Le blog eBoons propose une synthèse des informations récoltés sur le net sur les sites marchands, le e-commerce et les technologies numériques aux services du e-business. Notre logique: vivre moins chère sans se priver !

2006-03-31

L'e-commerce va continuer sa progression en 2006

Une étude du Benchmark Group nous apprend que l'e-commerce qui est en plein essor grâce notamment au progrès de la sécurisation des données lors des transactions en ligne, devrait encore progresser de 36% en 2006

Certes, la hausse sera moins importante qu'en 2005, mais le marché devrait tout de même flirter avec les 10 milliards d'euros de chiffres d'affaires.

Le cabinet d'étude spécialisé dans les nouvelles technologies table donc sur une progression de 36%. Rappelons que les ventes en ligne ont atteint 7 milliards d'euros en 2005, soit une progression de 44% sur l'an. En 2004, les achats de produits et services en ligne avaient atteint 4,8 milliards d'euros. Une estimation en adéquation avec les prévisions de l'Association pour le commerce et les services en ligne (Acsel). Ce ralentissement de la croissance en 2006 serait dû a "un effet de saturation", et d'une "maturité atteinte sur certains secteurs, comme les produits high-tech ", mais "les réserves restent considérables", indique à l'AFP Stéphane Loire, directeur des études.


E-commerce : 36% de ventes en plus pour 2006

Le commerce en ligne en France devrait encore progresser de 36% en 2006. Le développement de la vente Internet sur des catégories de produits jusque là en retrait et l'arrivée de nouveaux concept de distribution (ventes privée sur le web) ont largement contribué à cet essor. Aussi, la société d'étude Benchmark Group, spécialisée dans les nouvelles technologies, estime que les ventes de l'e-commerce (hors service financier) devraient atteindre 9,5 milliards d'euros contre 7 milliards en 2005.

Toutefois, cette étude annuelle sur l'e-commerce note une hausse moins rapide qu'en 2005. Pour 2006, la progression devrait ralentir un peu du fait " d'un effet de staturation" et d'une "maturité atteinte dans certains secteurs comme le high-tech", explique Stéphane Loire, directeur d'étude.

Pour réaliser cette enquête, Benchmark Group a interrogé 55 grands acteurs du secteurs et plus de 3 300 internautes.

(Atelier groupe BNP Paribas - 30/03/2006 )
Le Pro de l'achat malin est née avec le e-commerce

2006-03-30

En exlcusivité : la future maquette d'€boon$


€boons est le pro de l'achat malin sur le net

cybermarchand et e-commerce sur internet!

Vous souhaitez acheter un produit ou un service sur internet mais vous n’osez pas sauter le pas ?
Pour ne pas vous tromper, quelques conseils.
Si vous pensez qu’Internet est une jungle… Vous avez raison ! Sur internet on trouve de tout ! Du pire au meilleur ! Mais s’arrêter à ce simple constat est un peu rapide !
Si vous prenez le minimum de précaution d’entrée de jeux en choisissant des sites d’entreprises ayant pignon sur rue, vous n’allez sans doute pas le regretter !
Sur internet, les prix sont souvent bien en deçà des prix du marché classique. Et moins cher ne veut pas forcément dire médiocre.
Si les prix sont si intéressants sur la toile cela s’explique tout simplement par trois facteurs : les frais de commercialisation sont réduits au maximum (pas de boutique, moins de salariés, pas de commissions à reverser à des commerciaux…) les comparateurs de prix sont là pour tirer les prix vers le bas. Si les offres du concurrent sont mieux placées, il faut faire un effort ! la concurrence exacerbée incite les sites a sans cesse “ bichonner ” leurs clients pour qu’ils reviennent ! Les offres de fidélité, les ventes flashs, les ventes d’invendus de dernière minute (last-minute)… les techniques du marketing classique sont toutes là en vitesse démultipliée !
cybermarchand et e-commerce sur internet: suite!


Sur internet, la loi protège l’internaute acheteur.
La loi française est très stricte envers la vente à distance ! En plus des obligations liées aux vices cachés, malfaçons et autres défauts, dans le secteur de la vente à distance l’acheteur a le droit de changer d’avis. Si vous avez acheté un produit qui ne vous convient pas, vous disposez d 'un délai de 7 jours à compter de sa réception pour en obtenir son remboursement dans un délai de 30 jours maximum. Ce droit s 'exerce librement, aucune justification n’est demandée. En période de soldes, la législation est identique. Ce droit de rétractation est valable sur quasiment tous les achats hors CD, DVD, cassettes vidées ou logiciels dont l’emballage a été ouvert, les voyages, les biens achetés à des particuliers, les biens périssables (denrées alimentaires) et les biens commandés sur mesure. Le consommateur a aussi le droit d’être informé. Sur le territoire de la communauté européenne, les sites de commerce en ligne ont obligation de faire figurer dans l’une de leur page une fiche d’identité complète de l’entreprise mentionnant l’adresse physique, un numéro de téléphone, une adresse e-mail, etc. Des conditions de vente doivent aussi être disponibles sur le site en version imprimable. A chaque transaction, une confirmation des principaux éléments de l’offre doit être transmise à l’acheteur sous une forme que l’on peut conserver ou imprimer. La loi oblige également le vendeur à une livraison dans un délai de 30 jours maximum. Le consommateur doit savoir à quoi et quand il s’engage. Le site vendeur doit se conformer à la règle des deux clics imposée par la loi depuis 2004. Le 1e clic est comptabilisé lorsque l’internaute valide une première page récapitulant sa commande (à ce stade, la modification de celle-ci est encore possible). Le 2e clic intervient à l’issue de l’affichage d’une seconde page qui devra valider. Le site doit en outre proposer des offres claires où sont mentionnés le prix en euros, les délais de livraison, les éventuels frais annexes. En cas d’utilisation de la carte bancaire, le consommateur est là aussi particulièrement bien couvert. Si un débit frauduleux est constaté, la banque a obligation de rembourser l’intégralité des sommes indûment prélevées et ce jusqu’à 70 jours après l’achat.
Sur internet, le choix est infini.
De la dinde élevée à la ferme aux robinets chromés, on trouve de tout sur internet ! Sachez toutefois que si vous achetez sur un site étranger, la loi française ne pourra plus forcément vous couvrir comme elle peut le faire à l’encontre d’une entreprise française. Cela n’empêche pas évidemment d’acheter à l’étranger mais dans ce cas, il est impératif de redoubler de vigilance et d’exiger des garanties encore plus draconiennes ! Et comme nul n’est sensé ignorer la loi, sachez également que l’importation de certains produits interdits en France (animaux, contrefaçons de grandes marques, médicaments, logiciels piratés…) est à vos risques et périls !
Sur internet, on choisi tranquillement les meilleures offres au meilleur prix.
La facilité est le maître mot du web. Les produits achetés arrivent directement à domicile, plus besoin de se déplacer ! Cela est évidemment particulièrement agréable pendant les fêtes de fin d’année ! Fini les bousculades ! Et comme le service est ouvert 24h sur 24, vous pouvez commander n’importe quel produit le week-end ou à minuit. Plus de limite, moins de perte de temps ! Les comparateurs de prix sont là pour vous faire découvrir quelles sont les meilleures offres du moment et vous apporter un maximum de conseils pour mieux vous décider.

Hôtellerie : HRS cible la France

L’allemand Hotel Reservation Service (HRS) vient d’ouvrir un bureau à Paris. Son directeur commercial monte une équipe de 12 collaborateurs. Le spécialiste de la réservation en ligne d’hôtels HRS.com s’internationnalise. Après Shangai et Londres, ce portail a pris ses quartiers à Paris (avenue de l’Opéra), le mois dernier. En qualité de directeur commercial France, Olivier Mouchet (ex-Envergure-Louvre Hotels) en a pris les commandes. Son premier mandat consiste à mettre en place une équipe de 12 collaborateurs, avant de développer tant les ventes que son portefeuille d’hôtels dans l’Hexagone. Grâce au Net, HRS vend des chambres de 180 000 hôtels aux particuliers et aux entreprises, en direct surtout. En complément, le groupe développe un programme d’affiliation ouvert aux professionnels du voyage (compagies aériennes, TO, agences…). Le taux de commission de base sur les ventes oscille entre 3 et 5%.

