Le blog eBoons propose une synthèse des informations récoltés sur le net sur les sites marchands, le e-commerce et les technologies numériques aux services du e-business. Notre logique: vivre moins chère sans se priver !

2007-02-28

Tariq Krim, ambassadeur de la French Touch 2.0

Par Laurent Dupin
ZDNet France
12 janvier 2007




Personnalité 2006 - Netvibes s'est imposé en 2006 comme le fer de lance des start-up 2.0 en France. Plébiscité par les internautes des quatre coins du globe, son service innovant a également séduit les investisseurs. Retour sur une année faste avec son fondateur Tariq Krim.


«Pour être tout à fait honnête, la plupart des choses sont arrivées par accident.» Invité à parler du succès de Netvibes à la conférence le Web3 en décembre dernier à Paris, Tariq Krim choisit le registre de la modestie. Et d'expliquer que le succès de sa page d'accueil sur mesure tient au respect scrupuleux de «l'esprit du web 2.0»: concevoir un service pour les utilisateurs et les associer à son développement.

Le buzz qui entoure Netvibes n'est pas sans rappeler celui du démarrage de Google en 1998. Avec plus de 7 millions d'utilisateurs, la start-up née à Paris est encensée par les ténors de la Silicon Valley. Toujours à la recherche d'un modèle économique, elle a néanmoins levé 12 millions d'euros pour son second tour de table en août dernier. Investisseur de la première heure, le fondateur de Kelkoo Pierre Chappaz a rejoint Tariq Krim pour codiriger la société. Dirigé par Freddy Mini (ancien patron de CNET Networks France, Ndlr), un bureau est aussi ouvert à San Francisco. À quelques encablures de Google dont certains spécialistes affirment qu'il est sur les rangs pour une acquisition.

ZDNet.fr - Quels ont été pour vous les évènements marquants de l'année 2006?
Tariq Krim -
C'est l'avènement du web 2.0, et le fait qu'une nouvelle génération de services a désormais une audience conséquente et change la manière dont on regarde la vidéo, dont on commente, dont on organise toute sa vie numérique. Pendant cinq ans, après ce que l'on a appelé «la bulle 1.0», il ne s'est rien passé, tout était mort. Et puis soudain, les énergies se sont remises au travail, des choses géniales sont apparues. En 2006, nous avons vu des rachats spectaculaires de plusieurs entreprises. Le web est reparti et l'on est dans une nouvelle phase de transformation.

À ce propos, où étiez-vous au temps du web 1.0?
Je rentrais des États-Unis où j'avais passé les trois années les plus incroyables d'expansion de l'internet. J'ai alors monté une start-up qui a un peu marché. Quand je suis revenu, tout le monde parlait de l'internet. Les sites foisonnaient, c'était l'époque des Clust, Boo... En revanche, j'ai été frappé de la vitesse à laquelle on a détruit, en France, tout ce qui avait été construit. Aux Etats-Unis ce qui m'a toujours fasciné, c'est que l'on crée des entreprises mais aussi des équipes, que l'on déplace après dans d'autres projets. Voyez l'accord entre YouTube et Google: le même investisseur, Michaël Moritz de Sequoia, en est à l'origine. Il y a une vision à long terme.

Très peu de gens ici, comme Pierre Chappaz par exemple, ont aussi cette vision sur le long terme, pour promouvoir des équipes, aider des personnes. Une des choses qui m'a beaucoup gêné est qu'à un moment donné, on était dans un monde où les entrepreneurs apprenaient mais les investisseurs aussi... ils n'étaient pas très doués à l'époque. Après, ça a été «on arrête tout, c'est la fin de la récré», et il n'y a plus rien eu.

Quels événements majeurs attendez-vous en 2007? Craignez-vous une nouvelle "bulle"?
Je ne crois pas à la bulle. Google, Ebay, Amazon ont vu le jour et ont vécu pendant celle-ci. Aux États-Unis, beaucoup d'argent a été investi en Bourse. Aujourd'hui, nous avons un marché complètement différent, avec 1 milliard d'utilisateurs de l'internet et beaucoup de gens connectés au haut débit en Europe. Toute notre vie est numérique aujourd'hui! Avant d'aller acheter quoi que ce soit, on vérifie en ligne d'abord; on va sur internet pour réserver un cinéma, un concert, télécharger une vidéo... Les usages sont là et il y a des marges pour créer de nouveaux outils et inventer de nouvelles formes de navigation dans cette vie numérique.

2007 sera pour moi l'année de la démocratisation de ces services, contrairement au web 2.0 qui était à l'origine un univers de geeks (passionnés des nouvelles technologies, Ndlr). Le "tagging" (ajout de mots-clés, Ndlr), l'organisation sociale des contenus, la messagerie instantanée, les cartes interactives... tout cela devient le quotidien de l'internaute.

Que souhaitez-vous pour 2007?
Depuis très longtemps, les politiques ne sont pas à la hauteur des défis d'internet. Or clairement ce sont les emplois de demain! Aux États-Unis, il faut voir qu'on parle «du monstre Google», et on utilise des termes similaires pour Yahoo. Mais ce sont des étudiants en qui on a cru, et qui ont construit des entreprises qui non seulement font vivre des milliers de personnes, mais aussi indirectement des millions de personnes dans le monde entier, avec les partenariats Adsense ou eBay. On n'a jamais eu cette vision en Europe, hélas...

2007 verra aussi pour moi, la manifestation des contre-pouvoirs nécessaires que sont devenus les blogs, permettant aux citoyens de s'exprimer et de peser, notamment dans le cadre des débats de la campagne présidentielle.



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2007-02-27

E-commerce : 41 % des européens réservent leurs voyages en ligne

Par Bruno Bel

Selon le cabinet d'études Forrester Research, si deux internautes européens sur trois voyageant pour leurs loisirs disposent d'une connexion à Internet haut débit, 41% seulement achètent ou recherchent leur séjour par le biais de voyagiste en ligne. « Les touristes européens sont particulièrement intéressés par les sites de réservation en ligne aptes à satisfaire leurs envies, mais aussi riches en nouveautés, en conseils, en valeurs ajoutées », explique Henry H. Harteveldt, analyste et vice président du Forrester Research.
En outre, leurs intérêts se portent également sur l'achat via le Web de produits de niche, comme les tickets d'entrée dans les musées. Toujours selon Forrester, le nombre de « e-bookers » en Europe occidentale en 2005 est monté en flèche de 33 % ! L'Internet apparaît donc comme le premier pourvoyeur de voyages touristiques en Europe...pour les personnes connectées en ligne.

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2007-02-23

Truffaut s'appuie sur Houra pour devenir cybermarchand

Houra lance une gamme de produits de jardinage avec Truffaut. 1.200 références figurent au catalogue du cybermarché, qui teste le service dans le département du 77, avant une ouverture nationale dans 3 semaines.

Dans le cadre sa stratégie d'élargissement de la gamme de produits vendus sur son site, Houra a ouvert en test jeudi 22 février un nouvel univers dédié au jardinage, grâce à un partenariat avec Truffaut. Pour cette entité du groupe qui n'avait pas encore franchi le pas du e-commerce, l'objectif consiste à se doter d'un outil de vente en ligne et de livraison à domicile. Pour Houra, ce partenariat offre au cybermarché la possibilité de toucher une nouvelle clientèle.

