Le blog eBoons propose une synthèse des informations récoltés sur le net sur les sites marchands, le e-commerce et les technologies numériques aux services du e-business. Notre logique: vivre moins chère sans se priver !

2006-04-21

Plan.Net attaque le marché français de la publicité interactive


L'agence interactive de l'allemand Serviceplan ouvre une filiale en France en rachetant une web agency et en se rapprochant de La Maison de la Communication.
Objectif : 3 millions d'euros de marge brute en 2006.

Un nouveau venu dans le monde des agences de publicité interactive. Plan.Net, l'activité Internet de l'agence traditionnelle allemande Serviceplan, vient d'ouvrir une filiale française pour profiter "de la croissance d'un marché très prometteur", selon Olivier Bronner, qui dirige cette filiale. Avec un portefeuille de clients comprenant déjà Mamie Nova et Hatier notamment, Plan.Net France a pour objectif de réaliser 3 millions d'euros de marge brute pour son premier exercice. L'implantation s'est faite en s'appuyant sur deux acteurs français existants. "La stratégie de Plan.Net a été de ne pas se lancer sans un partenariat local avec une agence indépendante," explique Olivier Bronner. Cette agence, La Maison de la communication, est en fait un groupement d'agences dont certaines sont positionnées sur la publicité (Dufresne & Corrigan Scarlett), d'autres sur la communication corporate (Parties Prenantes), l'événementiel (Ministère des Idées), et l'achat d'espace et le conseil média (Génération Média). Plan.Net a également racheté l'agence Web Caxton Technologies, fondée et dirigée par Olivier Bronner depuis 2000.

Plan.Net se considère d'abord comme un chef d'orchestre qui coordonne les campagnes. "Nous sommes donneurs d'ordres, nous déterminons la cible, nous choisissons des prestataires, et nous coordonnons leurs travaux", explique Olivier Bronner. Les compétences de l'agence en interne relèvent de la création publicitaire et de l'achat média, deux activités réunies depuis sa création en Allemagne en 1997. Pour les autres activités, Plan.Net fait appel à des prestataires, principalement concernant l'affiliation et le design. Dans ce domaine, l'appartenance à La Maison de la communication facilite les contacts. L'agence se veut à la fois innovante et efficace. Elle utilise par exemple pour ses campagnes des vidéos en streaming en arrière-plan. Plan.Net s'attache aussi à mesurer leur efficacité en termes de retour sur investissements, avec "une rigueur toute allemande", de l'aveu de Olivier Bronner. Issue d'un groupe implanté dans la publicité traditionnelle depuis plus de trente ans, Plan.Net conçoit les médias interactifs (Internet et mobile principalement) avant tout comme un moyen au service de la marque. "Quand nous recommandons des investissements, nous cherchons d'abord à comprendre ce qu'est la marque et quelles sont ses valeurs, sur les autres médias", affirme Olivier Bronner. La société a l'expérience de grands groupes, préoccupés par leur ROI mais qui souhaitent en plus bénéficier d'une bonne image. La filiale française constitue la première implantation directe hors d'Allemagne. Si Plan.Net achète directement de l'espace médias au Pays-Bas, en Belgique et en Suisse, l'agence a tissé au-delà un réseau de partenaires comprenant notamment le britannique Profero et l'américain Razorfish. Le groupe annonce un volume d'achats médias en Europe de 56 millions d'euros en 2005.
Baptiste RUBAT du MERAC, JDN

2006-04-20

La Fraude pourrait entamer la confiance des internautes!


L’e-commerce, vraie victime du vol de vos données
20 avril 2006 Stock Xchange©
Le phishing, arnaque consistant à subtiliser les données personnelles des internautes, prend de l'ampleur. Si les victimes sont rares en Belgique, les acteurs du Net prennent le phénomène au sérieux. Car il entame la confiance des consommateurs. Et pourrait faire reculer le commerce en ligne mondial.
Un e-mail envoyé par une banque vous demande de cliquer sur un lien afin de confirmer votre nom d'utilisateur et votre mot de passe. Cliquez, et vous serez piégé : il s'agit d'une tentative de phishing (contraction de fishing, «pêche», et phreaking, désignant le piratage des systèmes téléphoniques). Une arnaque en ligne destinée à subtiliser vos données personnelles (codes, numéros de carte bancaire, mots de passe, etc.). Vous arrivez sur un site Internet imitant celui de votre organisme financier ou de votre commerçant favori, et sur lequel vous devez livrer vos informations. La technique se développe depuis quelques années. Et se multiplie.
Selon les derniers chiffres publiés par l'Anti-Phishing Working Group, plus de 9.700 sites mondiaux de phishing ont été répertoriés en janvier dernier, touchant plus de 100 marques connues. Et si l'on en croit le cabinet d'étude Gartner, l'augmentation du phishing porte atteinte à la confiance du consommateur dans les services en ligne et pourrait, s'il s'amplifie encore, faire reculer le commerce électronique de 1 % à 3 %.
Après eBay, son système de paiement PayPal et de nombreuses banques, Citigroup est particulièrement touché ces derniers mois. En Belgique, plusieurs personnes ont été victimes de ces e-mails frauduleux. «Nous avons recensé trois victimes chez nos clients, reconnaît Lars Seynaeve, corporate communication officer chez Citibank. Les montants en cause ne dépassaient toutefois pas € 1.500.» La banque a aussitôt remboursé ses clients.
Le nombre de cas signalés dans notre pays n'est pas élevé, une cinquantaine depuis 2004, mais en forte progression : «Nous avons recensé moins de cinq dossiers en 2004, une vingtaine en 2005 et déjà autant depuis le début de l'année !, confirme Guy Verbeeren, responsable de la section Recherche sur Internet de la Federal Computer Crime Unit (FCCU), l'organisme de lutte contre la cybercriminalité de la Police fédérale. Les montant escroqués dépassent rarement € 3.000.»
Les grands acteurs du Web n'ont pas attendu pour réagir. «Nous investissons beaucoup de temps pour informer nos utilisateurs sur cette menace, souligne Peter Burin, responsable de la communication d'eBay Belgique. Plus de 1.000 personnes dans le monde travaillent sur la sécurité de notre système.» Autre victime de choix : Microsoft. Avant l'été 2005, le géant dénombrait une dizaine de copies de ses sites par mois. Aujourd'hui, il en compte une centaine. Le géant des logiciels a intenté 117 procès en avril 2005 aux USA et vient de lancer sa campagne Global Phishing Enforcement Initiative. Ce programme mondial de lutte contre le phishing prévoit l'information des utilisateurs, la réservation préventive de 3.000 noms de domaine susceptibles d'être utilisés pour du phishing, des actions judiciaires et des partenariats avec les polices locales. Le budget, confidentiel, atteindrait plusieurs millions d'euros.
Christophe Charlot
Le Pro de l'achat malin veille aux critères de sécurité fournis pas par les sites marchands

Emirates Airlines devenue partenaire de la FIFA pour 2007-2014

GENEVE, 18 avril (XINHUA) -- La compagnie aérienne Emirates Airlines basée à Dubai a signé un contrat de partenariat avec la La Fédération internationale de football (FIFA) pour une période allant de 2007 à 2014 dans la catégorie des services de transport aérien de passagers, a annoncé mardi la FIFA dans un communiqué.

Ce partenariat, officialisé à Dubaï lors d'une cérémonie à laquelle ont participé Joseph S. Blatter, président de la FIFA, et Cheikh Ahmed bin Saeed Al-Maktoum, président du groupe Emirates, représente avec un paiement de 195 millions de dollars le plus gros deal que la compagnie aérienne signe en tant que sponsor et souligne l'attrait toujours intact du football, indique le communiqué de la FIFA.

Emirates est la sixième et dernière entreprise après Adidas, Hyundai, Sony, Coca-Cola et Visa à rejoindre la nouvelle élite de la FIFA en matière de sponsoring, qui offre à six groupes de premier choix le plus haut niveau d'affiliation à la FIFA pour une période de huit ans. Emirates bénéficiera des droits principaux de sponsoring sur toutes les compétitions de la FIFA, notamment la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010, la Coupe du Monde de la FIFA 2014 et tous les événements spéciaux et initiatives de développement organisés par l'instance dirigeante du football mondial, lit-on dans le communiqué.

"Je suis extrêmement fier que cette brillante et prestigieuse compagnie aérienne ait une fois encore décidé d'accorder sa confiance à la FIFA et au football - à un niveau encore supérieur avec cette fois-ci un engagement à long terme", a déclaré M. Blatter cité par le communiqué.

"Nous sommes convaincus que le sport est un vecteur idéal pour communiquer avec nos passagers et que le football est pour nous la meilleure tribune qui permettre de partager leur joie et leur passion", a déclaré pour sa part Cheikh Ahmed bin Saeed Al-Maktoum.