2006-03-23

Comment créer un catalogue de vente par correspondance

Pour concevoir un catalogue vendeur, il ne suffit pas d'égrener au fil des pages les divers produits de sa gamme. Une argumentation complémentaire est nécessaire pour rassurer l'acheteur, puis le conduire à l'acte d'achat.

À RETENIR
Encouragement à l'achat
- Pour inciter vos prospects à l'achat, votre catalogue doit les renseigner, mais aussi les rassurer sur la qualité de vos produits.
Il doit également les convaincre de la validité de vos allégations.
Pour ce faire, les arguments dits de rassurance sont très utiles.
Arguments de rassurance
- Ces arguments reposent sur plusieurs points vous permettant de valoriser la notoriété et le sérieux de votre entreprise.
Exposez, par exemple, l'historique de votre entreprise, servez-vous des articles de presse la concernant, indiquez la liste de vos principaux clients, utilisez leurs témoignages, tentez de répondre à l'avance aux interrogations que pourront se poser vos futurs clients, etc.
Mise en pages
- Certaines astuces visuelles peuvent rendre vos arguments d'autant plus convaincants.
Agrémentez vos photos de légendes, veillez à leur place dans la page (placez-les plutôt en bordure de page), variez la composition de vos pages...

QUELLE PLACE POUR LE CATALOGUE PAPIER À L'HEURE DU NET ?

LES ÉTUDES montrent que le catalogue constitue une référence incontournable pour l'acheteur à distance, y compris en business to business. En particulier pour l'offre de produits permanents, telles les fournitures de bureau, a contrario des produits textiles. En revanche, le site web apporte une vraie complémentarité pour l'achat de certains produits « casse-tête ». C'est le cas des consommables d'impression informatique, pour lesquels saisir le modèle de l'imprimante à réapprovisionner permet de trouver instantanément les bonnes références, plutôt que de consulter de fastidieux tableaux ! Il ne s'agit donc pas d'opposer l'outil classique du VADiste (le catalogue) à l'outil d'avenir qu'est internet. Par ailleurs, l'influence de ce dernier sur le premier est nette : internet « remodernise » la vente à distance - certains catalogues qui pouvaient paraître vieillots en profitent pour actualiser leur communication et leur image.
UNE ASTUCE POUR LES FINS DE STOCK
IL VOUS RESTE DE NOMBREUX EXEMPLAIRES bleus d'un produit en stock. Comment les écouler facilement dans votre prochain catalogue sans pour autant faire de la promotion ni éliminer la possibilité d'en commander dans une autre couleur ? La réponse est simple : changez la photo de présentation du produit et choisissez-en une où il figure en bleu. En grande majorité, les articles seront alors commandés dans cette couleur. En effet, qu'il s'agisse d'un stylo, d'un vêtement ou d'un meuble, les clients choisissent le plus souvent le ton ou la finition montrée sur la photo de l'article. Même si vous insistez sur l'existence d'autres coloris - y compris en les montrant (en plus petit) dans votre catalogue ! Ce manque apparent d'imagination, qui pose problème aux VADistes lors du choix des photos, est donc aussi une force dans certaines situations de déstockage...
À RETENIR
Rentabilité du catalogue
- Dans un catalogue, le chiffre d'affaires d'un produit n'est pas systématiquement proportionnel à la surface que sa reproduction occupe.
Pour chaque produit, il est important de calculer un ratio chiffre d'affaires par page ou marge par page.
Evolution
- Il est essentiel que vous définissiez précisément vos objectifs.
Votre mise en pages sera différente selon que vous souhaitiez optimiser le chiffre d'affaires ou la marge des produits.
Le Pro de l'achat malin sur le net

2006-03-22

Vendre sa boîte sur Ebay, c'est le pied pour la pub

Les fondateurs de Chaussetteonline mettent aux enchères sur Internet le nom de leur start-up et leur stock.

Comment se faire connaître de millions d'internautes et de repreneurs potentiels pour le prix d'une paire de chaussettes ? En mettant hier leur start-up en vente aux enchères sur Ebay.fr, les deux fondateurs de Chaussetteonline se sont offert un bon coup de pub pour une somme ne dépassant pas, dans l'hypothèse la plus haute, une dizaine d'euros ! Un coût ridicule comparé au montant minimum auquel ils entendent céder leur toute petite entreprise : 30 000 euros minimum (c'est la mise à prix), pour l'achat d'un simple nom de domaine et d'un stock de 2 350 paires de chaussettes. Il leur a suffi de s'acquitter des frais d'insertion d'une annonce sur la plus importante des places de marché de la planète web pour que cette mise en vente d'une modeste PME de commerce électronique au clic le plus offrant devienne une «grande première française», attirant 3 000 curieux dès le premier jour.
par Christophe ALIXQUOTIDIEN
Le Pro de l'achat malin ne sera jamais à vendre aux enchères ! ;o)

2006-03-21

Le Podcast : nouveau dada des marques

Apparu il y a à peine deux ans, le podcasting fait désormais saliver les marques qui y voient un nouveau moyen de communication.

Podcasting. Le mot paraît un peu barbare. Contraction du fameux i-pod d'Apple et de broadcasting (diffusion), il désigne un moyen, souvent gratuit, de télécharger fichiers audio et vidéo internet sur un baladeur MP3. Les premiers à se lancer dans la création de contenus téléchargeables (podcasts), ont bien sûr été les férus de technologie, suivis de près par les radios et télévisions. Aujourd'hui, ce sont aux marques d'investir ce nouveau canal. Car l'occasion est trop belle : en 2005, il s'est vendu 4,7 millions de baladeurs MP3 en France (source : GfK). Dans le monde, Steve Jobs, le patron d'Apple se vante, lui, d'avoir écoulé 32 millions de ses i-pod (qui comptent pour 76 % du marché) l'an dernier. C'est aux Etats-Unis que les premiers podcasts de marque sont apparus. Whirlpool, IBM et bien d'autres ont tenté l'aventure. En France, le phénomène vient de débarquer. « Aujourd'hui, seules deux ou trois entreprises se sont lancées, mais dans quelques mois, il y en aura quarante », prédit Patrick Amiel, Dga de MRM Worldwide. « Et beaucoup de morts », ajoute Laurent Lilti, président d'OgilvyOne. Les deux agences qui se sont chargées des premiers podcasts de marques françaises y voient cependant un nouveau terrain de communication porteur pour ceux qui sauront trouver le bon langage. « Le rôle des marques est en train d'évoluer avec les nouvelles habitudes du consommateur. C'est lui qui choisit quand et ce qu'il veut écouter. Il faut le séduire avec le plus beau contenu même si les marques ne vendent pas de produit », explique Patrick Amiel. Dans le cas contraire, la sanction est immédiate : c'est le consommateur qui décide, in fine, de télécharger ou non le contenu proposé. Pas question donc pour la marque d'être trop intrusive. Les premiers essais en la matière s'inspirent, pour la plupart, de chroniques radio. Ainsi de Nespresso, qui propose de télécharger des recettes de café, ou de Cisco qui a fait appel, pour son podcast, aux journalistes radio Jérôme Colombain et François Sorel qui décryptent les actus du secteur. « Notre rôle est d'investir de nouvelles pistes de communication, souligne Hélène Sancerres, directrice marketing et communication de Cisco. Nous sommes dans une démarche d'éducation, de notoriété. Les deux journalistes sont entièrement libres du contenu. »
NOUVEAU MÉDIA
Il s'agit de ne pas réitérer les erreurs des premiers pas des marques dans l'univers des blogs. Pour créer une vraie relation de proximité et de confiance avec leurs clients et prospects, « les entreprises doivent investir des domaines où elles ont une légitimité et ne pas faire de matraquage », insiste Patrick Amiel. A l'image de Gemey-Maybelline qui diffuse, depuis décembre, des conseils de maquillage. Une première pour L'Oréal et qui pourrait se décliner dans plusieurs pays. En trois semaines, 30 000 internautes se sont rendus sur la page proposant les podcasts. 10 % en ont ­téléchargé. « Le ratio coût/­efficacité défie toute concurrence. Ce n'est pas cher à produire et le public est très ciblé, rien à voir avec la télévision », souligne un responsable internet de la marque. L'outil de communication parfait pour L'Oréal qui opère un rajeunissement de sa cible. Mais les marques vont-elles se contenter de ces chroniques ? L'explosion des téléchargements d'émissions radio et télé offre de nouveaux espaces publicitaires, assez ciblés sur les jeunes urbains. « Il ne s'agit pas d'appliquer la méthode TV au podcast. Cela ne sera pas rentable », rétorque Laurent Lilti. Voire. Outre-Atlantique, les annonceurs se bousculent pour sponsoriser podcasts professionnels et amateurs. L'an dernier, Volvo a déboursé 60 000 $ pendant six mois sur weblog Inc.'s autoblog. Et il n'est pas rare de voir des podcasts commencer par 15 à 30 secondes de publicité. En France, Neuf Telecom s'est illustré en parrainant les téléchargements de la Star Ac'5. Supports de mass média, bien ciblés, permettant une écoute et/ou un visionnage au bon moment, à la bonne place, les baladeurs numériques et bientôt mobiles et PSP deviendront sans aucun doute le prochain terrain de jeu des marques.
Béatrice Héraud
Marketing Magazine N°102
Bientôt le Pro de l'achat malin sur Podcast
www.eboons.com