Après avoir ouvert en juin 2006 la gamme de produits ultra-frais via un partenariat avec Natoora, et la livraison en Ile de France de produits surgelés en janvier dernier, c'est désormais des pelles, des pioches, et des graines de fruits et légumes que les clients du cybermarché pourront ajouter à leur panier de courses. "Comme pour tous les lancements de nos nouveaux services, pendant deux à trois semaines, nous allons tester le service dans le département du 77, de manière à prendre nos marques d'un point de vue logistique, mais également en ce qui concerne la présentation de la gamme et de la navigation sur le site. Nous ouvrirons ensuite cet univers à toutes les autres régions françaises que nous desservons", explique Eric Le Strat, directeur marketing de Houra.fr.

En effet, pour présenter cet ensemble de 1.200 références de produits de jardinage, quand le site en comptait jusqu'alors environ 200, le cybermarché a imaginé de nouvelles mises en page et renouvellé la navigation dans le site. Tout un ensemble de fiches conseil et de guides fournis par Truffaut est accessible sur Houra.fr, et les fiches produits ont été largement enrichies. Un angle qui était au cœur de la stratégie d'animation du site de Truffaut.fr.

"Depuis un an, nous avons mis l'accent sur notre site Web, qui sert de relais pour l'animation commerciale nationale, mais également locale, les magasins ayant notamment la possibilité de mettre en ligne leurs informations commerciales", explique Stéphane Colinmaire, responsable Internet chez Truffaut. L'enseigne a en effet refondu son site en décembre 2005, de manière à développer des services en ligne pour les clients en magasin, en leur offrant par exemple la possibilité de consulter leur solde de points de fidélité.

Le choix du cybermarché pour garantir une réactivité des livraisons
Mais l'enseigne souhaitait franchir le pas du e-commerce, conçu comme un service à la fois différent et complémentaire aux magasins. "Nous avons attendu que le marché du e-commerce soit suffisamment mature dans le domaine du jardin. Il se trouve qu'à la fin de l'année 2006, l'appétence des cyberacheteurs pour les produits de jardinerie s'est avérée très forte dans le classement des articles qu'ils déclaraient rechercher en ligne", déclare le responsable Internet.

Pour ce faire, Truffaut a choisi de s'appuyer sur l'expertise et la structure du cybermarché Houra, afin de se démarquer des autres e-commerçants spécialisés dans le domaine du jardin. "Les ventes sont extrêmement liées à la météo. Nous voulions donc permettre à nos cyberacheteurs de recevoir leur commande en ligne à temps pour le week-end lorsque celui s'annonce beau. Une réactivité que Houra nous garantit, via une livraison sous 24 heures", affirme Stéphane Colinmaire.

Ce choix imposait toutefois de réaliser une sélection de produits que Houra puisse livrer. "Il n'est pas possible de tout livrer, nous avons des contraintes logistiques. Nous nous sommes limités dans un premier temps à des bulbes, des graines et du petit outillage", Eric Le Strat, directeur marketing et Web de Houra. De même, l'approche a consisté à capitaliser sur la marque Truffaut, les produits sélectionnés se limitant aux marques Georges Truffaut, Truffaut, Eden Flex et Eden Vert. En termes de pricing, les prix pratiqués en ligne sont identiques à ceux des magasins et l'internaute retrouve les mêmes promotions. C'est donc Truffaut qui gérera la promotion commerciale de l'offre jardinerie du site.

Une sélection de 1.200 références répondant aux contraintes logistiques de Houra
En termes d'organisation, pour la préparation des commandes et la logistique, rien n'a changé du côté de Houra. "Truffaut est en réalité comme un de nos fournisseurs. Nous disposons de stocks dans nos entrepôts et ne proposons sur le site que les articles qui sont disponibles en stocks", précise le directeur marketing et Web de Houra. Une organisation qui permet notamment aux clients de choisir le jour et le créneau horaire pour la livraison de leurs produits, et garantit la livraison de la commande à domicile en une seule fois.

Les deux partenaires ne souhaitent pas préciser les modalités du modèle économique, et s'en tiennent à parler d'un principe "d'échange de bons procédés". Tout le développement a été réalisé en interne par l'équipe d'Houra. L'objectif pour le cybermarché : toucher une clientèle nouvelle, qui habite notamment plus en maison individuelle. "85 % de nos clients connaissent la marque Truffaut, ce qui est très important pour une marque qui n'est pas implantée nationalement. D'autre part, 25 % de nos clients ont déjà acheté un produit de jardinerie sur Internet. Cela nous permet d'envisager de belles perspectives", confie Eric Le Strat.

Même son de cloche chez Truffaut. "Nous souhaitons démarrer en douceur, même si nos objectifs sont très ambitieux, et donc motivants", ajoute le responsable Internet. Une refonte du site Truffaut.fr est programmée dans le courant de l'année 2007, de manière à valoriser l'approche magasin dès la page d'accueil et à mettre en avant l'offre de livraison à domicile sur le site Houra.


Source: JDNET


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E-commerce: les plaintes des consommateurs toujours en hausse

Société - La DGCCRF présente le bilan des plaintes qu’elle a reçues en 2006. Les cybermarchands et les fournisseurs d’accès internet suscitent toujours le plus de mécontentement. En tête des motifs: le non-respect des contrats et la publicité mensongère.

Si les indicateurs économiques sont au vert pour l'e-commerce français sur 2006, la DGCCRF (*) dresse un autre bilan beaucoup plus mitigé: les plaintes vis-à-vis des e-commerçants sont en constante augmentation.

Le Centre de surveillance du commerce électronique (CSCE), créé en novembre 2000, est chargé de rassembler l'ensemble des doléances: il a enregistré 16.334 messages en 2006, en hausse de 33% par rapport à 2005. La vaste majorité de ces plaintes (91%) émane des consommateurs eux-mêmes.

La VPC en tête des mécontentements

Premier secteur concerné par le mécontentement de ces clients: la vente par correspondance sur internet (3.392 plaintes). Plus particulièrement, «472 messages ont concerné un site domicilié à Bordeaux qui semble, malgré une condamnation début 2006, ne pas être en mesure de résoudre des difficultés de livraison récurrentes», précise la DGGCRF. Elle ne cite pas le nom de cet e-commerçant, mais ces informations permettent d'identifier le site CDiscount.

Le reste des plaintes concerne notamment les fournisseurs d'accès internet (2.393 plaintes), la téléphonie par câble ou satellite (935) ou encore la téléphonie mobile (921).

Le mécontentement des internautes porte sur le non-respect des contrats (résiliation, livraison, remboursement, échange, etc.), ainsi que les publicités considérées comme mensongères ou les tromperies.

Les contrôles d'e-commerçants aussi en hausse

Parallèlement à la compilation de ces plaintes, la DGCCRF mène ses propres contrôles envers les e-commerçants. Là aussi, la tendance est toujours à la hausse: elle a réalisé 5.038 opérations de contrôles en 2006, en progression de 90% par rapport à 2005. Et plus d'une société contrôlée sur trois (1.588) se trouve en infraction, un chiffre qui a augmenté de 25% en un an.

Les secteurs où les infractions sont les plus fréquentes sont les jeux-concours/loteries (38%), l'alimentaire (37,97%), les produits culturels (37,66%), l'habillement (36,46%), et les produits et services informatiques (33,80%). Leurs principaux manquements portent sur l'absence de mentions obligatoires, le non-respect des règles de publicité des prix, la publicité trompeuse, ou encore des infractions à la règlementation des soldes, de la vente pyramidale ou de la contrefaçon.

«Sur la base des rappels de réglementation rédigés par le CSCE, il apparaît que plus de 91% des sites contrôlés ne font plus apparaître de manquements lors de nouvelles réglementation», précise la DGCCRF. Les autres reçoivent un second avertissement ou un procès verbal.