2006-04-19

Chine: le volume de l'e-commerce s'éleve à 740 milliards de yuans en 2005


BEIJING, 17 avril (XINHUA) -- Selon les dernières statistiques, le volume de l'e-commerce s'est élevé à 740 milliards de yuans en 2005, soit une croissance annuelle de 50%, alors que le nombre d'acheteurs sur Internet a atteint 22 millions de personnes, soit 6 millions de plus qu'en 2004, a indiqué le vice-ministre chinois du Commerce Liao Xiaoqi.

"L'e-commerce en est à ses débuts en Chine mais le pays totalise déjà 110 millions d'internautes dont 64 millions d'abonnés à la connexion à haut débit" a souligné Liao Xiaoqi. Par ailleurs, le nombre d'internautes s'est classé au deuxième rang mondial, alors que la Chine compte plus de 700 000 sites web.

Selon Liao, au cours des deux dernières années, l'e-commerce a connu un développement rapide, surtout dans le secteur de la logistique.
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SUISSE - Une nouvelle boutique en ligne d'articles de deuxième main pour enfants


Chiffonnette, c'est depuis plus d'une décennie une boutique d'articles de seconde main située à Lutry et reconnue loin à la ronde, spécialisée pour les enfants de 1 à 16 ans.

Désormais, Chiffonnette offre aux internautes helvétiques la possibilité de commander ses articles par le biais de sa boutique virtuelle (http://www.chiffonnette.ch/catalog).
Vêtements, chaussures, jeux, livres, K7, accessoires, Chiffonnette, c'est une véritable caverne d'Ali Baba.
Chiffonnette souhaite ainsi offrir de nombreux articles aussi divers que variés à des prix très bas en veillant de fait à enrayer le phénomène du gaspillage généralisé.


Sans nul doute, un très bon plan.

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E COMMERCE : de nouveaux clients, de nouveaux usages.

Interview d’Aymeric Thibault de LA BOUTIQUE DU DUVET
  1. + 49% pour l’e-commerce français en 2005 selon l’ACSEL, Comment la BOUTIQUE DU DUVET, site marchand français commercialisant une gamme de produits de fabrication canadienne, réussit dans ce développement du e-commerce ?
    Nous avons une politique à double détente. Tout d’abord nous utilisons le développement du e-commerce avec notre site grand public : www.boutiqueduduvet.com
    . Cela nous permet de réduire les frais de façon importante (par rapport aux ventes en boutique). Ensuite nous nous positionnons dans une démarche sélective vers les grandes leaders de la vente à distance qui possèdent leur propre logistique.
  2. La généralisation du haut débit, l’arrivée massive des PME-TPE sur l’Internet marchand sont-t-il des facteurs dynamisant de croissance pour votre société ?
    Le fournisseur est toujours au cœur de nos préoccupations pour s’assurer de la qualité des produits et services, des délais de fabrication et de livraison. Cependant, le client final prend une place de plus en plus importante dans l’activité de logistique. Il est vital de répondre toujours mieux aux attentes de qualité de service dans les livraisons à domicile. N’oubliez pas que sur Internet, vos concurrents sont à « un clic de distance ». Un internaute insatisfait dissuade 5 prospects potentiels.
  3. La qualité des services post commande devient un élément de différentiation commerciale. Comment votre logistique trans-atlantique répond-t-elle à ce véritable challenge ?
    Se présentent deux cas de figure : 1 - Les grands volumes. Cela nécessite la fabrication des produits puis la livraison trans-atlantique. La planification est faite lors de la commande et demande en moyenne trois semaines. 2 - Les petits volumes. Nous avons des stocks en France et donc le service est rapide.
  4. La satisfaction du client final est souvent synonyme d’une parfaite entente préalable avec ses fournisseurs. Quelle est la logistique mise en place par BOUTIQUE DU DUVET pour traiter chaque commande ?
    Les commandes sur le site passent majoritairement par un paiement sécurisé en ligne d’où l’importance également d’une bonne relation avec la banque et la vérification de la qualité de leur site de paiement. Ensuite intervient l’appel à des transporteurs pour la livraison au client final ou même aux services de la Poste qui sont très satisfaisants.
  5. Quels sont les freins aux expéditions internationales : administratifs et douaniers, transports multimodaux, autant de point de « fragilité » pour une jeune entreprise en développement ?
    D’un point de vue logistique pur il est vrai que l’accumulation de différents intermédiaires (transport routier, bateaux, les chargement et déchargements aux ports, les douanes,...) peut freiner les entreprise dans cette démarche trans-atlantique. Pour cela des services clé en mains sont très bienvenus. Ils gèrent les marchandises depuis le lieux de fabrication jusqu’au lieu de stockage et même jusqu’au client final.
  6. Le conditionnement et la communication deviennent une préoccupation de certains vendeurs sur le net. Quelle est l’importance du packaging final auprès du consommateur ?
    Le packaging est réellement important car c’est ce qui est vu en premier par le client final donc un effort sur celui-ci est indispensable. Une bonne logistique est le fondement d’un bon service donc naturellement elle devient capitale dans la communication d’une entreprise.
  7. Quelles sont de votre point de vue les tendances déterminantes d’une logistique réussie ?
    Pour une logistique réussie il est important d’avoir une compréhension globale de la chaîne depuis la fabrication des produits jusqu’à l’arrivée chez le client. Il est indispensable ensuite de savoir déléguer. La sous-traitance avec un service clé en main peut aider grandement.
    Propos recueillis par Sylvie BETTINGER
    ©2006 Economie Matin

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Facturer une prestation ponctuelle en tant que particulier


"Je suis un particulier et une société m'a demandé de réaliser une prestation ponctuelle pour laquelle elle me rémunérerait. Comment dois-je rédiger la facture ? Par ailleurs, j'ai entendu dire qu'il suffisait de déclarer les revenus perçus comme "bénéfices non-commerciaux" sur ma déclaration de revenus. Est-ce exact ?"

Des questions de ce genre sont régulièrement posées sur le forum et le mythe de la simple déclaration au centre des impôts a la vie dure. En procédant de la sorte, vous allez pourtant au devant de très désagréables surprises.

Etre en règle avec l'administration fiscale est une chose, mais cela n'est pas suffisant pour être dans la légalité. Une immatriculation en bonne et due forme est également nécessaire, notamment pour les raisons suivantes :

- Cotisations aux organismes sociaux. Si tout travail mérite salaire, les organismes sociaux appliquent le principe selon lequel toute rémunération mérite cotisation. Le montant des cotisations dues dépendra du statut professionnel que vous allez retenir (voir ci-dessous). En cas de non-cotisation, vous n'êtes d'ailleurs pas le seul à courir des risques puisque votre client pourrait faire l'objet d'un redressement par l'URSSAF.

- Production d'une facture à votre client. Votre client aura besoin d'une facture pour pouvoir comptabiliser le coût de votre prestation comme une charge déductible. Or pour établir une facture, il vous faut un statut (et le numéro d'immatriculation qui va avec). Un particulier ne peut pas établir de facture.

- Exercice de l'activité. Disposer d'un statut peut être requis pour l'exercice de l'activité elle-même (à titre d'exemple, pour obtenir une carte de commerçant ambulant, vous devrez justifier de votre réelle immatriculation).

- Requis pour certains partenariats. Certaines sociétés refusent de traiter avec des particuliers et ne contractent qu'avec des professionnels (à titre d'exemple, les programmes d'affiliation sur internet qui permettent à un site apporteur d'affaires de recevoir une commission exigent une immatriculation).


- Possibilité d'être assuré. Pour vous protéger de certains risques, il est vivement recommandé de souscrire à une assurance responsabilité civile professionnelle (comme exemples de risques, on peut citer le cas d'une action en responsabilité qui pourrait être engagée par un client ; un autre exemple pourrait être une action en dommages et intérêts engagée par une personne diffamée sur un site internet dont vous auriez la charge). Or de telles assurances sont par définition réservées aux seuls professionnels.

Réaliser une prestation, la facturer et se faire rémunérer suppose donc obligatoirement de disposer d'un "statut". Pour cela, vous pouvez soit créer une société, soit vous immatriculer en tant qu'entrepreneur individuel (sous certaines conditions, une telle création peut d'ailleurs être cumulée avec un contrat de travail dans une autre entreprise).

Attention toutefois avant de vous lancer dans des démarches de création d'entreprise : vous devez vous assurer que le jeu en vaut vraiment la chandelle. En effet, comme vous allez devoir payer des charges forfaitaires, vous pourriez être amené à payer plus que ce que votre activité n'est susceptible de vous rapporter.

Pour vous aider à peser le pour et le contre et évaluer les charges auxquelles vous allez devoir faire face, vous pouvez vous reporter à la rubrique dédiée à la
création d'entreprise. Vous pouvez notamment commencer par l'article suivant : "liste et calendrier des formalités de création d'une entreprise" et consulter les fiches complémentaires qui y sont citées.