Voyage-SNCF signe avec Miva et First-Coffee


Premier site marchand dans le secteur du tourisme, Voyage-SNCF choisit First-Coffee pour son programme d'affiliation et Miva pour ses liens sponsorisés
A quelques mois des vacances d'été, le site Voyage-SNCF.com, leader français dans le tourisme sur internet, a décidé de muscler sa présence en ligne en s'offrant deux nouveaux partenaires.
Après un partenariat avec CibleClick, Voyage-SNCF a choisi son concurrent First-Coffee (groupe zanox) pour gérer son programme d'affiliation. "L’ambition première de Voyages-sncf.com est de faire de l’affiliation un canal stratégique d’acquisition, avec pour mots d’ordre : maîtrise, visibilité et transparence." explique l'agence marketing qui proposera un vaste dispositif combinant
flux et visuels XML, mini boutiques et publicité contextuelle avec une rémunération allant de 9 € HT à 20 € HT pour toute commande déclenchée depuis un site affilié.
Annonceur, Voyage-SNCF.com se fait également support publicitaire et signe un second partenariat avec Miva pour afficher des liens sponsorisés contextuels sur ses pages. "Ce partenariat répond parfaitement à la stratégie de MIVA d'apporter des services et des informations commerciales pertinentes aux plus de 7 millions de visiteurs uniques de Voyages-SNCF. MIVA s'affirme ainsi dans sa stratégie de prospection de partenaires leaders sur des secteurs d'activités clés de l'Internet" indique Julien Gardès, Directeur des Partenariats chez MIVA.
Agence de voyage sur internet, Voyages-SNCF a fêté son 5ème anniversaire en 2005 en revendiquant une audience de 7,5 millions de visiteurs uniques mensuels, 16,9 millions de transactions sur son site et un total de de 4,5 millions de clients.
Le Pro de l'achat malin est un partenaire priviligié de voyages-sncf.com

2006-03-20

Ce sont les entreprises qui créent des emplois, il faut donc les favoriser

Christian Poyau (Croissance Plus) : "Ce sont les entreprises qui créent des emplois, il faut donc les favoriser" Par le Journal du Net (Benchmark Group)


L'association Croissance Plus, qui regroupe des entreprises à très forte croissance ainsi que leurs partenaires (sociétés de capital-risque notamment), vient d'organiser une rencontre avec Francis mer, le ministre de l'Economie. A cette occasion, elle a rappelé ce qu'elle considère être des priorités pour les entreprises qu'elle entend représenter, et pris un certain nombre de positions sur les débats en cours autour de l'éocnomie numérique. Tour d'horizon avec Christian Poyau, le PDG de Micropole-Univers, qui préside l'association.


JDN. Croissance Plus réclame "de nouvelles ambitions pour les entreprises de croissance". Qu'est-ce que cela signifie concrètement? Christian Poyau. Nous voulions rappeler que ce sont les entreprises qui créent des emplois et qu'il faut donc les favoriser. Le gouvernement a réalisé un certain nombre de choses en matière de création d'entreprise, notamment par la loi Dutreil. Mais il reste beaucoup à faire, en particulier en matière de financement. La chaîne de financement, le moyen pour les entreprises de lever des fonds, est aujourd'hui quasiment bloqué. Nous proposons des mesures très concrètes pour réorienter les investissements ou l'épargne vers la création et le développement d'entreprises.
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Que peut-on faire selon vous ? La mesure la plus simple et la plus rapide est la création de nouveaux contrats d'assurance vie. L'épargne des Français est en augmentation, ce qui est bien, mais elle s'investit dans des supports très sécurisés, Sicav monétaires ou autres, et pas du tout vers le développement d'entreprises. Nous proposons donc la création d'un contrat d'assurance vie dont la partie la plus importante, 80 à 90 %, resterait orientée vers des placements très stables, le reste allant au développement ou à la création d'entreprises, avec un avantage fiscal à la clé. Les fonds qui gèrent ces contrats seraient obligés d'en réinvestir une partie dans ces sociétés.


Dans un autre domaine, le social, vous demandez une nouvelle réglementation sur les 35 heures. Qu'en attendez-vous ? L'amélioration de la réglementation sur les 35 heures réalisée par le gouvernement au début de l'année n'a pas d'effet sur les sociétés majoritairement constituées de cadres, ce qui est le cas des sociétés de croissance dans la high-tech, les biotechnologies ou l'innovation. Et les 35 heures pénalisent très fortement la productivité de nos entreprises par rapport à ce qu'on peut voir à l'étranger. Or la problématique off-shore est malheureusement de plus en plus présente et il y a là un vrai risque. Le coût du travail en France, déjà très important du fait des charges sociales, est encore renforcé par les 35 heures. Il faudrait donc réfléchir sur ce sujet et nous souhaitons trouver des solutions concrètes. Notre but n'est pas de protester pour protester… Dans le même ordre d'idées, nous estimons que les contrats de travail ne sont pas toujours adaptés. Une entreprise qui se crée ne peut pas tout de suite embaucher des CDI, mais lorsqu'elle se lance sur un projet de recherche d'un an ou deux, elle devrait pouvoir embaucher des gens en "contrat de mission", sur la même durée.


Vous avez aussi présenté des propositions pour "encadrer l'économie numérique". N'est-ce pas paradoxal d'entendre des chefs d'entreprises réclamer un encadrement de l'économie ? Vous prenez le document au pied de la lettre… Il y a de nombreuses discussions sur tous ces sujets, sur les failles qui existent, et nous sommes conscients qu'il faut veiller à régler les problèmes. Tous les membres de Croissance Plus sont évidemment pour l'économie de marché, mais nous savons très bien qu'une économie de marché se doit d'être régulée pour éviter les dérives. Notre objectif est bien de lutter contre le problème des "vrais" spams "durs" et de rester vigilants afin que la nouvelle réglementation européenne, qui va être prochainement transposée, ne favorise pas les entreprises étrangères et extra-communautaires au détriment des entreprises françaises. Nous voulons établir des fondements solides pour ces entreprises en hyper-croissance.


Mais on reproche souvent au processus législatif d'être trop lent, et donc dépassé par le renouvellement des technologies… Il est vrai que les technologies vont plus vite que les lois. Mais il faut se débrouiller pour que la loi suive avec le moins de retard possible. C'est là que des associations comme les nôtres ont un rôle à important à jouer auprès du législateur. Nous savons très bien que sur ces notions, tout le monde tâtonne, et je respecte beaucoup le travail des gouvernements là-dessus. Croissance Plus essaie juste de mesurer pleinement la difficulté de l'exercice, sans hurler avec les loups.
Parmi les mesures préconisées figure celle, symbolique, de la création d'un secrétariat d'Etat aux NTIC. Quel intérêt ? Les nouvelles technologies ont un impact sur toute l'économie, quelle qu'elle soit. Elles devraient être reconnues à ce titre, et pas pour faire plaisir à tel ou tel lobby. Sur la forme, il faut donc prouver l'engagement de l'Etat dans ce domaine, considéré comme un vecteur de développement pur. Sur le fond, il serait nécessaire de centraliser un peu plus, ou en tout cas d'en avoir une vision globale. Des gens s'en occupent déjà, comme Laurent Sorbier à Matignon. Mais je suis persuadé que c'est un poste qu'on verra apparaître dans les prochaines années.