Pour 2007, la direction générale prépare garde un oeil particulier sur les plaintes liées au fournisseurs d'accès internet, mais va aussi se concentrer sur les fausses annonces de réduction de prix, les loteries et concours, les téléchargements de sonneries de portables, les ventes en ligne de voitures, ainsi que les offres de voyages en ligne.


Source: Estelle Dumout ZDNet France
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2007-02-22

Petites-annonces auto : Caradisiac et La Centrale fusionnent

Le secteur de la petite annonce fait preuve d'un grand dynamisme sur le Web. Alors que deux acteurs de la petite annonce immobilière sont récemment entrés en bourse, c'est maintenant le secteur automobile qui fait parler de lui. La Centrale, acteur historique de la petite annonce auto-moto, vient en effet d'annoncer un projet de fusion avec le pure-player Caradisiac.

Ce projet prévoit la création d'une holding dont l'actionnariat sera réparti équitablement entre les deux groupes propriétaires des sites : Schibsted Classifieds France, filiale du groupe norvégien Schibsted, détient La Centrale, tandis que le français Spir Communication, spécialisé dans les journaux d'annonces gratuits, détient Caradisiac. Le projet devrait bénéficier du visa des autorités de la concurrence au plus tard en juin 2007. Cédric Bannel, président de Caradisiac.com, assumera les fonctions de PDG. Il sera secondé par le directeur de La Centrale, François Couffy, qui assurera les fonctions de directeur général.

Au total, le nouvel ensemble issu de la fusion a réalisé, en 2006, un chiffre d'affaires d'environ 42 millions d'euros, pour un excédent brut d'exploitation (Ebitda) de 10,7 millions d'euros. Alors que chacun des sites regroupe environ 100.000 annonces, le trafic total équivaut à 2.230.000 millions de visiteurs uniques (source Nielsen//Netratings) et 129 millions de pages vues par mois (source Médiametrie/Xiti).

Mais, pour le moment, pas question de créer un portail unique impliquant la disparition de l'une des deux marques, qui disposent chacune d'une forte notoriété : "Nos activités sont complémentaires. La Centrale est connue pour ses journaux d'annonces, tandis que Caradisiac est reconnu pour son contenu et ses forums. Ainsi, nos territoires d'action, bien qu'ils soient proches, ne se recoupent pas forcément", explique Cédric Bannel.

2,23 millions de visiteurs uniques
Il s'agirait plutôt, pour le nouvel ensemble, de développer une "offre plus puissante" en matière de publicité. En effet, alors que les annonceurs du secteur automobile subissent une crise ces derniers temps, ils cadrent beaucoup plus leurs dépenses d'image. Par ailleurs, les deux sites réfléchissent actuellement à la manière de croiser leurs contenus respectifs, afin d'en faire bénéficier les internautes.

En ce qui concerne l'organisation, les 35 employés de Caradisiac devraient s'installer rapidement dans les locaux de La Centrale, un grand immeuble situé aux confins de la Défense. Les six commerciaux de Caradisiac seront les premiers à rejoindre les 220 personnes de l'équipe de La Centrale, puis ce sera au tour de l'équipe Web : "Il n'y aura pas ou peu de recoupements de postes, et donc cette fusion n'aura aucun impact sur l'emploi, ce qui est assez rare pour qu'on le souligne", précise le futur PDG de la holding.

Cette opération n'est pas la première du genre pour les deux groupes, car ils avaient déjà deux filiales en commun : le journal gratuit 20 Minutes dans lequel Spir communication (filiale du groupe Ouest-France) détient 25 %, et Le Bon coin, un site de petites annonces généralistes.

D'après Cédric Bannel, les rapprochements pourraient se poursuivre entre les deux groupes, si d'autres activités sont jugées complémentaires. Plus généralement, le phénomène de concentration que l'on constate dans le secteur est selon lui une tendance de fond : "Il y a trop d'acteurs de taille moyenne, il est donc logique que les sites soient amenés à fusionner afin de générer plus de marge."

Source: JDNET
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Hausse des fraudes constatée chez les cybermarchands

Sur les 5 000 contrôles effectués en 2006 dans le secteur Internet, la DGCCRF enregistre une augmentation « sensible » des infractions. La plupart concernent les mentions obligatoires.

Le commerce électronique ne s'est jamais si bien porté, mais ses travers aussi. C'est ce que constate la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF), qui vient de publier le bilan 2006 de son « réseau de surveillance Internet ». Géré par le Centre de surveillance du commerce électronique (CSCE) de la répression des fraudes, ce réseau d'agents traque inlassablement les infractions parmi les acteurs du Net. Et leur bilan 2006 n'est pas glorieux : sur 5 038 contrôles, 31,5 % ont révélé une infraction, contre 27,6 % en 2005.

Les contrôles font le plus souvent suite à des plaintes de consommateurs. Cette année, plus de 16 000 plaintes (+33 % par rapport à 2005) ont atterri dans les services de la DGCCRF, par mail ou via les formulaires disponibles sur son site. La majorité des doléances concernent la vente par Internet (3 392 messages), suivies par les plaintes en rapport avec les FAI : publicités considérées comme mensongères, difficultés de remboursement, problèmes de SAV, tromperies. La DGCCRF précise au passage qu'un commerçant en ligne concentre à lui seul plusieurs centaines de plaintes pour des problèmes de livraison, à savoir « un site domicilié à Bordeaux », déjà condamné pour publicité mensongère. Il s'agit de CDiscount.

Bonnet d'âne pour les sites de jeux-concours

Sur cette base, les agents de la répression des fraudes ont donc effectué plus de 5 000 vérifications sur les sites d'e-commerce, soit presque deux fois plus que l'année dernière. Et c'est le secteur des jeux, concours et loteries qui remporte le bonnet d'âne du classement, avec un taux d'infractions de 38 %. Il est suivi de près par l'alimentaire (37,97 %), les produits et services culturels (37,66 %) et la mode (36,46 %). Les vins et spiritueux font eux figurent de bons élèves, avec un taux de 24 %.

Les infractions constatées portent essentiellement sur l'absence de mentions obligatoires (71,4 %) et le non-respect des règles de publicité des prix, voire carrément de la publicité trompeuse. Le non-respect des soldes ou la contrefaçon restent beaucoup plus rares. Selon la DGCCRF, la très grande majorité des sites se sont mis en conformité avec la réglementation dès le premier avertissement.

Le réseau de surveillance Internet de la DGCCRF est déjà à pied d'oeuvre pour sa récolte 2007. Au programme, des contrôles particulièrement ciblés : les fausses annonces de réduction de prix sur le Web, les téléchargements de logos et sonneries ou encore la vente en ligne de véhicules.

Source: Julie de Meslon , 01net

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2007-02-21

Commerce en ligne: hausse sensible des infractions en 2006

Les infractions relevées sur les sites internet marchands en 2006 ont augmenté sensiblement en 2006, avec un taux de 31,52% d'infractions sur les 5.038 contrôles effectués, selon le bilan 2006 du réseau de surveillance de la DGCCRF.

Ce taux s'était élevé à 27,65% en 2005, a précisé mardi dans un communiqué la Direction générale de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF).

Les jeux-concours-loteries-jeux de hasard sont le secteur où a été constaté le plus fort taux d'infraction (38%) suivis immédiatement par l'alimentaire -- hors vins et spiritueux -- (+37,97%), les produits et services culturels (livres, disques, DVD, +37,66%), l'habillement, la mode et les accessoires (+36,46%), et l'immobilier (+33,15%).