Cas particulier, les artistes peuvent bénéficier d'un statut plus souple (vous trouverez plus d'informations sur ce statut auprès de la
Maison des Artistes). Il en est de même des auteurs qui peuvent être rémunérés sous la forme de droits d'auteurs (vous trouverez plus d'informations sur ce statut auprès de l'Agessa).

Avant de conclure, tordons le cou à une dernière idée reçue : on entend souvent parler de la création d'une micro entreprise. Toutefois, la micro entreprise n'est pas une forme de société, mais un régime fiscal ! Ainsi, lorsque vous créez une entreprise individuelle, vous pouvez (sous certaines conditions) opter pour le régime fiscal de la micro entreprise (voir par exemple dans le cas d'un commerçant: le
régime fiscal applicable), mais cela ne vous dispense nullement de toutes les autres formalités liées à l'immatriculation de votre entreprise individuelle.


(1er novembre 2004)
Source : Me Marc-Etienne Sébire
Le Pro de l'achat malin sur le net est déjà passé par toutes ces étapes

2006-04-18

Tunisie e-commerce : l'Industrie Arabe et le Commerce Electronique

La législation du Commerce Electronique et son rôle dans le développement de l'industrie dans les pays arabes, est le thème d'un colloque qui sera organisé par l'Organisation Arabe de Développement Industriel, le Ministère du Commerce et de l'Artisanat, le Ministère de l'Industrie, de l'Energie et des PME et la Banque Islamique de Développement en collaboration avec le Centre de Promotion des Exportations et ce du 19 au 21 avril 2006 à la Maison de l'Exportateur – Tunis.

A cet effet, d'imminentes personnalités, universitaires, hommes d'affaires, chefs d'entreprises, représentants des institutions financières et économiques des pays arabes animeront les débats au cours de ce colloque. Un colloque qui se déroulera sous forme de panels et se penchera sur les axes suivants : Les Notions et les spécificités du cadre général du commerce électronique et son fondement juridique, les règles internationales des transactions du commerce électronique et ses répercussions sur le développement des exportations industrielles Arabes, les défis juridiques qui entravent l'utilisation de la médiation électronique dans les opérations d'échanges commerciales relatives aux services et aux produits industriels et le rôle du commerce électronique dans la vulgarisation de la compétitivité des exportations industrielles Arabes

Le commerce électronique en Tunisie
Convaincu de la nécessité de s'adapter aux mutations économiques internationales et de tirer le maximum de profit des nouvelles technologies de communication, le Chef de l'Etat a ordonné, en novembre 1997, la création d'une Commission Nationale du Commerce Electronique, placée sous l'égide du Ministère des Technologies de la Communication et du Ministère du Commerce et de l'Artisanat, Cette commission a été chargée d'étudier le sujet sous ses différents aspects.
A cet effet, des groupes de travail ont été constitués, regroupant les différents départements et organismes concernés ainsi que le secteur privé, afin d'étudier en profondeur les différents aspects du commerce électronique et de l'adapter à notre contexte économique et social :
Les aspects opérationnels et commerciaux du commerce électronique, les aspects financiers et fiscaux, les aspects juridiques et réglementaires, les aspects liés à la sécurité des transactions électroniques, les aspects techniques, la sensibilisation et la formation, les expériences pilotes.
Des mesures visant à mieux saisir les opportunités de ce commerce et à ouvrir les perspectives devant les entreprises tunisiennes dans le monde virtuel des échanges des biens et services, ont porté notamment sur :
La facilitation des opérations d'exportation en utilisant les nouvelles technologies de communication, la mise en œuvre d'une expérience pilote, l'adoption d'un programme de sensibilisation à l'échelle nationale et régionale, le suivi des évolutions du sujet à l'échelle internationale.
Principaux objectifs pour s'intégrer dans le commerce électronique :
Améliorer la compétitivité des entreprises tunisiennes, favoriser et permettre l'accès à de nouveaux marchés, s'insérer dans les circuits de distribution à l'étranger, maximiser les marges commerciales tunisiennes par la réduction des intermédiaires, promouvoir de nouveaux services et produits à l'export, créer de nouvelles filières pour l'emploi des diplômés.
La stratégie adoptée

Trois principes de base fondent la stratégie nationale dans le domaine de l'introduction du commerce électronique, à savoir :
- Le renforcement de la confiance des utilisateurs, par la mise en place d'un cadre juridique adéquat présentant les garanties nécessaires et requises ; - Amélioration de l'infrastructure afin d'assurer l'accès universel et abordable à l'information et par conséquent garantir l'expansion du commerce électronique dans notre pays ;
- Optimiser les avantages par une utilisation généralisée de la part des entreprises, des consommateurs et des institutions publiques. L'Etat peut être considéré comme un utilisateur modèle des technologies nouvelles ; il est de ce fait le moteur de développement de ce nouveau moyen d'échanges.
Les incitations aux entreprises pour adhérer à l'économie numérique
Afin d'encourager les entreprises tunisiennes et plus particulièrement les entreprises exportatrices à utiliser les TIC et le commerce électronique pour une meilleure compétitivité dans un contexte de globalisation, plusieurs mesures ont été prises, telles que :
- La facilitation des procédures de commerce extérieure à travers le réseau Tunisie TradeNet reliant les différents acteurs du commerce extérieur (Ministère de Commerce, douanes, banques,...) à travers un centre serveur EDI. Ainsi, un importateur ou un exportateur peut suivre toute la procédure de commerce extérieur à travers une interface web. (www.tradenet.com.tn) - Le programme FAMEX pour faciliter l'accès au marché extérieur pour les entreprises exportatrices (www.cepex.nat.tn) - Le programme FOPRODEX fédéré par le Centre de Promotion des Exportations permet de couvrir jusqu'à 50% des coûts pour la conception et la mise en ligne d'un site web ou d'un site marchand pour une entreprise exportatrice (www.cepex.nat.tn).

La Confiance et la sécurité pour une économie numérique
Afin de garantir un environnement de confiance pour les transactions et les échanges électroniques, le gouvernement Tunisien a promulgué une loi sur le Commerce et les échanges électroniques en août 2000. Cette loi a introduit la définition du document électronique, du certificat électronique et de la signature électronique. Elle accorde la même valeur juridique à la signature électronique et à la signature manuscrite. Elle annonce la création de l'Agence Nationale de Certification, en tant qu'autorité de certification de plus haut niveau de confiance en Tunisie Electronique (www.certification.tn) comme elle introduit l'activité de Fournisseurs de Services de Certification en Tunisie.

Cette loi a été suivie par un ensemble de textes d'application définissant l'usage des moyens de cryptage, le contenu et la fiabilité du certificat électronique et les conditions requises pour les dispositifs de signature électronique. Un cahier des charges pour les Fournisseurs de services de certification a été promulgué.

Les moyens de payement électroniques
Le réseau bancaire Tunisien a fait l'objet d'une totale restructuration et une mise à niveau et un réseau de télé compensation bancaire de technologie de pointe a été mis en place pour réussir la transition vers l'économie immatérielle. De même, le secteur bancaire dans sa stratégie de modernisation, est en train de généraliser l'usage des cartes bancaires au niveau national. D'autre part, La Société Monétique de Tunisie SMT, fédérant le réseau interbancaire tunisien a mis en place un système de payement électronique sécurisé SPS par carte bancaire Visa et Mastercard.

Afin de favoriser la généralisation de l'usage du commerce électronique, la Poste Tunisienne a mis en place un moyen de payement national « le E-dinar » permettant de payer en ligne. Moyennant une carte « E-dinar » disponible dans différents bureaux de postes au niveau national et avec différents montants, l'utilisateur crée un compte virtuel auprès de la poste qu'il peut utiliser pour payer sur les sites marchands utilisant ce mode de payement ( e-dinar.poste.tn).