Que représente Croissance Plus aujourd'hui ? Nous sommes un peu plus de 150 entreprises, plus des membres associés, cabinets d'avocats, juristes, cabinets de conseil comme McKinsey ou Ernst & Young. Ces entreprises vont de la start-up à la société de 10.000 personnes. Une majorité, 60% environ, sont des sociétés de high-tech ou de biotech, mais nous avons aussi des sociétés industrielles ou dans les services. Croissance Plus n'est donc pas juste un lobby de sociétés high-tech cotées à Paris… Notre leitmotiv est une volonté de croissance qui doit se traduire dans le temps, même s'il y a des années où on en fait moins, comme en ce moment par exemple. Le deuxième grand axe est le partage des fruits de cette croissance avec les salariés, sous forme d'ouverture du capital par les stock-options, les BCE, la participation, l'intéressement.
En savoir plus
Quel rôle peut jouer une telle association?Croissance Plus est née en 1997, soit bien avant la bulle. Après la bulle, certains ont dit que c'était fini et nous ont même appelés Décroissance Plus. Mais nous continuons plus que jamais, ce qui prouve la logique de l'association. Nous avons toujours travaillé avec les politiques et de manière apolitique. Nous l'avons fait avec le gouvernement Jospin, nous avons fait beaucoup de choses avec Dominique Strauss-Kahn, aujourd'hui avec le gouvernement Raffarin. Nous considérons que les chefs d'entreprise ont le droit et le devoir de s'exprimer et de faire des propositions concrètes pour faire bouger les choses et changer le modèle social. Aujourd'hui, en France, l'entreprise est encore trop vue comme un lieu de conflit systématique entre le patron et ses collaborateurs. Il y aura toujours des discussions et des conflits d'intérêt, mais une entreprise est un bateau, une communauté d'hommes et de femmes qui partagent un objectif et doivent mécaniquement arriver au meilleur consensus pour faire avancer le bateau. Christian Poyau a été consultant chez Deloitte & Touche puis au sein de Peat Marwick Consultants, avant de co-fonder avec Thierry Letoffé la SSII Micropole, devenue Micropole-Univers, dont il est le PDG. Il préside Croissance Plus pour un mandat non-renouvelable de deux ans. Son successeur sera désigné en fin d'année en entrera en focntion début 2004

Le Pro de l'achat malin sur le net

CREER ET DEVELOPPER UNE ACTIVITE SUR LE NET :


Cet article, loin de se vouloir exhaustif, a pour objet principal de permettre à chacun d’acquérir quelques réflexes pour développer une activité sur le Net en créant une entreprise qui permettra éventuellement de se protéger en amont et de circonscrire en aval l’étendue de sa responsabilité.
En qualité de professionnel, la question des modalités de gestion du site Internet, vitrine commerciale de l’activité, va se poser. L’exploitation du site se fera-t-elle sous forme d’entreprise individuelle ou sous forme de société commerciale ? Doit-on préférer racheter un site « clef en mains » ou racheter la société qui l’exploite ?
La première question abordée sera celle de la création de l’entreprise sous forme individuelle ou commerciale et la reprise d’entreprise. Puis suivront les différents thèmes mentionnés ci-après :
1 – Créer ou reprendre une entreprise
2 – Choix du statut juridique lors de la création de son entreprise: caractéristiques juridiques, sociales et fiscales des différentes formes d’entreprises
3 – Choix du régime fiscal
4 – Le financement
5 – La mise en place d’un cadre légal avant de lancer son activité économique
6 – La reprise d’une entreprise

1- Créer ou reprendre une entreprise individuelle ou commerciale
Avant d’entreprendre quoique ce soit, il faut être bien sûr de soi et adapter son projet à sa personnalité. Cette première démarche permet de connaître les potentialités et les limites de son esprit entrepreneurial, donc la viabilité du projet.
Une fois cette première démarche effectuée, il faut définir plus précisément son projet : souhaite-t-on créer une activité et l’exploiter en entrepreneur individuel ou par l’intermédiaire d’une société commerciale ; ou bien souhaite-on reprendre une entreprise exploitant déjà un site web?
Le choix de la création
Chaque possibilité évoquée offre des avantages (facilités fiscales, mesures ponctuelles, …) mais aussi des inconvénients.
L’entreprise individuelle - La formation d’une entreprise individuelle, dite aussi « en propre », est la plus simple mais aussi la plus risquée puisque les biens personnels du créateur sont engagés d’office.
Comme il n’y a pas constitution de société, cela convient aux activités qui n’exigent ni gros investissements, ni endettement lourd.
L’entrepreneur est responsable des dettes de son entreprise sur son patrimoine personnel et professionnel, ce qui incite souvent à un changement de régime matrimonial.
Comme son nom l’indique, l’entreprise individuelle ne permet pas d’exercer avec un associé. L’entrepreneur individuel est un travailleur non salarié, imposé au titre de l’impôt sur le revenu dans la catégorie des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC).
L’adhésion à un centre ou une association de gestion agréée lui donne droit à un abattement de 20 et 10% sur le bénéfice imposable.
Le salaire du conjoint collaborateur est aussi déductible, ainsi que ses cotisations sociales.
Il ne peut bénéficier d’allocations de chômage mais peut souscrire à l’assurance de l’Association pour la Protection des Patrons Indépendants (APPI), ou de la Garantie Sociale des Chefs et dirigeants d’entreprise (GSC).
La création d’une société commerciale - Si vous créez une entreprise pour gérer votre site, les démarches administratives peuvent être lourdes et les banques difficiles à convaincre. Mais ceci peut vous permettre de vous positionner sur une niche jusque-là inexploitée en limitant votre responsabilité.
Etudes de marché préalables à la création d’activité et mesure du risque de divulgation - Plus votre idée d’activité économique est nouvelle, plus vous devrez vous interroger sur la capacité de futurs clients à l’accepter. Plus votre idée sera banale, plus vous devrez vous interroger sur sa réelle utilité par rapport à l’offre déjà existante sur le marché.
L’enjeu d’une étude de marché sera de déterminer les chances de réussite ou les risques d’échec d’une activité nouvelle. Ne la négligez donc pas ! Certes elle représente un investissement initial qui peut apparaître lourd (1), mais des solutions peu onéreuses existent. Adressez vous par exemple aux associations d’élèves de grandes écoles de commerce (HEC, ESC, …) ou aux juniors entreprises. Enfin, dernière possibilité : réalisez vous-même votre propre étude en vous adressant à l’INSEE, aux groupements et syndicats professionnels, en vous déplaçant sur les salons correspondants à votre secteur.
Votre idée en soi ne pourra être protégée mais cela ne devra pas vous dissuader de la tester. Si vous ne pouvez vous prévaloir d’avoir eu l’antériorité d’une simple idée exprimée oralement (proposer un jeu sur internet, vente de produits nouveaux avec une méthode commerciale originale …), vous pourrez en revanche revendiquer l’antériorité d’éléments tangibles comme un écrit, un exposé technique, une enseigne, ou même un simple jingle musical, à condition de respecter certaines précautions préalables : dépôt de brevet pour une innovation technique, dépôt à l’INPI d’une enveloppe, dite enveloppe SOLEAU, qui explicite et reproduit votre idée, brevetable ou non, qui vous permettra d’apporter la preuve que vous avez eu votre idée à une date déterminée … (2)
Le choix de la reprise
Si vous reprenez une affaire, votre entreprise bénéficie déjà d’une certaine place et notoriété sur son marché. Revers de la médaille, vous devrez vous adapter à une culture d’entreprise déjà existante et risquez le « cadeau empoisonné » : en rachetant des parts d’une société, vous acquérez les actifs mais aussi les passifs. Vérifiez donc les dettes en cours ! Et n’hésitez pas à poser des questions indiscrètes pour être sûr que l’on ne vous cache rien : en rapprochant le poste « client » et les ventes, peut-être vous apercevrez vous que l’entreprise vend mais qu’elle n’est pas payée ; jetez un coup d’œil sur les provisions de toutes sortes, pour débusquer par exemple un litige aux Prud’hommes ou avec un client. Si l’entreprise est censée être rentable, demandez où est passée la trésorerie …
Une fois ces questions posées, vous pouvez faire votre choix en toute sérénité, à condition aussi d’effectuer une étude de marché sérieuse.
Respecter quelques contraintes légales
Certaines activités nécessitent un diplôme, une licence ou une autorisation administrative ; ou bien les produits que l’on envisage de réaliser peuvent être soumis au respect de certaines normes.
Les investigations pendant la phase de validation de l’idée doivent servir à prendre en compte la législation existante, dont le respect peut entraîner un enchérissement substantiel du projet, et prévenir toutes les menaces de modification dans un sens défavorable de la législation actuelle. En ces temps d’inflation législative et réglementaire, il faut continuellement veiller à s’informer. En effet, une nouvelle réglementation peut avoir une incidence telle que votre projet peut subitement ne plus s’avérer viable.
Il faut également vérifier que les clauses de votre ex-contrat de travail ne vous interdisent pas certains types d’actions.
Procédures juridiques préalables
Le lancement économique, prioritaire dans l’ordre de vos préoccupations, ne doit pas occulter la mise en place d’un cadre légal qui vous permettra d’agir en toute sécurité.
Les frais de créations d’un entrepreneur individuel sont peu importants : environ 110 € pour l’immatriculation au registre du commerce et des sociétés, il faut compter entre 100 € et 150 € pour le répertoire des métiers.
Si vous optez pour la constitution d’une société commerciale, certaines formalités juridiques seront à accomplir et notamment l’immatriculation de votre entreprise au Centre de Formalités des Entreprises (CFE). Vous serez amené à accomplir des actes et à prendre des engagements pour le compte de la société en formation. Il est alors important de savoir jusqu’où vous pouvez aller, sur le plan de vos droits et responsabilités, pendant cette période. Il faudra distinguer les actes accomplis avant la signature des statuts des actes accomplis entre la signature des statuts et l’immatriculation au Registre du commerce et des sociétés.
Cette question sera traitée dans le cinquième article visé en introduction.
Une fois toutes ces questions abordées, vous pourrez faire votre choix en toute sérénité !