Les manquements les plus fréquents sont l'absence des informations obligatoires sur les supports publicitaires (71,4% des manquements) et les règles relatives à la publicité des prix (+11,7%) ou trompeuse (+9,2%). Les autres infractions relèvent des dispositions relatives à la réglementation sur les soldes (2%) et à la contrefaçon (+0,9%).

Sur l'ensemble des infractions relevées, 16% des manquements sont des délits (publicité mensongère, soldes illicites, contrefaçons, tromperie, loterie illégale...).

La DGCCRF a constaté que les vérifications réalisées l'an dernier pour contrôler la mise en conformité des sites ayant fait l'objet de rappels de réglementation pour absence de mentions obligatoires montrent que les modification ont été entreprises par la majorité des sites concernés.

La direction des fraudes a reçu l'an passé 16.334 messages électroniques contre 13.657 en 2005. Par secteur, toutes catégories confondues, 3.392 sont liés à la vente par correspondance sur internet et 2.393 concernent les fournisseurs d'accès à l'internet (FAI).

Les plaintes civiles les plus nombreuses concernent en premier lieu les FAI avec 1.825 messages, puis la vente par correspondance internet (1.504 messages). Les plaintes portent d'abord sur des publicités perçues comme mensongères puis sur les difficultés de remboursement dans le cadre de la vente à distance. Enfin, les internautes se plaignent de tromperies.

Source: JDNET
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2007-02-20

eBay allonge ses utilisateurs sur le divan du psychanalyste

Six chercheurs ont interrogé pendant deux mois les utilisateurs du site d'enchères. eBay a financé leurs travaux pour mieux connaître ses fidèles.

EBAY, le géant du commerce sur Internet, vient d'allonger quelques-uns de ses usagers sur le divan du psychanalyste et chercheur Serge Tisseron. L'auteur de Comment l'esprit vient aux objets vient de rendre les conclusions d'une étude qualitative menée par cinq chercheurs de Paris-X et de Paris-V sur les comportements d'achat sur eBay.

Première surprise, les « ebayeurs »­ n'éprouvent pas nécessairement des plaisirs solitaires. La vente d'un objet sur le site d'enchères est souvent une affaire de famille : le père fait les photos à poster sur Internet, la fille écrit les fiches descriptives et la mère teste les acheteurs. Et lors d'un achat aux enchères, un « rituel du dernier quart d'heure » réunit toute la famille devant l'écran de l'ordinateur familial.

Autre découverte des chercheurs, la relation ambivalente des utilisateurs d'eBay, qui balancent entre le rêve et le jeu d'une part et le réel et la négociation financière d'autre part. « Le fait que l'objet découvert sur eBay ne puisse pas être touché mais qu'il soit seulement vu facilite la mise en route de l'imaginaire. Certains sacralisent les objets qu'ils désirent en les voyant sur l'écran et se révèlent surpris par la réalité lorsqu'ils entrent en sa possession », expliquent-ils.

Les adeptes d'eBay leur ont parlé des enchères comme d'une invitation à perdre de vue la réalité. « On oublie que c'est vraiment de l'argent », témoignent les ebayeurs. « L'argent n'a plus de valeur. » Ils insistent sur le caractère virtuel de l'argent engagé et de l'objet souvent perçu comme un cadeau au moment de sa réception ! Le rêve peut d'ailleurs tourner au cauchemar en raison de ce mirage. Certains utilisateurs, conscients du risque de dérapage, multiplient les précautions : un montant maximum fixé, une autocensure pour éviter de dépenser plus.

« Passer au réel »

Les chercheurs ont aussi disséqué les relations entre les utilisateurs lors des transactions. Certains préfèrent ne pas rencontrer le vendeur ou l'acheteur. D'autres au contraire souhaitent « passer au réel ». « Dans ce cas, c'est un moment de»sensorialité* intense, notamment dans le contact olfactif », précise sans rire Serge Tisseron. Autre surprise pour l'équipe de chercheurs, « l'esprit eBay » que le scientifique qualifie de « nouvelle mythologie » est un mélange d'idées libertaires, de principes de convivialité et de morale qui ne demandent souvent qu'à être transgressés, comme par exemple la pratique des « bonnes enchères » qui consiste à ne pas intervenir dans les 20 dernières secondes.

Serge Tisseron, bon connaisseur du monde virtuel sur Internet et en particulier de l'univers du jeu, a découvert eBay grâce à ce travail. Il regrette toutefois qu'une seule partie de la recherche ait été réalisée : « J'aurais aimé que l'étude qualitative soit accompagnée d'un volet quantitatif comme c'est généralement le cas pour une étude scientifique. Un questionnaire aurait pu être mis en ligne sur le site mais eBay a estimé que ce n'était pas possible. » La filiale française, qui a dépensé quelques dizaines de milliers d'euros en finançant ce travail, peut s'en tenir à une opération de communication ou remettre la main à la poche pour en savoir un peu plus.

Source: VALÉRIE COLLET LEXPRESS.FR

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2007-02-19

Impression : chez HP le jet d’encre rivalise avec le laser

HP propose des solutions d’imprimantes jet d’encre équivalente à la qualité laser en direction des TPE-PME

HP lance deux nouvelles gammes d’imprimantes jet d’encre. Elles sont basées sur la technologie Scalable Printing Technology (SPT) et dotées de cartouches d’encre séparées à grande capacité associée. Le coût à la page en impression texte monochrome serait de 25 % inférieur aux coûts d’une impression laser monochrome, selon le constructeur. Et les coûts d’impression couleur de 30 % inférieur aux coûts des imprimantes laser couleur.

La gamme HP Officejet Pro K5400 imprime jusqu’à 36 pages par minute (ppm) en noir et blanc et 35 ppm en couleur, et jusqu’à 12 ppm et 10 ppm en couleur en qualité laser entrée de gamme (imprimantes laser de moins de 500 euros). La gamme est disponible à partir de 129 euros hors taxes et jusqu’à 209 euros HT.

4,1 centimes la page couleur

Dans le même temps une gamme d’imprimantes multifonctions, HP Officejet Pro L7000, fait son apparition. Elles sont dotées de la fonction Direct Digital Filing qui permet de transférer directement des fichiers numérisés ou une photo vers un serveur, ou la capacité de stocker directement le résultat d’une numérisation sur une clé USB en format pdf. Les trois nouveaux modèles de multifonctions seront disponibles à partir du 1er mars à 249, 339 et 419 euros HT.

Pour les multifonctions, la page imprimée revient à seulement 1,3 centime d’euro en noir et blanc et à 4,1 centimes d’euro en couleur, soit une économie par page jusqu’à 25 % par rapport à un tout en un laser comparable (de moins de 1000 euros).
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Source: Fabrice Mateo, vnunet

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Fil high-tech : Cisco-Apple-iPhone, Fnac.com DRM MP3, Microsoft Video, Forum des droits sur l’Internet

Les titres au complet : iPhone : Cisco et Apple s’accordent un peu plus de temps - Bon démarrage de la musique sans DRM selon la Fnac.com - Microsoft dévoile à son tour sa plate-forme de partage de vidéos - Le Forum des droits sur l’Internet s’intéresse aux préoccupations internautes

iPhone : Cisco et Apple s’accordent un peu plus de temps
Cisco a accepté de laisser à Apple jusqu’au 21 février 2007 pour répondre à la plainte déposée par l’équipementier concernant la violation de la marque iPhone. Celle-ci est détenue par Cisco depuis 2000. Ce qui n’a pas empêché Apple de l’exploiter pour l’attribuer à son téléphone mobile présenté début janvier 2007. Cisco a précisé qu’il préférerait un accord à l’amiable plutôt qu’un procès. Accord qui pourrait passer par l’interopérabilité de ses téléphones commercialisés par sa filiale Linksys et l’iPhone d’Apple.