Ce qu'il faut savoir du Commerce électronique ?
Le e-business (Les Affaires Electroniques) Le e-business est un outil qui, dans la mesure où il est utilisé efficacement, peut rehausser la productivité et la rentabilité des entreprises en agissant sur les liens qu'elles entretiennent avec leurs fournisseurs, leurs clients et leurs concurrents.
Le e-business n'est pas un phénomène nouveau. Il existe depuis que les entreprises ont commencé à automatiser leurs procédures administratives. On peut le considérer comme outil nouveau. Il est de ce fait le prolongement logique du téléphone, du photocopieur, de l'ordinateur et du télécopieur.
L'émergence des technologies liées à l'Internet a provoqué une véritable explosion des occasions d'affaires s'offrant aux entreprises intéressées à s'ouvrir aux affaires électroniques. L'utilisation d'Internet accroît considérablement la souplesse des entreprises en leur permettant d'accéder rapidement à l'information, ce qui élimine plusieurs des obstacles freinant leur croissance. Le commerce électronique peut faciliter tous les aspects de la gestion de la chaîne d'approvisionnement, incluant la recherche et l'obtention de produits et de l'information, la gestion des commandes et l'administration des ventes.
Le terme « e-business » désigne « tout genre d'échange d'affaires effectué sur Internet, incluant non seulement les transactions d'achat et de vente, mais aussi le service à la clientèle ainsi que la communication et la collaboration entre partenaires d'affaires et employés. Le e-business peut prendre cinq formes principales :
- Les transactions électroniques interentreprises (en anglais : B2B pour « business-to- business ») ; - Le commerce électronique au détail (en anglais : B2C pour « business-to-consumer ») ; - Les transactions électroniques de consommateur à entreprise (en anglais : C2B) ; - Les transactions électroniques interconsommateurs (en anglais : C2C ) ; - Les transactions électroniques entre les entreprises et l'Administration (en anglais: B2G “business to governement”).


Source : Audinet Tunisie
Le Pro de l'achat malin sur le net s'ouvrira bien un jour aux pays du sud

Les 12 coups de Noël : Pré référencement

La première étape pour rentabiliser son site…
C’est de faire en sorte que les internautes vous trouvent parmi les millions de pages indexées par les moteurs de recherche.Les prochains sujets abordés traiteront donc de ces thèmes. Certains points seront plus techniques que d’autres, mais tous répondent à cette problématique.

Référencement Choix Amonts
Avant de mettre en place un site internet il vous faut prendre en considération quelques données techniques, voire technologiques, qui influencent plus ou moins positivement l’indexation, le référencement, de votre futur site.Au-delà des solutions qui seront évoquées dans les prochaines newsletter, les premières questions doivent concerner le nom de domaine, le langage de développement et l’arborescence de votre site.
Le Nom de Domaine
Il est établi avec certitude que le nom de domaine (l’url) influe sur la position de votre site internet dans la page de résultat de Google. Vous devez tenir compte de différents éléments pour pouvoir référencer facilement et de manière optimale votre site.
L’intitulé :
Si votre site internet traite de voyages, il est évident que www.mes-voyages.com aura un impact positif sur votre référencement, notamment le référencement naturel c’est-à-dire, le positionnement dans les moteurs sans actions spécifiques de votre part.La déclinaison :Vous devez prendre en considération les incidences des déclinaisons de votre url. Ainsi, même s’il n’est pas établi avec certitude que cela a une incidence, il semble cependant que forum.mes-voyages.com soit mieux référencé que mes-voyages.com/forum/ nous vous conseillons par conséquent d’ utiliser plus volontiers les sous-domaine.
Le nombre de caractères :
Si vous décidez de mettre en place un site Internet dédié à une activité il vous faudra limiter le nombre de caractères de l’url. Même si les moteurs d’indexation (les bots) ne semblent pas gênés par les url longues, plus votre url se rapproche du terme naturel, plus l’url pèse et accroît votre référencement.
Le Langage
Vous avez décidé de mettre en place un site internet. Votre choix peut s’orienter vers une solution génératrice de contenu ou gestionnaire de contenu.Vous devez impérativement tenir compte de différents éléments tels que les url auto générées et les pages dynamiques.
Les URL Auto-Générées :
Vous avez certainement déjà constaté au fil de vos navigations certains adresses Internet contenant différents éléments tels que :
(…)BV_SessionID=@@@@2003693905.1123504466@@@@&(…) Malheureusement, ce type d’url n’est pas interprétée par les moteurs d’indexation. De ce fait lies différents moteurs de recherches n’index pas les pages pourtant accessibles. Ceci a deux conséquences directes sur votre référencement :
Les Pages Dynamiques :
Les pages dynamiques évoluent en fonction de requêtes manuelles de l’internaute. Le plus généralement, il s’agit de pages générées par la création d’ une page de résultat à une recherche.
Monsite.com/Mapage.doMonsite.com/Monaction.gneIl se peut que vous ayez déjà rencontré ce type d’adresse internet. Il s’agit alors de page qui ne converse pas d’historique fixe dans un navigateur, on comprend alors facilement que les moteurs d’indexation ne puissent pas indexer l’ensemble des pages mais uniquement l’adresse générique. Vous avez alors les mêmes conséquences qui impactent directement votre site internet.

L’arborescence
Votre site internet va s’étoffer au cours de sa durée de vie. Vous serez amenés à concevoir de nouvelles pages, à mettre en place de nouvelles actions, de nouveaux contenus. Il faut dès aujourd’hui concevoir l’arborescence de votre site internet.Vous disposez de plusieurs solutions pour diminuer les contraintes de référencement.

Sous-Domaine :
La première solution est d’orienter votre site internet par un système de sous-domaine en déclinant les catégories de votre site internet de telle manière :
membre.monsite.comforum.monsite.comsupport.monsite.comabout.monsite.comlegal.
monsite.com
Cette solution procure trois avantages au référencement naturel de votre site :
- Classification du référencement. Ainsi vous pourrez constater que votre site est référencé naturellement sous différents mot clefs et ceux-ci correspondent intuitivement aux sous domaine. La multiplication du référencement naturel permet d’augmenter les possibilités d’être en meilleur position sur les différents moteurs.
- Gestion Indexation Simplifiée. Vous connaissez probablement déjà l’existance du fichier robots.txt (si tel n’est pas le cas, le sujet sera évoqué dans une prochaine newsletter). Par le système de sous-domaine vous pourrez simplement supprimer l’indexation d’un sous domaine d’un moteur ou de l’ensemble des moteurs.
Les erreurs de saisi des internautes seront plus facilement traitées par un système de redirection automatique dans le fichier .htaccess, ainsi les internautes qui saisissent une adresse avec une faute dans le nom de la page ou qui tentent d’accèder à une page en favoris qui n’existe plus seront automatiquement redirigés vers l’accueil du sous domaine.
Par exemple : membre.monsite.com/porfil.html >>
membre.monsite.comlegal.monsite.com/favori.html >>
legal.monsite.com

Htaccess Rewrite :
Vous pouvez choisir de mettre en place une solution classique de répertoire générés de telle manière :
Cette solution procure deux avantages au référencement :- Vous disposez de la possibilités de multiplier les adresses (url) d’accès à un espace dédié grâce au système de redirection dans le fichier .htaccess. Par exemple, le fichier peut permettre d’accéder au même espace en saisissant :
htmwww.monsite.com/membres.html
Vous pouvez dirigez les moteurs d’indexation vers les nouvelles pages ce qui permet une mise à jour des pages indexés plus facilement.Nous espérons que ces informations vous seront utiles et qu’elles permettront à vos clients de vous trouver plus facilement sur internet.
La semaine prochaine, nous continuerons notre étude sur le monde du référencement...
A la semaine prochaine !
L'équipe publishers TradeDoublerJulien, Olga, Béatrice et Vincent avec l’aimable participation de Sylvain.
Le Pro du réferencement sur le net

2006-04-15

Qu'est ce que €bOOns.com ?



€bOOns.com est une interface conviviale et intuitive qui centralise tous les bons de réductions et autres promotions afin d’aider l’internaute à lui faire économiser de l’argent.
La logique est de vivre moins chèr sans se priver...

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Guide utilisation - Les bons de réduction : des ristournes en plus

Il vous arrive sûrement de trouver dans votre boîte aux lettres des bons de réduction offrant quelques euros de remise sur l'achat d'un article en magasin. Les commerçants en ligne, eux aussi, proposent des bons de réductions, virtuels, qui prennent la forme d'un code (une combinaison de chiffres et de lettres) à saisir avant de valider sa commande. Où se procurer de tels codes ? En s'inscrivant aux lettres d'information des marchands, on peut recevoir (au fil des promotions) ces codes. Mais le plus simple est de visiter un site spécialisé comme www.eboons.com qui recense tous les codes en cours, en les classant par marchands et par thèmes avec pertinence.
Dans certains cas, plusieurs codes sont disponibles, correspondant à des conditions d'utilisation différentes : leur date de validité, le montant minimum d'achat pour pouvoir utiliser le coupon, les conditions particulières d'utilisation (être un nouveau client, ne pas commander d'articles déjà en promotion...) sont variables. Choisissez le code le plus intéressant, copiez-le, puis tapez-le dans votre bon de commande. La réduction sera soustraite du montant de vos achats.

€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.