Philippe GERARDAvocat au Barreau de PARIS

2006-03-18

Le boom du e-commerce

Avec une progression de 53% en 2005 (Chiffres Fevad) , les ventes du commerce électronique poursuivent leur croissance. Le chiffre d’affaires en France dépasse désormais les dix milliards d’euros.

Pour protéger les consommateurs et informer les vendeurs, le ministère des PME prépare avec la Fédération de la vente à distance (Fevad) une charte de déontologie pour l’e-commerce. Les vendeurs particuliers devraient être systématiquement dissociés des vendeurs professionnels. Si le volume des ventes d’un vendeur particulier atteint un niveau significatif, la charte lui rappellera les risques encourus et lui proposera de créer sa propre entreprise - un guide interactif du créateur d’entreprise de commerce électronique sera bientôt disponible.
Le Pro du e-commerce malin

2006-03-16

La Chine souligne l'importance de la crédibilité dans l'e-commerce



La Chine a récemment installé un centre d'évaluation de crédibilité de l'e-commerce dans un effort de faciliter la croissance saine des entreprises en ligne, selon l'Association Chinoise de l'E-commerce. Le centre aidera à certifier si le magasin en ligne existe vraiment, s'il fonctionne légalement, s'il protège l'information personnelle des clients et s'il travaille correctement, a indiqué M. Song Ling, le Président de l'Association. Une estimation de la crédibilité des compagnies de e-commerce sera donnée, et la liste sera consultable par les clients sur le site Web du Centre, a précisé M. Song. Les experts pensent que cet effort adressera la question du manque de crédibilité qui gêne le développement de l'e-commerce en Chine. L'e-commerce en Chine a vu ses transactions s'élever à 600 milliards de yuans (environ US$74,5 milliards) vers la fin de 2005, mais ce type de commerce a souvent été troublé par un manque de crédibilité et des difficultés dans les paiements. Pour comparaison, en achetant en ligne, 93% des acheteurs américains mettent la priorité sur la crédibilité et trois quarts d'entre eux choisissent d'acheter seulement à des compagnies avec une forte crédibilité.

Source: le Quotidien du Peuple en ligne
Le Pro de l'achat malin est en connexion permanente avec la Chine

2006-03-15

Le web 2.0, c'est un retour à la course à l'innovation


Technologie - Lancé fin 2005 à Paris, Netvibes a déjà séduit 600 000 utilisateurs. La raison? Un service web 2.0 qui pousse les limites de la personnalisation et de la simplicité, selon son fondateur Tariq Krim.


Netvibes propose un
service de page d'accueil sur mesure que 600.000 internautes ont déjà adopté en moins de quatre mois. Totalement personnalisable, cette page permet d'agréger ses e-mails, ses fils d'informations RSS ou ses tags "del.icio.us". Il propose aussi des outils tels qu'un bloc-notes ou une liste de tâches et de nombreux autres modules sont en préparation.
Tariq Krim, son fondateur, expose pour ZDNet.fr les objectifs de son service et sa vision du web 2.0.

ZDNet.fr: Quelle est votre définition du web 2.0? Tariq Krim: Le web 2.0, c'est un retour aux fondamentaux de l'internet: remettre l'utilisateur au centre de l'internet, lui faciliter ses relations avec les services et les autres utilisateurs, lui permettre de gagner du temps en allant à l'essentiel. C'est aussi un retour à la course à l'innovation dans les services et dans les outils internet qui s'était arrêtée après la "bulle".

Quel est le principe de Netvibes? Netvibes est une page de démarrage sur mesure pour les internautes. L'accumulation de services et de sources d'information ont complexifié la vie numérique des utilisateurs: que ce soit au bureau ou à la maison, ils s'abonnent à un grand nombre de services (eBay, e-mails, services internet, etc.). Avec Netvibes, il devient possible de surveiller et de suivre sur une page toute sa vie numérique, mais également ses blogs favoris, ses podcasts, de créer des notes qui seront disponibles de n'importe où avec un simple navigateur internet.
Qu'apportez-vous de réellement innovant? Nous poussons les limites de la personnalisation, mais également de la simplicité. L'enjeu c'est de permettre en quelques clics de se créer une page sur mesure. Incluant les dernières technologies du web, nous proposons une expérience utilisateur supérieure à tout ce qui existait jusqu'à présent. La personnalisation des services (météo, flux d'actualités ou de podcast, liste de tâches, notes en ligne) devient un vrai plaisir. Avec Netvibes, c'est l'information qui vient à vous, et uniquement celle qui vous intéresse.
Pourquoi avez-vous lancé ce service, quel a été le déclencheur?Nous nous sommes dit que le web et l'accès aux services internet n'étaient pas assez simples. De nombreux sites nous demandent de naviguer entre les pages pour trouver la bonne information. Avec l'explosion des blogs, des flux RSS et des services web, il devenait opportun de créer une page qui permette aux utilisateurs d'aller à l'essentiel en profitant des dernières innovations en matière d'interface graphique et de technologies.
Quel est votre modèle économique?Notre site est entièrement gratuit et le restera. Notre priorité est de continuer à simplifier l'accès à l'internet à nos utilisateurs. Nous travaillons à rendre compatible les modèles économiques traditionnels (affiliation, abonnement, publicité) à ces nouvelles exigences des consommateurs. Le web 2.0 a créé un écosystème de nouveaux services internet, et nous travaillons avec plusieurs d'entre eux pour trouver de nouveaux modèles.
Quels sont vos principaux concurrents?Microsoft et Google ont lancé des services qui proposent des fonctionnalités semblables. Il est intéressant de voir que depuis le lancement de Netvibes, plusieurs services très similaires ont été lancés.
Allez-vous proposer des API (*) publiques?Absolument.
Google propose déjà 330 modules pour sa page d'accueil personnalisée. Des développeurs du monde entier les créent car Google fournit un kit de développement. Pourquoi ne suivez-vous pas cette voie? Nous avons pris notre temps parce que nous souhaitons conserver dans les modules qui seront développés par des tiers, la simplicité et une cohérence avec la charte de Netvibes. L'enjeu n'est pas tant la course aux nombres de modules, mais d'entériner leurs usages effectifs par les utilisateurs. Cette exigence se traduit aussi par la volonté de proposer un kit de développement beaucoup plus simple qui puisse permettre à un développeur débutant de monter son propre module.
Quelles technologies utilisez-vous pour développer NetVibes?Nous nous appuyons sur des logiciels libres et sur une infrastructure LAMP (Linux, Apache, MySQL, PHP). Notre framework AJAX a été développé en interne.
Quels sont selon vous les trois tags ou fonctionnalités qui définissent le mieux le web 2.0? Architecture de participation, simplicité, proximité.
Et le service que vous proposez? Simple, personnel, vivant.
Par Frédéric Bordage
ZDNet
Le Pro de l'achat du net intégre cette pilosophie dans les services offerts aux internautes