Bon démarrage de la musique sans DRM selon la Fnac.com
A l’occasion de la publication de ses résultats annuel, Fnac.com a fait le point sur les ventes de son catalogue de 170 000 musiques MP3 lancé en janvier 2007. Les fichiers musicaux sans protection numérique sont essentiellement fournis par la label indépendants. Sans entrer dans les détail, le distributeur précise que « depuis ce lancement, le poids des ventes des labels indépendants [...] a progressé de 5 à 10 % ». L’album Artifitial animals riding on neverland d’Aaron se classe notamment en deuxième position des ventes d’albums en ligne. Dans son ensemble, avec un chiffre d’affaires de 254 millions d’euros, Fnac.com connaît une progression de 23 % par rapport à 2005.

Microsoft dévoile à son tour sa plate-forme de partage de vidéos
Microsoft a rendu publique la version bêta de MSN Soapbox, sa plate-forme de mise en ligne de vidéos. Présentée en septembre 2006, MSN Soapbox n’était accessible qu’à partir d’un accès privé. Bien que toujours en version b êta, le service peut-être exploité par tous les internautes. Soapbox entend concurrencer l’incontournable YouTube racheté en octobre 2006 par l’ennemi Google 1,6 milliards de dollars.

Le Forum des droits sur l’Internet s’intéresse aux préoccupations internautes
Du 15 février au 1er avril 2007, le Forum des droits sur l'Internet (FDI) ouvre une consultation publique auprès des internautes. Objectif : « identifier les thèmes au cœur des préoccupations des utilisateurs de l’Internet » et mieux cerner les problématiques que rencontrent les citoyens dans leurs usages quotidiens d'internet, afin d'orienter les travaux du forum. Les grandes tendances seront communiqués en ligne dès le 22 mars et présentées lors de l’Egeni 2007 à Paris.

Source: Christophe Lagane, vnunet

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2007-02-16

Serge Tisseron, psychanalyste: «La mythologie eBay permet de fédérer la communauté des visiteurs»




Qui sont les utilisateurs d'eBay? pourquoi viennent-ils sur le site de vente aux enchères et comment se comportent-ils dans leurs actes d'achats et de vente? C'est ces questions que tente de répondre le psychanalyste Serge Tisseron dans une étude intitulée «Le monde d'eBay: le goût du jeu, l'appât du gain.»


L'auteur précise qu'il s'agit d'une étude psycho-sociologique uniquement qualitative, où il n'a pas été question de dégager des profils et des pourcentages, mais plutôt d'analyser les habitudes des visiteurs d'eBay. Cette enquête a été réalisée entre novembre 2006 et janvier 2007, par le biais d'entretiens individuels et de six focus groupes. Au total, une soixante de personnes ont été consultées.

Serge Tisseron explique que le visiteur d'eBay peut présenter plusieurs profils selon ses visites: le «flâneur» qui vient juste pour faire les vitrines; l'«acheteur» qui a une idée en tête bien précise ou encore l'«enchérisseur», qui apprécie de mettre en place une véritable stratégie de boursicoteur pour remporter un produit.

Des comportements de visiteurs paradoxaux

«Certains internautes, parfois, ne s'intéressent même plus au produit qu'ils reçoivent, tellement ils placent d'importance sur le simple fait de remporter l'enchère», souligne le psychanalyste.

Il revient en détail sur les principales conclusions de son étude, qui fait ressortir une «mythologie eBay»: c'est-à-dire un comportement des visiteurs et une vision du service à la fois utopiste et très paradoxale. Car l'internaute trouve dans le système eBay des vertus qu'il est parfois le premier à transgresser.

Mais surtout Serge Tisseron renvoie une question fondamentale à eBay: la société doit-elle intervenir pour réguler ce système ou le laisser s'autoréguler, au gré des échanges commerciaux, et des rencontres virtuelles ou réelles des internautes?

Source: Par Estelle Dumout ZDNet France




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Fnac.com s'envole, Fnacmusic encore au décollage

Le site du distributeur publie un chiffre d'affaires 2006 en hausse de 35 %. Le site de téléchargement de musique affiche des résultats plus modestes. Mais la Fnac ne dévoile pas de chiffres.

Avec son site Internet, la Fnac est bien dans la tendance générale de l'envolée du commerce en ligne. Avec 254 millions de chiffre d'affaires en 2006, le distributeur progresse de 35 % par rapport à 2005. Lors de la présentation de ses résultats, mercredi 14 février, la Fnac a également précisé que son site de vente en ligne était rentable pour la troisième année consécutive. A ce rythme-là, Fnac.com devrait, comme annoncé déjà l'an dernier devenir en 2007 le point de vente le plus performant du réseau, devant celui du Forum des Halles à Paris, actuellement en tête.

Le distributeur de produits culturels et technologiques fait profil bas à propos de Fnacmusic, sa boutique de téléchargements payants de musique. Les résultats sont encore modestes. La fréquentation entre juin et décembre 2006 a cependant doublé, avec pour conséquence de porter le nombre de fichiers téléchargés à 5,5 millions, soit une progression de 80 %.

La Fnac a tout de même dévoilé une autre information, attendue, à savoir que les 170 000 fichiers sans système de contrôle de la copie (DRM) mis en place depuis la mi-janvier se vendent deux fois plus que les fichiers protégés. Mieux : un album entier des Français AaRON (Artificial Animals Riding on Neverland,) proposé sans DRM, est arrivé n° 2 de ventes sur le site. Il se maintient encore à la cinquième place, après l'arrivée de poids lourds (protégés ceux-là) comme le nouvel album de Norah Jones et celui de Zazie.

Poursuivre la synergie entre magasins et site Internet

Dans l'ensemble, les ventes de titres des labels indépendants ayant accepté l'abandon des DRM auraient grimpé de 5 à 10 %, précise la Fnac. C'est le résultat auquel le distributeur voulait aboutir avec cette opération menée avec les indépendants. Et nul doute qu'il devrait s'en servir pour essayer de convaincre les majors qui refusent toujours de laisser vendre leurs titres sans système de contrôle de la copie.

Lors de sa conférence de presse au Midem à Cannes, fin janvier, le Syndicat national de l'édition phonographqiue (Snep) avait justement expliqué que les grandes maisons de disques attendaient de voir les résultats sur les ventes réalisés par les opérations « sans DRM » de Fnacmusic et VirginMega.

Quant aux projets de la Fnac pour 2007, la politique de synergie entre magasins physiques et site Internet devrait continuer. Après avoir ouvert la possibilité aux clients de réserver des produits technologiques en ligne pour les retirer en magasin, la Fnac devrait élargir le dispositif. Elle compte déployer la commande de produits culturels dans les magasins avec livraison par Fnac.com dans les boutiques ou à domicile. Jusque-là, le système n'était qu'en test.

Source: Arnaud Devillard , 01net.


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Les marques rétribuent leurs clients en ligne via Cashstore

Apporteur d'affaires pour les sites marchands, Cashstore lance un service rétribuant les internautes lors de l'achat de certaines marques alimentaires. La société, qui a atteint l'équilibre en 12 mois, diversifie ses services.