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Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet

2006-04-14

Bruxelles s'attaque aux cartes bancaires

La Commission réclame une ouverture des marchés des cartes, dont les tarifications varient dans d'énormes proportions d'un pays européen à l'autre.
C'EST UN ULTIMATUM à peine déguisé qu'a lancé hier la Commission européenne aux banques européennes : si, d'ici au 21 juin prochain, ces dernières n'ouvrent pas le marché des cartes de paiement à la concurrence et ne contribuent pas ainsi à diminuer le coût des transactions, l'exécutif européen prendra des mesures autoritaires à leur encontre. «En Europe, ce secteur demeure national, et certains acteurs locaux empêchent la compétition de se développer», a critiqué la commissaire Neelie Kroes. «Et au final, qui paie la note ? C'est vous, moi, le consommateur et les petites entreprises...» De quoi satisfaire les associations de consommateurs. «Il y a un déficit de concurrence dont les consommateurs font les frais, en particulier en France, où nous avons les cartes bancaires les plus chères d'Europe, en dehors des Pays-Bas», souligne Serge Maître, de l'Association française des usagers des banques (Afub).
L'exécutif européen cite ainsi l'exemple des tarifs d'acquisition d'une Visa qui peuvent varier de 1 à 100 d'un pays européen à l'autre.
«Des centaines d'euros d'économies»
De même, les commissions que facturent les banques auprès des commerçants s'échelonnent de 1 à... 650 pour la Mastercard, avec des différences sensibles selon les clients : les fleuristes et les restaurants paient deux fois plus cher que les stations essence ou les entreprises de gros. En règle générale, les petits commerçants sont davantage ponctionnés que les gros (60% à 70%), sans que leurs volumes de transaction ne «justifient ces écarts». De même, au moment de sortir sa carte à puce, le consommateur devient victime du maquis des transactions interbancaires, aussi divers que l'Union à vingt-cinq : entre Londres et Varsovie, l'écart de coût peut varier de un à huit.
Ces pratiques contribuent à gonfler le prix affiché sur l'étiquette, le surcoût pouvant atteindre 2,5% du montant du panier de la ménagère. Le Portugal est particulièrement montré du doigt. Aucun commentaire particulier n'est adressé à la France. Avec plus de concurrence, «les ménages pourraient réaliser des centaines d'euros d'économies», a affirmé hier Neelie Kroes, qui donne dix semaines aux banques pour changer de «comportement». Faute de quoi, la Commission pourrait imposer aux réseaux de cartes bancaires des normes communes d'échanges, ou lancer des procédures d'infraction à l'égard des Etats membres.
En France, le groupement des cartes bancaires, qui réunit les neuf plus grands établissements financiers de l'Hexagone, est soupçonné de fonctionner en cartel, freinant l'entrée des banques étrangères et des groupes de distribution sur le marché de l'émission des cartes.
Neelie Kroes n'a pas hésité, hier, à user d'accents populistes pour dénoncer ces entraves à la concurrence, stigmatisant les «bénéfices scandaleux» ainsi réalisés par les banques. De son côté, la Fédération bancaire européenne refusait de commenter les critiques du rapport, affirmant souscrire à un processus d'«harmonisation» des tarifs, susceptible d'aboutir dans
«deux ou trois ans».
Pierre Avril
Le Pro de l'achat malin sur le net



DSG International met la main sur Fotovista (Pixmania)

Le britannique DSG International vient d'annoncer l'achat pour 266 millions d'euros de 75 % du groupe français Fotovista propriétaire de Pixmania.
Le britannique DSG International, nouveau nom de Dixons Group, acteur majeur de la distribution de produits électroniques en Europe, a annoncé, hier, mercredi 12 avril, l'acquisition de 75 % du capital du groupe français Fotovista, propriétaire du site de e-commerce Pixmania spécialisé dans les produits high tech. Le montant de l'opération s'élève à 266 millions d'euros. 155 millions sont destinés au principal actionnaire de Fotovista, le fond d'investissement LMBO Finance et 36 millions d'euros reviennent aux fondateurs du groupe français, la famille Rosenblum. Les 75 millions restants seront payables en souscription de nouvelles actions émises afin de solder la dette et de financer de futures opérations de croissance. L'opération qui devrait être validée fin juin par les autorités de la concurrence européenne, permettra à DSG International de bénéficier des compétences de Pixmania pour renforcer son offre e-commerce, tandis qu'en retour, Fotovista améliorera son potentiel concurrentiel, grâce à la puissance commerciale du géant anglais. Actuellement, DSG International opère dans 14 pays par le biais d'un réseau de 1.400 magasins, dont l'enseigne PC City en France, et sites de e-commerce. Il emploie 40.000 personnes et a réalisé un chiffre d'affaire de plus de 10 milliards d'euros en 2005.
De son côté, Fotovista a réalisé un chiffre d'affaires de 354,1 millions d'euros en 2005 et table sur 450 millions pour 2006 pour un total de 1.400 collaborateurs. Le groupe compte parmi ses actifs 250 points de vente photo franchisés Foci et Pixmania.com, site paneuropéen opérant dans 25 pays et spécialisé dans l'électronique grand public, mais également le développement de photos en ligne via le service MyPixmania."Fotovista, avec son enseigne Pixmania.com, est aujourd'hui l'acteur e-commerce le plus attractif en Europe sur le secteur de l'électronique grand public", explique John Clare, président directeur général de DSG International. Ce rachat permettra non seulement au groupe anglais de diversifier son portefeuille de marques mais aussi d'atteindre son objectif : devenir le leader européen sur chacun des marchés sur lesquels il opère, y compris celui du développement photo sur Internet. Pour y parvenir, le géant anglais mise sur l'apport technologique et managérial de Pixmania dont les compétences en matière de e-commerce profiteront à l'ensemble des enseignes du groupe. En retour Fotovista bénéficiera des coûts négociés par les centrales d'achats de DSG International ainsi que de son support commercial et logistique afin d'accroître son offre de produits électroniques.

Le groupe anglais précise qu'aucune réduction de personnel ne devrait avoir lieu dans la mesure ou ce rachat intervient dans un contexte de forte croissance du marché de l'électronique grand public. Mercredi 12 avril, le cours de l'action DSG International a clôturé en baisse de 2,40 % à la bourse de Londres sur un marché orienté à la baisse à -0,22 %. Le titre a ouvert à 185,75 livres, pour terminer à 182,00 livres.
Guillaume DEVAUX, JDN
Le Pro de l'achat malin sur le net

ADVERT STREAM lance une plate-forme publicitaire globale de nouvelle génération

Avec son Centre De Solutions de Publicité appelé « AD-ACCESS », ADVERT STREAM devient la 1ère régie publicitaire internet à centraliser les principales solutions de communication publicitaire sur une seule et unique plate-forme technologique. Solutions de communication pour les AnnonceursAvec un unique compte sur la plate-forme AD-ACCESS, un annonceur peut communiquer efficacement sur le réseau ADVERT STREAM, selon ses objectifs et stratégies, avec 3 solutions de publicité : - AD-MEDIA : Solution de visibilité, d’image et de notoriété par la diffusion de campagnes Medias (campagnes vidéos, …) sur des audiences qualifiées par des sites web leader dans leur domaine- AD-AFFILIATE : Solution de performance marketing par la gestion de programmes d’affiliation- AD-NETWORK : Solution de puissance et performance par la diffusion de campagnes publicitaires sur des milliers de sites internet avec des options de ciblage avancés : Thématique, Catégorie de site, Langue, Pays, … (Bientôt par mot clé). Chaque affichage ou chaque clic est acheté au meilleur prix avec le principe des enchères (à partir de 0.01 € / CPM ou 0.01 € / CLIC) : l’annonceur fixe son prix d’achat maximal souhaité. « Avec cette palette de solutions, nous répondons à la majorité des besoins des annonceurs sur internet et quelque soit leur budget : notre solution AD-NETWORK nécessite seulement un budget de 100 € pour démarrer une campagne de publicité en quelques minutes sur notre réseau ! » affirme Sylvain MOREL, Président-fondateur de la société ADVERT STREAM.Depuis 6 ans, la régie a obtenu la confiance d’ annonceurs comme Sony, Microsoft, AOL, Dell Apple, Neuf Telecom, Club Internet, Warner Bros, Columbia, Disney, Electronic Arts, Yoplait, Gini, Société générale…Solutions de monétisation d’audience pour les EditeursADVERT STREAM permet aux éditeurs de générer des revenus publicitaires avec leur site internet en affichant des publicités. A partir de son compte, un éditeur peut monétiser son trafic internet avec simultanément 3 solutions de monétisation d’audience : les Campagnes Media, les Campagnes Reseau et les programmes d’affiliation. Environ 3 000 sites internet en France ont déjà rejoint le réseau ADVERT STREAM pour monétiser leur audience, réseau ayant une croissance exponentielle depuis le début de l’année 2006. « De nombreux sites nous rejoignent chaque jour ! Les raisons ? Nous apportons des revenus publicitaires supérieurs aux autres régies publicitaires grâce à un panel complet de solutions de monétisation d’audience allié à une technologie optimisant les espaces publicitaires de nos sites. De plus, le paiement est mensuel alors que de nombreux concurrents paient à plus de 6 mois ! » explique Sylvain MOREL.Une technologie innovante et propriétaire alliant le trio « intelligence, puissance et performance »La technologie AD-ACCESS, développée en interne depuis 2001, est composée d'un ensemble d'outils permettant de gérer des campagnes publicitaires sur des milliers de sites, de gérer des programmes d'affiliations, d'afficher plusieurs dizaines de millions de bannières par jour, de tracker les performances des programmes d’affiliation (ventes, formulaire...), de cibler des thématiques précises, de suivre et optimiser en temps-réel des campagnes, de gérer la facturation…AD-ACCESS dispose d’une technologie « intelligente » d’optimisation des espaces publicitaires d’un site internet en affichant en priorité les campagnes les plus rentables. Ce système garantit de générer les meilleurs revenus publicitaires pour un site. En terme de chiffres, AD-ACCESS délivre près d’1 Milliard de bannières par mois avec des options avancées de ciblage (par mot clé, par thématique, par pays, par langue, par jour & heure, …).A propos d’ADVERT STREAMFondée en 2001 par Sylvain MOREL et Bertrand GROS, la régie publicitaire ADVERT STREAM a démarré en proposant des solutions innovantes de publicité vidéo sur internet. Elle s’est rapidement positionnée leader de la publicité vidéo sur internet grâce à sa technologie propriétaire.Fort de son succès, ADVERT STREAM a progressivement développé une gamme globale de solutions de publicité sur internet pour devenir un acteur majeur complet de la publicité internet en France. Le développement européen est prévu pour fin 2006.
Pour de plus amples informations sur ADVERT STREAM, visitez le site :
Contact : Sylvain MOREL / Président (presse@advertstream.com)