Les Electronic Business Days

Les Electronic Business Days sont le rendez-vous annuel des professionnels des échanges de données inter-entreprises : prestataires, organismes et utilisateurs. Ensemble, ils balaient les nouveautés et les usages, de « l’EDI » (échanges de données informatisés) au E-Commerce B2B.
Trois mouvements de fonds marqueront cette édition.
- L’émergence accélérée du « ebXML » (XML pour le e-business), en cours de standardisation au sein de l’UN Cefact, comme le fut Edifact il y a 20 ans (langage dédié de l’EDI)
- La banalisation de relation inter-entreprises structurées et récurrentes sous forme de formulaires électroniques (Web EDI)
- La montée en puissance de la dématérialisation de la facture.
Une conférence-événement : Compétitivité des filières industrielles, trois études de cas sur l’impact stratégique du déploiement d’échanges de données et de e-commerce B2B dans des filières industrielles françaises.
Agriculture, Cosmétique, Santé. Analyses des méthodes de standardisation des données, de déploiement dans les filières et de leurs enjeux financiers. Quatre autres conférences : - ebXML dans l’industrie et l’Administration. Avec notamment la participation de la DGME, la Direction Générale de la Modernisation de l’Etat, qui présentera ses orientations en matière de méthodologies de modélisation, d’interopérabilité et de déploiements.
- Echanges électroniques banque - entreprise : état de l'art et enjeux 2006 – 2010.
- Dématérialisation de facture dans la distribution.
Des représentants de Carrefour, Danone et 3M présenteront leurs déploiements.- Meilleures pratiques du commerce collaboratif.
Ateliers Techniques / Etats de l’art : - Services de dématérialisation de factures. - EAI / BPM : Intégrer et administrer les flux dématérialisés
- WEB EDI dans l'Automobile - Dématérialisation : factures, données comptables, flux documentaires.
- Certification des échanges électroniques
- Plate-formes techniques pour les échanges B2B
- Nouveaux services e-achat B2B / E-Procurement
Le Pro de l'achat malin sur net

EAI
Enterprise Application Integration des applications dans l'entreprise.
Encore un acronyme à trois lettres pour une fonction à la mode...
Le but du jeu est de faire fonctionner ensemble (en particulier en matière d'échange transparent de données) les programmes existant dans une entreprise, en vérifiant leur interopérabilité, et gérer l'hétérogénéité générale
Comma Separate ValueCSV,
Extension de fichier contenant des données séparées par des virgules. Excel, par exemple, est capable de lire des fichiers portant cette extension.

2006-03-14

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e-Commerce : des ennuis pour Multe-pass ; Ca va de mieux en mieux maintenant


Nos confrères de 01net ont fait le point sur la société Multe-pass (www.multe-pass.com) en rapportant qu'elle faisait face à une information judiciaire pour publicité mensongère ainsi qu'une enquête de la DGCCRF (Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes). Fin 2004, la société était victime de problèmes avec ses fournisseurs « Sur les 31 000 colis expédiés au moment des fêtes, 900 ne sont pas arrivés dans les délais promis, en raison de problèmes avec les fournisseurs ou les transporteurs » expliquait-elle à l’époque. « Le 1er jour de décembre 2004 a été l'équivalent du mois de décembre 2003 » expliquait le gérant d’alors.

Le grand boum de l’e-commerce à Noël rendait la situation encore plus complexe, avec retards, commandes non honorées et remboursements difficiles, rapportait en son temps le journal Le Progrès. Des centaines de plaintes auprès de la DGCCRF ont ainsi provoqué cette ouverture d’une information judiciaire pour tromperie et publicité mensongère au printemps 2005. La procédure n’est toujours pas achevée et aucune condamnation n’a donc été prononcée à ce jour. Ces ennuis se cumulent alors que la société enregistre en outre un taux de satisfaction peu élevé chez Fiat-Net (47% des clients rachèteront sur le site), label de confiance bien connu. Le taux de résolution des litiges amiables est toutefois de 98%, pour une durée moyenne de résolution de 14 jours. Ces 98% restent pour le moins exceptionnels dans le secteur.

On rappellera que la boutique en ligne s’était fait racheter à l’automne 2005, par une autre société lyonnaise, Avenir Numeric’s, sur une base de 3 millions d’euros. « Jusqu’à présent, multe-pass vendait des produits que le site achetait ensuite à des fournisseurs ; nous voulons aujourd’hui avoir du stock pour 15 jours à 3 semaines de vente » expliquait Laurent Ulrich, son propriétaire. Ce dernier assure que depuis la société profite d’entrepôts plus grands destinés à éviter les incidents passés.

www.multe-pass.com

Marc Rees
01net
Le Pro de l'achat malin sur le net connait les subtilités de la logistique e-commerce

2006-03-13

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2006-03-11

Le premier centre commercial virtuel a ouvert ses portes


Le premier centre commercial virtuel a ouvert ses portesLecentredumonde.com, lancé en décembre dernier, est une galerie marchande en 3D reproduisant graphiquement l’univers d’un centre commercial. Les plus grands sites marchands sont déjà partenaires.
09 Mars 2006
Le site
Lecentredumonde.com Le concept : proposer une nouvelle expérience d'achat en ligne, comparable au shopping physique à l'intérieur d'un centre commercial. Le moyen : un univers en 3D reproduisant graphiquement la navigation à travers des galeries de boutiques. Lancé en décembre 2005 par la PME toulonnaise AICOM avec un budget de communication de 30.000 euros, le site Lecentredumonde.com référence déjà plus de 80 partenaires marchands, dont de nombreuses enseignes de renom, convaincues par l'intérêt de cette expérience. L'objectif de l'année 2006, à savoir atteindre 180 partenaires, sera vraisemblablement rempli sans encombre. Durant le premier mois d'activité, 80.000 euros ont été dépensés par les internautes sur les 50 boutiques qui composaient alors Lecentredumonde.com, à raison d'un panier moyen de 80 euros, hors voyage et banque. Car ce site de commerce électronique d'un genre particulier couvre tous les univers de consommation habituellement représentés dans un centre commercial, y compris ces deux derniers secteurs. Si l'habillement et le multimédia sont ceux qui contribuent le plus au chiffre d'affaires, l'alimentation, l'électroménager, les bijoux, le développement photo ou encore le jardinage font partie des 26 catégories présentes sur le site.
Et la largeur de l'offre n'est pas un problème. "Les partenaires ont très bien réagi dès le départ, explique Jean-Pierre Mourot, gérant et fondateur de AICOM. Pour lancer le projet, nous avions réalisé une maquette en intégrant au préalable les boutiques des partenaires auxquels nous l'avons présentée. Nous n'avons rencontré aucun refus. Au contraire, nous refusons 90 % des demandes de référencement que nous recevons." Ce qui permet parfois à AICOM de faire monter les enchères sur le montant de son commissionnement, puisque Lecentredumonde fonctionne sur le business model de l'affiliation. Très variable d'un secteur à l'autre (il est par exemple élevé dans la parfumerie et faible sur les produits informatiques), le reversement s'échelonne entre 2 % et 12 %, sachant que dans certains cas, le taux varie en fonction des volumes. Dans la banque et l'assurance, le site est rémunéré au lead (formulaire rempli). Parmi les partenaires, figure notamment La Redoute, Promod, Houra, Finaref, Yves Rocher, Fnac, Rue du Commerce, Lastminute, Fauchon, Sarenza… Des marques qui n'ont pas émis de veto particuliers concernant leur "emplacement" dans le centre commercial virtuel.
Un taux de transformation de 2 %Directement tributaire des ventes générées sur les sites partenaires via sa redirection, Lecentredumonde se positionne de manière paradoxale. En effet, Jean-Pierre Mourot précise avoir voulu conserver dans son service "l'esprit du centre commercial, que l'on parcourt par plaisir, sans forcément rechercher quelque chose en particulier". Mais flânerie et taux de transformation ne font pas forcément bon ménage ! Pourtant, le site affirme atteindre un taux de transformation de 2 %, dans la moyenne du commerce électronique. "Les taux de transformation grimpent à partir du moment où les internautes rentrent dans les boutiques", ajoute Jean-Pierre Mourot. Car avant d'entrer effectivement dans la boutique d'un partenaire, le visiteur passe obligatoirement par une "place", emplacement regroupant quatre boutiques, puis fait une halte devant la vitrine du magasin choisi. Cette vitrine est designée par AICOM, sur la base de la charte graphique du site Web de la marque. La première étape, celle de la "place", accentue l'effet flânerie et permet d'orienter les internautes vers des boutiques qu'ils ne connaissent pas forcément ou qu'ils n'avaient pas l'intention de visiter. La seconde permet d'afficher des informations sur la boutique en question (moyens de paiement, mises en avant produits…), fournies directement par le partenaires (parfois en exclusivité) ou extraites de leur site par les équipes d'AICOM.
Des choix de navigation osésDes choix de navigation osés, car n'allant pas dans le sens de la réduction du nombre de clics. En même temps, le cœur de cible du site sont les nouveaux internautes : n'étant pas habitués à acheter en ligne, la flâner peut avoir des vertues puisqu'ils ne connaissent pas forcément les acteurs de l'Internet, ne savent pas forcément comment trouver des marchands par le biais des moteurs de recherche, et ont besoin d'être rassurés avant de réaliser un acte d'achat en ligne. La question qui reste en suspens est la suivante : une fois que ces internautes auront découvert via Lecentredumonde les marchands qui les intéressent, ne s'y rendront-ils pas ensuite directement ? La réponse est négative, si l'on en croit Jean-Pierre Mourot. "Pour Vert Baudet, sur laquelle nous disposons de statistiques, 70 à 80 % des clients qui achètent via Lecentredumonde ne sont pas des nouveaux clients." En matière de navigation, toujours, plusieurs points d'entrée sont offerts aux visiteurs : la recherche par catégorie (habillement, livres…), par boutique, et un plan graphique. C'est ce dernier qui est le plus utilisé, ce qui confirme que les visiteurs du site sont à la recherche d'une expérience différente. Celle-ci est assez poussée, puisque des hôtesses virtuelles sont présentes tout au long des pages pour guider l'internaute dans sa visite, par le biais de messages sonores. La solution de synthèse vocale provient de Sitepal. Pour l'instant, Lecentredumonde ne propose pas en revanche de musique d'ambiance, à l'instar de ce que font les véritables centres commerciaux. L'un des projets à très court terme, pour AICOM, consiste à étendre le système de synthèse vocale afin de créer des "liens sponsorisés sonores", qui seront commercialisés en interne et procureront une source de revenus supplémentaires au site.

