récompenser, dans les trois secteurs habituels (Prestation Transport et Logistique, Systèmes d’Information Logistique et Installations et Sites Logistiques), les outils, solutions et réalisations les plus innovantes. Nous avons également lancé il y deux ans, des nouveaux prix, notamment celui du partenariat innovant dans le domaine du développement durable qui récompense un partenariat avec un chargeur ou un distributeur et son prestataire logistique. Nous avons aussi un prix sur les ressources humaines qui met en lumière une solution innovante dans la gestion des emplois ou des niveaux de compétences du personnel logistique. Enfin, nous lançons un nouveau prix sur l’innovation en prestation logistique e-commerce. Il récompense un prestataire qui apporte une solution innovante dans la logistique des sites marchands. Il traduit aussi une montée en puissance du e-commerce. Nous allons accueillir de nombreux prestataires qui ont ouvert un département dédié et qui viennent présenter leur offre de services aux chargeurs et distributeurs. Tous les dossiers présentés sont évalués par un jury d’experts, généralement des utilisateurs. Ce sont ainsi les clients qui récompensent les services et technologies proposées à la SITL. »

BI : Quel regard portez-vous sur l’évolution de la logistique ?
AB : « Le secteur est en complète évolution à la faveur d’un grand mouvement de recomposition et de croissance des prestataires logistiques. Aujourd’hui, on s’aperçoit de l’importance vitale de la logistique dans l’économie. Les délocalisations industrielles ont nécessité la mise en place de systèmes de transport et de logistique performants. Parallèlement, de nouvelles exigences se sont faits jour sur la qualité et la sophistication des entrepôts logistiques. Les prochaines années devraient encore voir progresser ce secteur avec un impact positif sur l’équipement des entrepôts et l’automatisation de la manutention, domaine dans lequel la France connaît encore un certain retard. »

BI : Quelles sont les perspectives de développement de la SITL, en particulier à l’international ?
AB : « Reed Exhibitions a essaimé plusieurs SITL à l’international, et notamment en Chine où nous allons ouvrir une 4ème édition cette année. La SITL prépare une deuxième édition en Italie. Parallèlement, nous travaillons sur un nouveau salon à Bombay, en Inde. En dépit du contexte de mondialisation des échanges de marchandises, la logistique reste un marché très marqué par le contexte géographique où demeure une forte valeur ajoutée des acteurs régionaux et locaux. Nous suivons cette tendance en proposant des points de contacts entre les grands prestataires logistiques et les entreprises locales. »

Propos recueillis par Gaël THOMAS






La logique est de vivre moins chère sans se priver !

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Sexy Avenue : quand le charme s'invite en Bourse

Marseille ALIETTE DE BROQUA.
Publié le 19 mars 2007
Actualisé le 19 mars 2007 : 08h30



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Le portail figure parmi les dix sites les plus visités en France avec dix-huit millions de visites mensuelles.

François Bouchon/Le Figaro









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Le portail figure parmi les dix sites les plus visités en France avec dix-huit millions de visites mensuelles.
François Bouchon/Le Figaro
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En complément

Function IE_Detect (version) 'Do On Error Resume Next plugin = (IsObject(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash." & version & ""))) If plugin = true Then IE_Detect = true
Patrice Macar, le fondateur de Sexy Avenue, est un pragmatique. « À la fin des années 1990, raconte-t-il, alors que je travaillais pour Sony, j'ai voulu participer à l'effervescence Internet. J'ai cherché avec quelle activité je pourrais me lancer. J'ai choisi le charme qui marchait très bien aux États-Unis sur la Toile. Je ne me reconnaissais pas dans les sites existants ni dans les sex-shops. J'ai voulu quelque chose à la fois de plus professionnel et de plus grand public, plus soft, plus esthétique et s'adressant aux couples. » Il crée l'entreprise DreamNex en 2000 à Rousset près d'Aix-en-Provence. La mise de fond initiale est de 290 000 euros apportés par sa famille et des business angels. Le marché s'est révélé lucratif. La start-up réalise aujourd'hui un chiffre d'affaires de 34 millions d'euros et a toujours été bénéficiaire. Pour sa future cotation, elle est valorisée entre 71 et 83 millions d'euros. Mais il ne sera pas le premier dans ce métier à solliciter les marchés financiers. La chaîne de sex-shops allemands Beate Uhse, qui a réalisé 285 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2005, est cotée à Francfort depuis huit ans.
« Sex and the City »
« Nous avons eu la chance de bénéficier d'une banalisation de ces produits, juge Patrice Macar. Les grands magasins ayant ouvert des corners spécialisés, la VPC présentant quelques articles, les médias relayant le phénomène et la télévision apportant même des coups de pub formidables avec l'utilisation d'un sextoy par l'héroïne de la série Sex and the City. » Le portail figure parmi les dix sites les plus visités en France avec dix-huit millions de visites mensuelles. Les contenus (vidéos et photos) sont proposés par abonnement et représentent 80 % des ventes. L'ambition de Patrice Macar est d'internationaliser son site qui est déjà décliné en quatre langues (français, anglais, italien et espagnol) et de procéder à des acquisitions. Il a aussi comme projet la création d'un site de rencontres qui serait décliné sur téléphone mobile. Ces projets dépendent maintenant de l'accueil des investisseurs à l'augmentation de capital de 12,5 à 14,5 millions qui accompagne l'entrée en Bourse.






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