2006-04-13

E-commerce: les enseignes traditionnelles profitent à plein de leur notoriété sur le Net

L'édition 2005 de l' étude Directpanel sur les acheteurs en ligne montre que les sites des enseignes traditionnelles disposent d'une plus grande notoriété que les commerçants nés sur le Net. Mais ces "pure players" les devancent largement en terme de satisfaction client.

Quel est le site web marchand le plus connu des adeptes de l'e-commerce? Fnac.com, selon la quatrième édition du baromètre «Acheteurs e-commerce 2005» réalisée par Directpanel (*). 96% des personnes sondées ont affirmé connaître ce site parmi une liste de noms qui leur était proposée.
Fnac.com se classe en tête, en particulier pour les secteurs des produits culturels, de l'électronique, de la billetterie et du téléchargement payant.
Pour la première fois, fournisseurs d'accès (FAI) et opérateurs ont été intégrés à ce baromètre: il y font une entrée fracassante. Les sites des FAI bénéficient d'une forte notoriété. Wanadoo.fr occupe la seconde place du classement général (94,9%), juste devant Free.fr (93,6%). Club-internet.fr (89,4%) arrive en sixième position, et AOL.fr (87%) en dixième. On peut aussi ajouter la cinquième position du portail Orange.fr (89,5%).
Autre enseignement: les enseignes physiques ou les "VPCistes" historiques, qui disposent de marques connues du grand public, profitent à plein de cette notoriété sur l'internet, au détriment des pure players. Quatre grands noms, Fnac.com, Laredoute.fr (4e), Interflora.fr (7e) et 3suisses.fr (8e), figurent parmi les dix premiers du classement général, contre un seul commerçant né de l'internet, Amazon.fr (9e).
Une tendance qui s'observe sur tous les marchés. C'est le cas pour l'électroménager (darty.fr), la décoration (Ikea.fr), les cosmétiques (yvesrocher.fr) ou encore les voyages (voyages-sncf.com).
Amazon en tête du classement pour la satisfaction
Le secteur des cybermarchés constitue l'exemple le plus édifiant: Auchandirect.fr arrive en tête alors que ses principaux concurrents ooshop.fr, houra.fr sont également gérés par des grands groupes de distribution (respectivement Carrefour et Cora), mais sans visibilité pour le grand public.
En termes de fréquentation et d'utilisation, ce sont encore les sites culturels qui remportent la mise: presque 6 internautes sur 10 y ont effectué au moins un achat en 2005. Par ailleurs, la moitié des personnes interrogées ont été clientes d'un site de voyage en ligne, tandis que les secteurs de l'habillement et des produits électroniques dépassent les 40% de pénétration.
Au chapitre de «la satisfaction du client», les pure players tiennent leur revanche. Amazon.fr domine ce classement, avec une note de 16,2 sur 20. Dans les dix premiers, on retrouve en plus LDLC.fr (électronique), vente-privée.com (habillage), rueducommerce.fr (électronique), photoweb.fr (développement de photos) et alapage.com (produits culturels). Ce qui témoigne d'un effort réel de ces acteurs pour combler leur déficit de notoriété et gagner en légitimité aux yeux des clients. Seul le site d'alimentation Picard.fr se glisse à la seconde position du palmarès.
(*) L'étude de Directpanel a été réalisée courant janvier 2006, à partir d'un questionnaire adressé à plus de 13.000 acheteurs en ligne.
ZDNet.fr
Le Pro de l'achat malin sur le net

Chef de projet Internet - E-Commerce


Nous recherchons pour notre site de Survilliers, à 10 mn de Roissy CDG, un : CHEF DE PROJET INTERNET H/FPoste en CDIAu sein de notre Direction Catalogue, sous la responsabilité du Responsable Internet,Vous préconisez et mettez en œuvre des améliorations portant sur les fonctionnalités et l'ergonomie du site Web Marchand de JPG.
Vous rédigez le cahier des charges pour les developpements informatiques et graphiques. Coordinateur des intervenants internes et externes, vous mettez en place le planning de developpement et assurez le suivi du cahier des charges tout au long du processus de production. Vous imaginez et mettez en place des tests utilisateurs. Vous êtes à l'écoute des remontées clients et êtes garant du bon fonctionnement général de la plate-forme.Vous assurez la veille permanente des nouveaux modes de distribution online et formalisez des preconisations d'évolution. Vous avez une expérience de 2 - 3 ans dans la mise en place ou l'optimisation de solutions web marchand, idéalement, dans un environnement fonctionnel similaire (site de e-commerce à grand trafic). De bonnes capacités rédactionnelles et la maîtrise des outils bureautique (Word, Excel) et du HTML sont indispensables. Vous avez une bonne connaissance de la PAO et de Microsoft Project. Une pratique courante de l'anglais est appréciable. Votre autonomie dans l'organisation de votre travail et votre esprit d'initiatives et d'équipe seront des atouts pour réussir à ce poste.
Merci d'envoyer lettre et CV, sous réf. 2648, à :
JPG – DRH – 63, Grande Rue - BP 24 – Survilliers – 95478 Fosses Cedex ou de postuler en ligne sur notre site (rubrique : Réponse à une annonce presse) :
www.jpg.fr/fra/recrute reference

Portaneo : nouveau portail personnalisable façon « Web 2.0 »



Ce portail personnalisable et gratuit permet aux internautes de regrouper sur une seule page leurs informations et outils favoris, choisis parmi plus de 120 modules partenaires (400 annoncés d’ici juin).
Le portail Internet façon « Web 2.0 », selon
Portaneo : « Permettre à tous les internautes, gratuitement, de regrouper sur une seule page tout ce qui compose leur Internet : leur information, leurs outils, leurs produits. Ceci grâce à l’utilisation des technologies du Web 2.0, à des ambiances variées et à l’absence de publicité. »

Concrètement, le portail Portaneo propose un lecteur de RSS, des outils (messagerie, agenda) et des modules personnalisés que les éditeurs de site mettent à disposition des internautes (Google, Le Monde.fr, Keljob, Kelkoo, Fnac.com, Ebay, Yahoo Messenger, Glowria, Go Voyages, Location Vacances Express, etc.).
« Le portail 1.0 a été un guide des services de l’Internet. Maintenant l’internaute connaît les services dont il a besoin, et Portaneo lui fait gagner du temps dans l’utilisation de ceux-ci », indique Eric Mathieu, co-fondateur de
Portaneo. Avec plus de 120 modules dans des domaines très variés, du « grand public » aux spécialisés (partitions de guitare) en passant par les informations locales (radios), Portaneo annonce pouvoir en proposer 400 d’ici juin, et vouloir compter, à terme, sur tous les services de qualité de l’Internet.
73% des internautes qui utilisent un portail attendent qu’il soit davantage personnalisé (étude SG Conseil 2004), ce qui a amené
Portaneo à proposer un portail adapté aussi bien à ceux qui sont à l’aise avec le RSS, les podcasts et les blogs, qu’à ceux qui ne vont sur Internet que pour faire quelques achats et consulter des sites d’information. « Nous avons beaucoup écouté les internautes pendant la conception de cette version bêta, et cela continuera puisqu’ils peuvent critiquer l’outil, noter et proposer des services », assure Eric Mathieu.