Créé mi 2004, Cashstore.fr s'est spécialisé dans la rétribution des acheteurs sur Internet. Pour chaque produit acheté par son biais, Cashstore reverse une somme d'argent à l'internaute, partageant ainsi la marge d'apporteur d'affaires qu'il touche du magasin. Depuis 10 jours, en plus des cybermarchands, Cashtore propose également de rétribuer les internautes achetant certaines marques de produits alimentaires, comme Elle & Vire ou Sojasun. Dans cette opération, Cashstore est le partenaire online de Syracuse. Une société de marketing opérationnel spécialisée dans le couponing qui a diffusé plus de 3 milliards de coupons papiers en 2006. "Les marques désiraient tester le couponing en ligne. Et plutôt que de proposer des coupons de réduction, elles voulaient rétribuer directement les acheteurs", explique Catherine Barba, la fondatrice de Cashstore.fr, qui espère que ce nouveau service s'ouvrira à d'autres secteurs que l'alimentation en cas de succès.

A ce jour, 300.000 consommateurs en lignes actifs passent par Cashstore pour acheter sur le Web. Le service leur garanti de toucher une somme d'argent pour chacun de leur achat en ligne : en moyenne, entre 5 et 6 % de la valeur du produit. "Nous reversons à peu près la moitié des commissions que nous versent les sites marchands", explique Catherine Barba. De cette manière, la société a reversé près de 600.000 euros à ses utilisateurs depuis le lancement du service en septembre 2004.

En pratique, Cashstore.fr est une galerie marchande recensant 400 sites de commerce électronique tous secteurs confondus. Y figure aussi bien des marchands importants comme Fnac.com ou La Redoute, que des sites de niches tels que Adamence.com ou MarceletPaulette.com. Pour s'inscrire, le service nécessite de créer une adresse e-mail sur le site, qui sert à confirmer les commandes sur les sites partenaires. "Grâce à cette adresse, nous connaissons en détail les pratiques et fréquences d'achats de nos membres, explique-t-elle." Ce qui permet ainsi à la société de procéder à des offres ciblées construites avec ses partenaires, ou à louer sa base de 230.000 adresses e-mail en opt-in.

"Notre métier est d'abord de fidéliser nos utilisateurs et de dynamiser leurs comportements d'achats", indique Catherine Barba. Partant du principe que les femmes ont un panier d'achat plus important que les hommes et achètent plus souvent, le site s'est efforcé d'améliorer sa visibilité dans la presse féminine. A ce jour, 70 % de ses utilisateurs sont des utilisatrices. Ainsi, un utilisateur de Cashstore achète en moyenne 1,2 fois par mois sur Internet, contre "3 à 4 fois par an pour la moyenne des internautes", précise-t-elle.

2 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2006
Pour se développer, la société compte essentiellement sur le bouche à oreille. Jusqu'à présent, un utilisateur sur deux s'est inscrit sur recommandation d'un inscrit. A son désavantage, le service doit d'abord gagner la confiance des internautes. En effet, il faut dans un premier temps expliquer aux internautes qu'il ne s'agit pas d'une de ces escroqueries proposant de gagner de l'argent facilement sur Internet. Et pour cela, le mieux reste d'être conseillé par un proche. "C'est pour cette raison que nous reversons leur argent à nos utilisateurs par chèque, insiste Catherine Barba. Leur proposer de nous donner un relevé d'identité bancaire aurait pu attiser leurs craintes." La société compte néanmoins réaliser une première campagne publicitaire en ligne pour attirer de nouveaux utilisateurs.

Rentable depuis fin 2005, la société de 15 personnes a réalisé près de 2 millions d'euros de chiffre d'affaires l'année dernière. Créée sur fonds propres par sa fondatrice, l'entreprise a été soutenue par deux business angels, Marc Simoncini et de Thierry de Passemar. Les deux fondateurs d'iFrance, dont elle fut la directrice générale de 1999 à 2003. Toujours tournée vers le développement opérationnel de la société, elle fait confiance à ses associés pour trouver le bon timing pour lever des fonds. "Nous avons été approchés plusieurs fois, mais nous pouvons financer notre développement en fonds propre. Nous chercherons des investisseurs si nous voulons nous développer plus vite." Peut-être la prochaine étape si Cashstore atteint son objectif d'atteindre 1 million de membres d'ici la fin de l'année.

Source: Frantz GRENIER, JDN

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2007-02-14

Classement Noël 2006 : eBay reste en tête, Pixmania s'impose

Le classement Nielsen//NetRatings des sites e-commerce du mois de décembre 2006 fait la part belle aux sites de commerce en CtoC (eBay, PriceMinister) et aux sites culturels (Fnac, Amazon). Pixmania affiche, quant à lui, la plus belle progression.

Le classement 2006 des sites e-commerce fait apparaître une hausse globale de l'audience en 2006 : sur les dix sites du classement, huit ont en effet accueilli entre un et plus de deux millions de nouveaux visiteurs. Une conséquence probable de la maturité du e-commerce en France et d'un taux d'équipement des français en forte hausse.

L'observation globale du classement témoigne d' une concentration importante des internautes sur les sites CtoC : eBay, déjà en tête du classement de décembre 2005 fait en effet état d'un taux de couverture de près de 40 % (38,6 %) avec 9,2 millions de visiteurs uniques, dont plus de deux millions de nouveaux. Quant à PriceMinister, il reste dans le top 10.

Les produits culturels conservent le même attrait auprès des internautes lors des fêtes de Noël. Fnac.com, qui venait de lancer un service de téléchargement légal sans DRM et de Vidéo à la demande se maintient depuis deux ans au top 2 des sites e-commerce les plus visités. En revanche, le site américain Amazon gagne du terrain et passe de la 5ème place en 2005, à la 4ème, cette année, grâce à 1,2 million de nouveaux visiteurs uniques. Alapage a en revanche disparu du classement.

Autre recul, celui de Voyages-sncf.com qui passe de la troisième à la septième place. Le site n'a en effet gagné que 407.000 visiteurs uniques par rapport à décembre 2005. CDiscount continue quant à lui de progresser et s'établit à la troisième place, pour la deuxième année consécutive. De même, La Redoute confirme la bonne santé du secteur de l'habillement et des articles liés à l'univers de la maison, puisque son site remonte d'une place dans le classement, avec près de 2 millions de nouveaux visiteurs.

La plus belle progression va à Pixmania qui glane plus de 2,5 millions de nouveaux visiteurs, soit 300.000 de plus qu'eBay, et passe ainsi de la dernière à la sixième place. L'enseigne a en effet ouvert de nouvelles rubriques dédiées aux enfants . L'ouverture de magasins physiques a également pu contribuer à accroître la notoriété de l'enseigne

Enfin, LeGuide.com, récemment désigné par Nielsen//NetRatings comme le comparateur de prix le plus populaire en France entre dans le classement avec près de 3 millions de visiteurs uniques (2,8 millions).

Source: Lucile REYNARD, JDN


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2007-02-09

Logic-Immo : croissance de 30 % et doublement de l'audience en 2006

Alors que de nombreux acteurs investissent le domaine de l'immobilier en ligne, Logic-Immo tire son épingle du jeu et vient de passer numéro 2 des sites immobilier professionnel en termes d'audience.


Qui a dit que le Web 1.0 était mort ? Alors que SeLoger vient d'annoncer des résultats en forte progression et d'entrer en bourse (Lire notre article SeLoger lance son introduction en bourse du 17/11/2006), son principal challenger, Logic-Immo, lancé depuis trois ans, annonce un doublement de son audience en 2006, ainsi qu'une croissance de 30 % de son chiffre d'affaires.