Le site Lecentredumonde.com A moyen terme, fin 2006, l'objectif du site est d'atteindre 180 partenaires, un plafond qui ne sera pas dépassé. La sélection de partenaires sera toutefois renouvelée à hauteur de 10 à 15 % chaque année, afin de ne conserver que les boutiques les plus performantes. Lecentredumonde devrait, à terme, contribuer pour une large part au chiffre d'affaires de AICOM, qui repose pour l'instant à plus de 50 % sur le site Cheznous.fr, dédié à la location immobilière et la réservation hôtelière. La société, qui a été créée en 1993 et exploitait à l'origine des services immobiliers sur Minitel, s'est en effet reconvertie dans les années 2000 dans la création de sites Internet. Elle exploite également 6clics.com, Localerte.com, Dingdengdong.com et Lalettredujour.com. AICOM a réalisé en 2005 un chiffre d'affaires de 500.000 euros environ, pour un résultat de l'ordre de 10 %.
Le Pro de l'achat de l'achat malin sur le net même en 3D

2006-03-10

Fraude en ligne : Fia-Net fiche les escrocs


Fia-Net contre-attaque. Pour faire face à l'augmentation sensible de la fraude sur Internet en 2001 (+ 443 % de progression annuelle chez les 1 200 e-commerçants estampillés Fia-Net), l'assureur a mis en place, en mai 2002, un "Système d'Analyse des Commandes" auquel correspond l'acronyme SAC. Objectif : détecter les ordres frauduleux ou susceptibles de l'être, grâce à une base de données mutualisée qui recense les incidents et l'historique des commandes des différents marchands souscripteurs. Un fichier constitué en toute légalité et, à ce titre, déclaré à la CNIL.
A ce fichier s'ajoute un algorithme qui analyse les transactions des sites marchands adhérents. Celui-ci procède à un ensemble de vérifications. Il teste, entre autre, la cohérence des coordonnées postales et téléphoniques avec le nom de la personne, ainsi que la cohérence des coordonnées bancaires et de l'adresse de livraison du cyberacheteur avec l'historique de ses commandes.
Dans ce processus d'analyse, les numéros de téléphone portable, sans être décisifs, sont un facteur de suspicion, de même que les adresses e-mail gratuites. Les adresses postales collectives, comme les foyers, sont également considérées comme un facteur de risque, de même que la multplication des adresses et des numéros de carte bancaire pour une même personne. Des indicateurs qui peuvent être adaptés aux spécificités de chaque e-commerçant, les mailles du filet pouvant être plus ou moins lâches.
Si l'outil détecte un faisceau d'anomalie, le marchand est systématiquement prévenu. Charge à lui, ensuite, de valider la commande s'il estime que celle-ci ne comporte pas de risque ou de demander des pièces justificatives supplémentaires à son client. Cette décision est sous son entière responsabilité : s'il décide de livrer une commande rejetée formellement par le SAC, elle ne lui sera pas remboursée par Fia-Net en cas de problème.
Selon David Botvinik, directeur général de Fia-Net, "ce système de scoring offre deux principaux avantages : la mutualisation des coûts et des informations ayant trait à la fraude, ce qui permet une plus grande efficacité dans la détection des commandes frauduleuses". En fonction du taux de fraude du marchand, l'adhésion au SAC est facturé entre 0,2 et 0,7 % de son chiffre d'affaires. Quant au taux de litige de paiement, il a baissé, selon l'assureur, de près de 70% grâce au SAC.

En savoir plus
Bernard Elhaik David Botvinik Fia-Net

Convaincu de la nécessité d'un tel système, Fia-Net l'a intégré début 2003 à ses contrats d'assurance. Aujourd'hui, 700 des 1 200 clients de l'assureur ont souscrit à ce système, ce qui correspond à un volume de transactions mensuelles de 60 millions d'euros. Une base qui devrait progressivement s'étoffer suite à l'accord de partenariat noué par l'assureur avec BNP Paribas, en vue d'offrir une solution de paiement sur Internet comprenant système de détection, assurance contre la fraude et plate-forme de paiements.
Le Pro de l'achat malin sur le net sélectionne en priorité les sites validés par FIA NET

Accélération de l’achat en ligne chez les seniors



Avec la démocratisation de la connexion Internet à haut débit et chez un toujours plus grand nombre de foyers en France et en Europe, le e-commerce explose littéralement.
Nous savons qu’il atteint déjà 14 millions de paiements CB au deuxième trimestre 2005.



L’EVOLUTION DES INTERNAUTES SELON MEDIAMETRIE : Accélération de l’achat en ligne chez les seniors;
10,6 millions d’internautes, soit 45% d’entre eux ont déjà effectué un achat en ligne au 4ème trimestre 2004 contre 38% au 4ème trimestre 2003. Le nombre d’internautes était de 23,6 millions au quatrième trimestre 2004 et le nombre d’acheteurs en ligne de 10,6 millions : ces derniers ont progressé trois fois plus vite que les internautes (+9% d’internautes en un an, +28% d’acheteurs en ligne pendant la même période). 47,5% des internautes déclarent avoir confiance dans l’achat en ligne. La confiance s’accélère en particulier chez les non acheteurs : au 4ème trimestre 2004, on comptait 3,7 millions d’internautes n’ayant pas encore franchi le pas de l’achat en ligne mais déclarant avoir confiance dans l’achat en ligne. Ceci constitue un potentiel de croissance intéressant. En termes de catégories de population, l’ensemble des cibles jusque là sous-utilisatrices de l’achat en ligne, comblent leur retard. En particulier, l’achat en ligne progresse plus vite chez les 50 ans et plus que chez l’ensemble des internautes. Pour la première fois, les acheteurs de 50 ans et plus sont proportionnellement plus nombreux que les internautes de cette tranche d’âge. Enfin, le haut débit est un facteur résolument favorable à l’achat en ligne : en effet, alors que 45 % des internautes sont acheteurs en ligne, cette proportion monte à 61% chez les connectés haut débit à domicile.
PANEL ACSEL : AGREGES PAR PRICEWATERHOUSECOOPERS : Hausse de près de 65% du chiffre d’affaires du e-commerce français en 2004.