Portaneo a vu le jour au sein de l’incubateur de la chambre de commerce et d’industrie de Paris. « Nos principaux objectifs sont maintenant d’apporter encore plus de fonctionnalités et d’ergonomie à notre portail, de développer de nouveaux partenariats avec les plates-formes d’affiliation qui nous permettront de rentabiliser notre activité, et de conseiller dans la réalisation de modules tous les éditeurs qui souhaitent participer à cette belle aventure et prendre pied, dès maintenant, simplement et sans risque, dans cette deuxième génération du net », conclut Eric Mathieu.

Pour en savoir plus : http://www.portaneo.com (portail) et http://www.portaneo.net (site institutionnel et blog).
Source : Web Actus Net : http://www.webactusnet.com

2006-04-12

Publicis Groupe Media conquiert Pôle Nord


L’agence de performance marketing rejoint Starcom Digital et Zed Digital dans le pôle interactif de PGM France, qui vise 10 millions d'euros de marge brute en 2006.

Publicis Groupe Media (PGM) France, qui réunit les activités médias de Publicis Groupe en France, soit les deux agences média ZenithOptimedia et Starcom, a annoncé le 6 avril le rachat à 100 % de l'agence française de performance marketing Pôle Nord, spécialisée dans les médias digitaux. L'agence rejoint le pôle interactif de PGM France, formé par Zed Digital et Starcom Digital. C'est Raphaël Zier, fondateur et président de Pôle Nord, qui en prend les rênes. Le groupe acquiert de cette façon une compétence dorénavant cruciale, qu'il n'avait pas encore intégrée à la différence de plusieurs concurrents : le search engine marketing. "L'objectif global est de devenir leader sur l'ensemble des leviers médias digitaux, en rapprochant l'affichage du performance marketing", déclare Frédéric Joseph, président Europe de Zed Digital, qui ne dévoilera pas le montant de l'opération. De fait, Pôle Nord se positionne sur les leviers de marketing en ligne destinés à la conquête, la transformation et la fidélisation : liens sponsorisés, référencement, affiliation, e-mailing, tracking… L'agence vient ainsi appuyer le positionnement global de ZenithOptimedia, exprimé par sa signature, "The ROI Agency". Elle apporte des clients comme Musicandfilm, France Loisirs et Cellsfish (ex-Plurimedia, filiale de Lagardère). PGM et Pôle Nord, qui travaillaient déjà en partenariat depuis près d'un an, n'avaient à l'origine qu'un client en commun : Estée Lauder.
Dans le nouvel ensemble PGM Digital France, 60 personnes en tout, les trois entités - et les trois marques - continueront d'exister séparément. La marque Pôle Nord sera en revanche amenée à changer de nom à l'étranger, dans l'optique de l'extension de ses activités à l'international. "Notre stratégie est de construire des marques fortes, intégrées dans une approche globale, et d'étendre progressivement leurs offres à l'ensemble des implantations du groupe au niveau européen", commente Frédéric Joseph. La future marque internationale sera vraisemblablement une déclinaison de Zenith et de Starcom, comme c'est déjà le cas avec Zed Digital et Starcom Digital.

Dossier Liens promotionnels Dans l'organigramme, Raphaël Zier reportera pour la France à Sébastien Danet, DG de PMG France, et pour l'Europe à Frédéric Joseph. Au sein de l'agence Pôle Nord, c'est Yann Gabay, l'ancien directeur adjoint, qui prend la direction générale. Les effectifs seront par ailleurs répartis, bientôt physiquement, entre les équipes travaillant avec Zed Digital, et les autres avec Starcom Digital.PGM Digital a pour objectif de générer 10 millions d'euros de marge brute en 2006. Si le groupe ne s'exprime pas précisément sur ses projets de croissance et de développement, il serait logique qu'il poursuive sa réorganisation en étoffant PGM Digital d'autres activités interactives.
Liens promotionnels : à l'assaut du marché publicitaire. Ils représentent aujourd'hui le tiers du marché publicitaire online, et leur potentiel de développement reste élevé. Véritable phénomène publicitaire initié par Google, le modèle des liens sponsorisés séduit petits et gros annonceurs et a fait naître une nouvelle spécialité : le search marketing

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Visa devient un partenaire FIFA exclusif

SAN FRANCISCO et LONDRES, /PRNewswire/
- Un nouveau partenariat mondial lie la marque de paiement leader mondial et le sport leader mondial jusqu'en 2014
Visa International et la FIFA (Fédération Internationale de Football Association) vient d'annoncer aujourd'hui un important accord au terme duquel Visa devient un partenaire FIFA avec des droits mondiaux sur une grande gamme d'activités de la FIFA y compris la Coupe du Monde de la FIFA et la Coupe du Monde féminine de la FIFA. Ce nouveau partenariat, présentant un accès sans équivalent à tous les événements de la FIFA du monde entier, lie la marque de paiement leader mondial, Visa, et le sport leader mondial, le football, au sein d'une nouvelle et unique relation qui bénéficiera aux fans du monde entier.
Le contrat qui liera Visa commencera en janvier 2007 et courra jusqu'en 2014 dans la catégorie de produits des services financiers. En tant qu'un des six partenaires de la FIFA, Visa profitera d'un degré plus élevé d'association avec la FIFA que les sponsors des catégories précédentes et profitera de droits à une grande gamme d'activités de la FIFA y compris des ressources marketing exclusives, des compétitions, des événements spéciaux et des programmes de développement. Visa et la FIFA collaboreront au niveau mondial afin de créer des programmes de paiement Visa exclusifs ayant trait à ces activités de la FIFA.
<<>> explique le PDG de Visa International, Christopher Rodrigues. <<>>
En tant que leader mondial des services de paiement, et grâce à son acceptation dans 24 millions d'établissements, Visa est particulièrement qualifiée pour faire bénéficier des millions de détenteurs de la carte et de fans du monde entier de ce partenariat. Ce partenariat se base sur des programmes marketing très réussis avec des événements mondiaux tels que les Jeux olympiques/Jeux paralympiques, la Coupe du monde Disney et la Coupe du Monde de rugby. En tant qu'événement de football le plus important du monde, la FIFA et la Coupe du Monde de la FIFA ainsi que la Coupe du Monde féminine de la FIFA restent un trophée très recherché.
Sur cette période de huit ans, Visa promouvra plusieurs événements et compétitions de la FIFA notamment la Coupe des Confédérations de la FIFA, le Championnat du Monde des Clubs de la FIFA, la Coupe du Monde U-20 de la FIFA, la Coupe du Monde interactive de la FIFA, la Coupe du Monde de Football de Plage de la FIFA, le Championnat du Monde de Football Féminin U-20 de la FIFA et le Championnat du Monde de Futsal de la FIFA. Visa collaborera aussi avec la FIFA pour explorer la possibilité de développement et de promotion du football pour les malvoyants en s'inspirant de la participation de longue date de Visa aux sports paralympiques.
La stratégie de partenariat commercial de la FIFA vise à promouvoir le développement de ce sport dans le monde entier et dans toutes les catégories socioprofessionnelles. Les partenaires FIFA bénéficient du plus haut degré d'association à la FIFA, éclipsant de loin le sponsoring d'événement de base et ce partenariat comprend des droits à tous les événements de la FIFA, à des ressources marketing exclusives et à une affiliation avec les événements spéciaux et les initiatives de développement de l'organe directeur. Visa devient une des six entreprises mondiales faisant partie du niveau maximal de partenariat de la FIFA.

Top Achat et Clust rejoignent l'activité e-commerce de France Télécom




Business - Les deux enseignes viennent compléter l’offre grand public de l'activité commerce électronique de l’opérateur historique.
France Télécom a mis la main sur Top Achat et Clust, deux sites spécialisés dans la vente de produits high-tech: La transaction a eu lieu en début de semaine pour un montant non précisé, selon Les Echos. Top Achat et Clust, des sites nés de la nouvelle économie, ont
fusionné en 2003


«Nous allons intégrer leurs références produits dans le catalogue d'Alapage, et une partie de nos sections loisirs culturels et numériques sera disponible sur Clust et Top Achat», explique Christophe Lasserre, P-DG d'Alapage.com, le pôle commerce électronique de France Télécom, à ZDNet.fr.
«Cette acquisition va nous permettre d'accroître et d'accélérer notre croissance dans le domaine de la vente en ligne de produits technologiques. Top Achat et Clust ciblent une clientèle d'utilisateurs plus avertis, très complémentaire avec celle d'Alapage.com, un site grand public orienté sur les loisirs» ajoute-t-il.
Depuis plusieurs mois, Alapage étend ses gammes de produits en signant des partenariats: avec OD2 pour son espace de téléchargement de musique, Weekendesk pour les séjours courtes durées, ou encore Ticketnet pour la billetterie.
«Notre ambition est d'affirmer notre position sur le domaine des loisirs et de développer notre enseigne dans ce sens, en restant dans le top 10 du secteur du commerce électronique en France» note le patron d'Alapage. Pas question de se diversifier dans d'autres secteurs
Une stratégie censée permettre à France Télécom de renforcer son canal e-commerce, au moment il est fortement attaqué sur son coeur de métier, les communications fixes. L'opérateur refuse toutefois de diffuser le montant exact du chiffre d'affaires de sa filiale Alapage



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PA : l'agrégateur Reperto.com devient éditeur

On pourrait comparer les activités de Reperto.com dans le monde des petites annonces (PA) à celles de Keljob.com dans le secteur du recrutement en ligne. C'est un moteur de recherche dédié qui s'enrichit par l'agrégation d'offres en provenance d'autres éditeurs.