Logic-Immo qui appartient à Concept Multimédia, une filiale du groupe Spir, édite depuis la fin des années 80, des journaux d'annonces. Avec 52 éditions locales, il a conquis entre 3 et 4 millions de lecteurs réguliers. "En 2006, les résultats de notre édition papier connaissent encore une croissance à deux chiffres, et nous prévoyons la même chose pour 2007. Devant ce
succès, Concept Multimédia a un peu tardé à investir sur le Web ; la première version du site n'a vu le jour qu'en 2003 en complément de l'offre papier", explique Godefroy Jordan, directeur des activités Internet.

Logic-Immo a décidé de développer son site l'année dernière. Fin 2006, le site regroupait quatre fois plus d'annnonces qu'une année auparavant.En décembre Nielsen Netratings donne 636.000 visiteurs uniques à Logic-Immo qui devient ainsi le deuxième site dédié à l'immobilier professionnel de France en audience, derrière SeLoger (671.000 VU en décembre).400.000 annonces et 636.000 visiteurs uniques
Pour parvenir à ces résultats, Concept Multimédia a recruté 170 commerciaux "terrain" et a lancé, en septembre, un call-center dédié à la prospection des régions non-couvertes par son magazine. Pour l'instant 20 personnes s'y investissent, mais l'équipe devrait rapidement s'agrandir. Au total 7.000 agences sont devenues des clientes fidèles de l'enseigne. Mieux,
elles sont aussi souvent exclusives. Les candidats à l'achat que veut toucher Logic-Immo seraient en effet complémentaires de ceux que vise SeLoger, son principal rival : "Notre cible est plutôt provinciale et familiale, tandis que celle notre concurrent est plutôt parisienne et jeune." d'après le directeur des activités Internet.

Et pour se différencier davantage, Logic-Immo, en partenariat avec Prévisite, propose aux agences de réaliser elles-mêmes des visites virtuelles panoramiques. Ce service qui serait particulièrement plébiscité par les internautes est facturé aux agences 65 euros par mois. 15.000 annonces en bénéficient d'ores et déjà, et la société compte passer à 50.000 d'ici à la fin
de l'année. Les nombreuses formations que la société dispense aux agences immobilières devraient y contribuer.

Alors que SeLoger et Explorimmo (Groupe AdenClassified) ont pris de l'avance en ce qui concerne les partenariats en marque blanche, Logic-Immo annonce de futurs investissements importants en visibilité médias (France Télévisions, La Tribune et Les Echos). En outre, les liens sponsorisés représentent un important vecteur de trafic sur le site Logic-Immo : la société
dispose de pas moins de 60 millions de liens payants sur Google, répartis sur 30.000 mots clés. Il s'agit d'associer la marque aux villes où le magazine est présent, mais également à celles que le site doit conquérir. Avec 21 millions de pages vues par mois environ, Logic-Immo pourrait aussi développer une mini-régie publicitaire. Pour l'instant, les encarts proposés correspondent à des publicités pour des promoteurs immobiliers : elles sont géolocalisées en temps réel, en fonction du lieu de connexion de l'internaute.

En revanche, contrairement à SeLoger (Lire l'enquête Immobilier : le difficile équilibre entre le Net et le papier, du 21/09/2006), Concept Multimédia ne souhaite pas pour autant passer au tout Web. A cela plusieurs raisons : tout d'abord sur un chiffre d'affaires de 85,4 millions d'euros, seuls 10 % proviennent du Net. Par ailleurs, d'après le directeur des activités Internet, les contacts glanés sur le Net seraient souvent moins qualifiés que ceux provenant du papier : "Nielsen estime à 3,5 millions les internautes qui vont sur des sites immobiliers chaque mois, ce qui représente 15 % de la population française. Hors, il y a à peine 5 à 8 % des français qui déménagent chaque année. Il s'agit donc bien souvent d'activités de veille informative plus que de recherches vraiment concrètes" présume Godefroy Jordan, "Les contacts viennent à 80 % du Net mais ne sont que peu qualifiés, tandis que 80 % des ventes viennent des magazines et des contacts directs en agence" renchérit-il.


La stratégie de Logic-Immo s'oriente plutôt vers la diversification des supports : la société vient de lancer un service d'alertes SMS : sms.immo.com, mais aussi un nouveau site destiné aux logements neufs (LogicImmoNeuf). Par ailleurs, le groupe Concept Multimedia continue de développer son offre de sites, notamment en direction des clients fortunés (lux-residence.com), mais aussi des étrangers ; déjà disponible pour les clients des Pays-Bas, de République Tchèque, de Suisse et de Belgique, il sera prochainement traduit pour les Italiens et les Hongrois.

Source: lejournaldunet.com

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Chronopost transforme les tabacs en bureaux de poste

Pour élargir son offre, Chronopost est devenu partenaire de 3.000 buralistes pour en faire des points retraits. Chrono Relais cible surtout les e-marchands et sites CtoC.

Des colis livrés dans des bureaux de tabac. C'est ce que propose depuis ce jeudi Chronopost, avec Chrono Relais, un réseau de 3.000 buralistes. "Pour accompagner la croissance de l'e-commerce, nous voulions développer notre offre au-delà de la livraison à domicile", explique Eric Sainte-Claire Deville, directeur marketing de Chronopost. Les colis sont livrés le lendemain de l'expédition, à partir de 17h.

Si les particuliers plébiscitent la livraison à domicile, La Poste joue déjà ce rôle alternatif en cas d'absence du client de son domicile. Mais les horaires d'ouverture plus étendus des buralistes, jusqu'au samedi après-midi et au dimanche matin pour
la plupart, permettent davantage de souplesse. Avant de choisir les bureaux de tabac du réseau Altadis, la société a étudié d'autres possibilités, dont les stations-service, les hôtels, les loueurs de voiture et les boutiques de reprographie.

Avec ce nouveau service, Chronopost se place en concurrence frontale des réseaux du belge Kiala ou de La Redoute. Mais le transporteur express a choisi de constituer un réseau homogène, et non des points retraits chez des commerçants variés. Pour
convaincre les buralistes, ceux-ci toucheront 50 centimes par colis pris en charge, contre 30 centimes environ pour ses concurrents.

Chrono Relais s'adresse à tous, mais cible surtout le secteur du e-commerce. Les marchands en ligne multiplient déjà les modes de livraison, en mettant en place leur propres points de retraits, comme Pixmania, ou en faisant appel aux réseaux de
type Kiala. Pour adopter Chrono Relais, Chronopost propose des Web services aux "petits" e-marchands, les plus gros intégrant directement dans leur système le fichier des points retraits actualisé. Cdiscount, qui a participé au test, est le premier marchand en ligne à adopter le service. Chronopost cible également les Fournisseurs d'accès à Internet (FAI) pour l'envoi des modems, les opérateurs mobile et plus généralement tout service après vente.

Le transporteur express se positionne également sur le marché de particulier à particulier. Le service Chrono Relais Direct, lancé avant la fin du premier semestre 2007, pourrait être ainsi utilisé par les vendeurs des sites CtoC, comme eBay ou PriceMinister pour mettre ses colis à disposition des acheteurs. Avec son service Chrono Relais, Chronopost vise 20.000 colis par jour en 2008, soit un peu plus de 8 % de son trafic actuel.

source:lejournaldenet.fr

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2007-02-07

eBay et MySpace bientôt partenaires ?