Les 24 e-commerçants du panel de l’ACSEL ont réalisé un chiffre d’affaires de 612,2 millions € au cours du quatrième trimestre 2004, soit une progression de +62,4% par rapport au quatrième trimestre 2003, à périmètre comparable. Avec un chiffre d’affaires total de plus de 2 milliard d’euros (2.080,5 millions plus précisément) en 2004, l’activité de ces e-commerçants a progressé de +64,8% par rapport à 2003. 10,1 millions de transactions ont été enregistrées au quatrième trimestre 2004, soit une variation de +75,8% par rapport au quatrième trimestre 2003. Enfin, relevons que la croissance ne faiblit pas ; l’activité au mois de janvier 2005 montre une progression de +65% du chiffre d’affaires par rapport à janvier 2004.

L’INDICATEUR E-COMMERCE DES TPE-PME : +342% de hausse de chiffre d’affaires en 2004.
Mis en place au troisième trimestre 2004, cet indicateur s’appuie sur le réseau doyousoft-PowerBoutique qui rassemble deux cent cinquante boutiques en ligne, de tous secteurs. L’ensemble des boutiques de la plateforme a enregistré une progression de 342% de son chiffre d’affaires en 2004 par rapport à 2003, et de 375% du nombre de transactions. Quant au chiffre d’affaires moyen par boutique active, il a connu une croissance de 122% entre 2003 et 2004 et de 87% entre le 4ème trimestre 2003 et 2004. Cet indicateur mesure la dynamique du e-commerce pour les TPE-PME, qui joue un rôle important dans la diversification de l’offre et dans l’attrait croissant que représente le commerce en ligne vis-à-vis d’une clientèle de plus en plus variée et étendue.
Le Pro de l'achat malin sur le net facilite la vie des séniors

2006-03-09

Zlio.com place l'affiliation à portée des particuliers

Les fondateurs de Net2One Jérémie Berrebi et David Lévy créent Zlio.com, un service au carrefour entre la plate-forme de blogs, de pages perso et le guide d'achat. PriceMinister et les 3 Suisses sont déjà partenaires.

Le site www.zlio.com Lancé le 17 novembre 2005 après six mois de développements, Zlio.com est un nouveau service e-commerce au carrefour entre la plate-forme de blogs, de pages perso, le guide d'achat et le comparateur de prix. "Partant du constat qu'il existe un aspect très viral à l'achat de produits, notre idée à l'origine de la création de Zlio.com vise à développer un réseau de prescripteurs de produits et de services sur Internet. Notre plate-forme s'appuie sur le modèle Tupperware en off line qui offrait une rémunération aux clients recommandant leurs produits à leurs proches", explique Jérémie Berrebi, fondateur associé de Zlio De par son fonctionnement, Zlio s'apparente à un programme d'affiliation à destination des particuliers et pour les particuliers, créant ainsi un nouveau modèle de "BtoCtoC", le pendant du "BtoBtoC" de l'affiliation classique. "Notre plate-forme a pour vocation à faire entrer les particuliers dans le monde de l'affiliation, mais nous n'utilisons pas ce terme d'affiliation, qui demeure du jargon Internet. Ciblant le grand public, Zlio ne se positionne pas en concurrence frontale des plates-formes d'affiliation. Zlio propose d'ailleurs aux clients des plate-formes BtoB TradeDoubler, CibleClick et First Coffee la possibilité de rejoindre ses propres partenaires marchands.
Via son espace personnel Zlio, l'internaute recommande à ses connaissances les produits qu'il a achetés et est rémunéré sur les ventes qu'il génère. Les commissions sont définies en fonction des produits et sont versées aux membres Zlio via le système PayPal ou le porte-monnaie électronique de PriceMinister. Le modèle coûte toutefois plus cher que l'affiliation classique.Le site Zlio s'est ouvert avec en catalogue l'offre de 12 cybermarchands, comptant environ 600.000 produits et services, tels que MSN Messenger, Meetic et Skype. "Notre volonté consiste principalement à recueillir un maximum de produits en base pour permettre aux internautes de retrouver un maximum de produits qu'ils souhaitent prescrire à leur entourage", explique Jérémie Berrebi. D'ici la fin du mois de novembre, les 2,5 millions de produits de PriceMinister, ceux des 3 Suisses et de Via Presse devraient venir compléter la base Zlio, confie le fondateur de la plate-forme.
Cibler les bloggers pour assurer la promotion du service. En termes de cible, Zlio.com vise en premier lieu les utilisateurs de blogs pour assurer la promotion du service à son lancement : "Nous ne voulons surtout pas rester focalisés sur le blog, il nous permet seulement d'entrer dans le grand monde des particuliers. Nous avons défini cinq cibles, à savoir les hommes d'affaire branchés, les seniors, les mamans, les jeunes en ce qui concerne les jeux vidéo, et les enfants, pour les jouets", explique Jérémie Berrebi. Afin d'accroître la dimension virale de l'utilisation de la plate-forme, un système de parrainage a été mis en place dans lequel le parrain est rémunéré sur les ventes générées par son filleul. Concrètement, la stratégie de Zlio repose sur le fait de faire gagner de l'argent à ses membres prescripteurs. De nombreuses fonctionnalités permettent ainsi aux aux créateurs d'espaces Zlio de présenter leurs produits favoris : la possibilité d'importer automatiquement dans son espace personnel sa liste de contacts depuis son Webmail et d'envoyer des invitations à ses connaissances, celle d'intégrer à son propre blog les produits choisis parmi ceux proposés dans son Zlio, et prochainement, la création de newsletters et l'intégration de fichiers vidéo. Si les potentialités offertes par ce nouvel outil s'avèrent importantes, le fondateur se veut prudent et ne se fixe pas d'objectifs chiffrés. De leur côté, les cybermarchands partenaires s'engagent sur des budgets minimums et sur une période déterminée, ce qui limite ainsi leur part de risques. Zlio espère néanmoins pouvoir proposer ses services de manière co-brandée avec les portails Web grands publics.
Le site www.zlio.comA ce titre, une drôle de coïncidence s'est d'ailleurs produite, Yahoo annonçant aux Etats-Unis le même jour, l'ouverture d'un service similaire proposant une shopping list. "Le concept de Yahoo est vraiment très proche du nôtre à la différence que le site ne propose pas de rémunération aux internautes. Il est plus orienté vers une optique communautaire" estime Jérémie Berrebi. Toutefois, celui-ci compte lancer son site outre-Atlantique au plus vite, dès la première semaine de décembre, pour prendre position sur le marché
En savoir plus Jérémie Berrebi
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2006-03-07

Silicon.fr rentre dans le giron de VNUNet


Je viens de découvrir que
Silicon.fr faisait désormais partie du groupe VNUNet. (Pierre Chappaz l’a noté aussi)


C’est une excellente nouvelle pour les Pures players des médias en ligne et cela montre surtout un vrai changement de culture de la part de VNUNet qui confirme, après avoir intégré un système de Blog ouvert à tous, que le monde de la presse a bien changé.Félicitations à Silicon.fr et j’attends avec impatience le rachat de Neteco …par le Groupe Tests/01Net ? Pierre Chappaz se demande si le JDN va aussi se faire racheter…Pas certain que cela soit intéressant pour Benchmark car le JDN est une véritable vitrine pour les sémaires organisés par le groupe.
Les sites grands publics comme L’internaute ou Copains d’Avant font, par contre, un véritable carton mais je ne vois pas quel acteur pourrait les racheter ! Vous avez une idée ?
Bon, en attendant, allez faire un tour sur le JournalduWeb.com !De mon côté, je vais acheter des actions Neteco et Silicon sur Alexadex
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