Le site d'enchères en ligne eBay et le réseau social MySpace discuteraient depuis plusieurs mois d'un partenariat, selon le Wall Street Journal. L'éventuel accord, discuté depuis plusieurs mois, permettrait aux membres de MySpace de se vendre des articles, en utilisant la technologie d'eBay et PayPal, son système de paiement en ligne. Un rapprochement qui déplait à Google, selon le journal économique américain. Le moteur de recherche s'aventure toujours plus sur les terres d'eBay, avec les lancements d'un service de petites annonces (Base) et d'un système de paiement (Checkout). Le mécontentement de Google pourrait remettre en cause l'accord signé avec MySpace sur la recherche et les liens sponsorisés. A noter que Google et eBay sont également partenaires

Source:lejournaldunet.com
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La société centenaire Descamps se lance sur Internet

Le distributeur de linge de maison haut de gamme vient de sauter le pas en dévoilant son premier site e-commerce. En marge de visées internationales, le site devrait permettre à la société de construire un dispositif de fidélisation multicanal.

Mieux vaut tard que jamais. Descamps, producteur et distributeur de linge de maison haut de gamme depuis 1888 vient de lancer son premier site e-commerce. L'enseigne disposait d'un site vitrine depuis 2003 mais a souhaité s'engager sur la voie du commerce en ligne dans le
cadre d'un plan de rajeunissement de l'image de la marque. Le site constitue également un premier pas vers une stratégie de fidélisation multicanal.

"La refonte va nous permettre d'atteindre une cible plus jeune grâce à un nouveau canal de distribution puis d'attaquer l'international " explique Audrey Sillam, chef de projet Internet chez Descamps. Lancé le 23 janvier 2007, le nouveau site Descamps.fr ne propose pour le moment
que des livraisons en France, au Benelux et dans les DOM-TOM; bien que la version anglophone du site soit d'ores et déjà disponible.

La naissance du site e-commerce de Descamps coïncide également avec son intention de développer sa stratégie de recrutement et de fidélisation. "Nous ne proposons pas de carte de fidélité pour le moment mais le Web est un élément déclencheur pour notre stratégie de fidélisation qui devrait se concrétiser d'ici un an et demi" explique Audrey Sillam. Un
jeu en ligne relayé par le bouche à oreille et une campagne d'e-mailing a permis à Descamps d'obtenir 60.000 adresses opt-in qui seront désormais exploitées pour sa newsletter mensuelle.

Le réseau de franchisés de l'enseigne aurait pu ne pas voir d'un bon œil cette concurrence nouvelle. "Aucun soucis n'a été relevé car seule une partie de la collection est pour le moment disponible en ligne. Le réseau profitera à terme des retombées du site qui fera parler de la marque et drainera du trafic en boutique" analyse Audrey Sillam.

Le site aura nécessité 6 mois de développement confié intégralement à l'agence Business Interactif qui a déployé une solution à 360°. Cette dernière intègre la réalisation de la plate-forme et de son back-office de gestion du catalogue en ligne -400 références pour le moment, ainsi que le référencement et le plan média qui accompagne le lancement de
Descamps.fr. Ce plan est adossé à un budget qui autorise une "bonne assise de la campagne" selon le chef du projet.

Source:lejournaldunet.fr
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2007-02-06

Ventes privées sur Internet : 24h00.fr passe en mode de croissance chrono

Le site marchand a levé 6 millions d'euros auprès d'un fonds d'investissement lié à AGF. Il vient titiller des acteurs installés comme Vente-Privée.com ou Achat-VIP.com.

Les ventes privées sur Internet sont devenues une nouvelle source d'inspiration pour développer le commerce électronique. Ce concept de club avec accès restreint pour des internautes souhaitant participer à des sessions de vente événementielle (c'est-à-dire limitée dans le temps) pour des produits à des prix exceptionnels est désormais répandu. Et il séduit les investisseurs.

La preuve avec le tout frais 24h00.fr : cinq mois après son lancement, le site marchand vient de conclure un tour de table de 6 millions d’euros auprès du fonds d'investissement AGF Private Equity, qui apporte 5 millions d’euros, accompagné d'investisseurs individuels (business angels) qui ajoutent un million d'euros supplémentaire. Cette première levée de fonds d'importance pour 24h.00.fr a été appuyée par Aelios Finance, qui assiste les jeunes pousses dans leur recherche de financement.

un million de membres avant la fin de l'année

Pour Patrice Robin, PDG de 24h00 qui dispose d'une solide expérience de dirigeants de sociétés Internet (il avait créé ImagiNet, Régie On Line ou Le Webmarchand), c'est une première étape importante qui vient d'être franchie. Le fait d'avoir rapidement obtenu la confiance d'investisseurs va lui permettre d'accélérer son business. Dorénavant, l'objectif de 24h00 est d'afficher une base significative de clients (un million de membres d'ici la fin de l'année). Le site marchand a déjà organisé des sessions de ventes privées et événementielles avec l'appui d'une dizaine de marques haut de gamme comme Maje, Iro, Mexx, Converse, Mellow Yellow, Ralph Lauren Polo, Gaspard Yurkevitch ou Uppla. Il peut également se targuer de disposer d'un réseau de partenariats non négligeables dans l'Internet marchand en France : Meetic, PriceMinister et AuFéminin.com.

Mais la concurrence est rude dans le secteur. Ainsi, le pionnier Vente-Privée.com apparaît en treizième place dans le classement Médiamétrie//NetRatings "spécial e-commerce en France" du dernier trimestre 2006. Le site affiche plus de 5 millions de visiteurs uniques sur cette période.

Enfin, un autre challenger monte également en puissance : Achat-VIP.com, qui revendique la deuxième place sur ce marché. En décembre 2006, la société éditrice Olfo avait annoncé une levée de fonds de 3,5 millions d'euros auprès de Edmond de Rothschild Investment Partners et OTC Asset Management. Outre Achat-VIP.com, elle exploite d'autres sites Internet thématiques comme ADSLfacile.com (site comparatif d'offres haut débit), AchatFacile.fr (galerie commerciale virtuelle en 3D) ou Bijouxfacile.com.

source: vnunet.fr

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2007-02-05

eBay interdit la vente d’articles virtuels issus des jeux en réseau

Le service mondial d'enchères en ligne souligne la confusion régnant sur les droits de propriété associés aux produits dérivés de jeux en réseau.

eBay a décidé d’interdire les ventes d’articles dérivés de jeux en réseau tels que World of Warcraft en raison de la confusion autour des questions juridiques liées à ce type de ventes.
Le service en ligne de vente aux enchères a expliqué que l’interdiction des ventes de produits virtuels tels que de l’or, des armes ou des armures avait été imposée car il est difficile d’identifier clairement le propriétaire de ces articles. "Nous ne reconnaissons ni leur légalité, ni leur illégalité", a déclaré le porte-parole d’eBay Hani Durzy sur Breitbart.com. " Nous avons
simplement décidé qu’il valait mieux ne plus autoriser leurs ventes. "

En revanche, eBay vient tout récemment de lever l’interdiction sur les ventes aux enchères d’articles de communautés virtuelles, estimant que ces dernières ne pouvaient être définies comme des jeux."A l’heure actuelle, Second Life n’est pas considéré comme un jeu,
c’est pourquoi nous ne lui appliquons aucune restriction", a précisé Hani Durzy.

Le porte-parole ajoute que cette interdiction imposée sur les articles virtuels s’apparente en un sens à l’interdiction de vente d’alcool ou de tabac sur eBay. Ces produits, bien qu’autorisés légalement à la vente dans d’autres commerces, sont en effet soumis à des restrictions
légales complexes.

"N’oublions pas que nos conditions générales d'utilisation à cet égard évoluent sans cesse", a souligné Hani Durzy. "Nous les modifierons si les communautés, la culture ou les législations vont dans ce sens."

Source: vnunet.fr


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