Depuis sa création en juin 2001, la start-up Iziad qui exploite Reperto.com indique avoir signé une cinquantaine de partenariats avec des éditeurs de PA ou d'offres marchandes. Des acteurs comme La Centrale (édité par Trader.com), Minitelorama (derrière lequel on trouve les services télématiques/Internet A Vendre, A Louer) ou PriceMinister.com ont accepté d'entrer dans la base de données de Reperto.com. D'autres sociétés se montrent plus réticentes comme SeLoger.com (groupe Poliris) ou ImmoStreet.com, spécialisés dans les PA immobilières.
En tout, le moteur de recherche recense 300.000 PA. Un tiers d'entre elles concernent le secteur immobilier. Mais, de l'aveu même de ses fondateurs, le service a une faiblesse fondamentale : son modèle économique. "Depuis six mois, nous nous sommes concentrés sur la signature d'accords de visibilité avec nos partenaires pour qu'une partie ou la totalité de leur base de données soit intégrée sur le moteur de recherche", indique Nicolas Desruelles, l'un des quatre co-fondateurs du service. Une activité qui ne génère pas de chiffre d'affaires. "Maintenant, nous passons à une deuxième étape : nous devenons également éditeur de PA", explique le représentant d'Iziad. Un module de dépôt de PA en ligne a été installé il y a une semaine. Le formulaire à remplir est composé de quatre étapes. Au bout, les internautes trouvent un système de paiement sécurisé de la banque CIC. Pour les offres "rencontres", la solution de micro-paiement PayByTel (groupe Cre@net) a été adopté.

Avec cette nouvelle approche, Reperto.com doit développer sa notoriété. Pas très évident lorsque que l'on dispose de peu de marges de manoeuvre financières. Pour l'instant, Reperto.com s'est inscrit dans des systèmes d'affiliation (24pm, CibleClick et FirstCoffee). La société vit actuellement en auto-financement mais ses responsables ne cachent pas leur volonté de trouver des investisseurs qui permettraient d'accélerer le développement du service. Iziad, à l'origine une société de développement informatique spécialisée dans les agents intelligents, s'est rapproché de Madnetix, qui propose des modules de jeux pour des portails et exploite le site grand public MadWin.com
Les responsables de Reperto.com ne souhaitent pas communiquer sur l'audience du site ou sur leurs résultats.[Philippe Guerrier, JDNet]
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2006-04-11

Plantes et Jardins fait grimper son panier moyen


Une refonte du site va accompagner la stratégie de diversification et de personnalisation du pépiniériste en ligne.

Plantes et Jardins Pariant sur la diversification et les actions marketing, Plantes et Jardins a réalisé en juin 2005 une levée de fonds de 1 million d'euros destinée à financer l'élargissement de sa gamme. Aujourd'hui, des produits manufacturés, tels que le mobilier de jardin, de serre ou les outils de jardinage enrichissent l’offre originelle de plantes et de végétaux du marchand. Le tout représente aujourd'hui 11.000 références. Objectif : augmenter le montant du panier moyen et conforter les marges de l'entreprise.Pour accompagner cette diversification, l’entreprise a renforcé son pôle marketing et sa structure logistique : deux collaborateurs aux études marketing ont été embauchés et la société s'est dotée d'un nouvel entrepôt en région parisienne pour gérer le flux de commandes concernant les produits manufacturés.

Enfin, afin de se différencier de la concurrence, c'est-à-dire essentiellement des acteurs traditionnels de la VPC, et d'augmenter son taux de transformation, Plantes et Jardins a renforcé ses services de conseil. Pour aider les internautes à concrétiser leur achat, la société s'appuie actuellement sur une base de données rassemblant les profils des 200.000 abonnés actifs à la newsletter, sur le contenu rédactionnel du magazine en ligne animé par Michel Lis, ainsi que sur des espaces personnalisés correspondant aux caractéristiques des internautes. Résultat : "Le panier moyen est deux fois plus important que celui des jardineries traditionnelles", indique Gilles Hamou, président de Plantes et Jardins, sans toutefois préciser son montant.Cette nouvelle étape dans le développement de Plantes et Jardins n'induit toutefois pas de réelle rupture dans l'activité du e-commerçant. Fondé sur un business-model original, qui implique les producteurs de végétaux dans la distribution directe aux clients, Plantes et Jardins a, dès le début, misé sur la diversité du choix et le conseil aux clients. Actuellement, Plantes et Jardins revendique une croissance annuelle de l'ordre de 30 à 50 % et a drainé, grâce à sa politique de référencement naturel et à un programme d'affiliation, entre 200.000 et 400.000 visiteurs uniques en 2005 (source Nielsen).
Dans les mois à venir, ce premier chantier devrait être complété par une refonte complète du site qui devrait être finalisée à la fin du mois de mai 2006. Objectif : capitaliser sur l'élargissement de l'offre. La personnalisation et le développement du cross-selling, couplés avec de nouveaux contenus sur le site, permettront de présenter des produits correspondant au profil de l'internaute et à ses besoins en terme de jardinage (balcon, pleine terre, etc..). Une stratégie qui, l'espère Plantes et Jardins, devrait lui permettre d'augmenter de 20 à 40 % son nombre de clients.
JDN,
Le Pro de l'achat malin sur le net

Enquête Public-Idées : Comment les entreprises consomment-elles l'e-pub ?


Public-Idées, plateforme d’affiliation novatrice, a interrogé ses clients sur l’e-publicité. Leur retour de terrain montre une consommation mûrie et diversifiée de la publicité sur Internet.
Entre le 07 et le 15 février 2006, Public-Idées a mené l’enquête auprès de ses clients pour mieux cerner leur approche de l’e-publicité. Façons de 'consommer’ l’e-pub, attentes et perspectives pour 2006, les questions ont permis de récolter l’avis de 114 répondants, dont des ‘pure players’ (entreprises avec une activité à 100% Internet), des ‘clic and mortar’ (entreprises qui vendent en ligne et hors ligne), et des agences média.Grande tendance : l’e-publicité se joue sur plusieurs cordes.
La publicité en ligne a la cote : 87% des répondants entendent augmenter ou maintenir leurs investissements publicitaires en ligne en 2006 5 respectivement 55% et 32%). Parmi les techniques d’e-publicité plébiscitées, on retrouve l’affiliation, les liens sponsorisés et l’emailing.
Ces trois méthodes d’e-pub sont chacune dores et déjà utilisées par plus de 94% des répondants pour générer du chiffre d’affaires supplémentaire. Ces entreprises‘initiées’ à l’e-publicité misent donc sur une diversification des méthodes pour optimiser leur présence sur le Web. Il est à noter que les comparateurs de prix sont souvent cités comme autre méthode appréciée pour se faire connaître et vendre sur Internet. L’achat d’espace classique en ligne est quand à lui utilisé par 66% des répondants mais apparaît en nette perte de vitesse par rapport aux autres méthodes e-pub.
Un impact certain du Online sur le Offline, et vice versa. Les entreprises ‘clic and mortar’ confirment à 52% que l’e-publicité a un impact positif sur leur activité Offline. Plus particulièrement, les campagnes e-pub leur ont permis de voir augmenter les appels et les visites sur leurs lieux de vente. Ces mêmes répondants affirment à la quasi-unanimité vouloir augmenter les synergies entre l’e-pub et leur activité traditionnelle, confirmant ainsi le potentiel perçu.
A l’inverse, il est intéressant de noter que 34% des entreprises qui vendent exclusivement sur Internet font de la publicité dans les médias traditionnels pour augmenter leur chiffre d’affaires. Sur l’ensemble des pure players, 66% vont d’ailleurs augmenter ou maintenir les investissements publicitaires dans les média traditionnels.Les synergies on / off représentent donc un potentiel à exploiter, et une tendance intéressante à suivre. Une culture publicitaire différente selon la nature de l’activitéLes perspectives d’investissements publicitaires révèlent des us et coutumes publicitaires différents selon les entreprises. Ainsi, côté e-publicité, si 83% des ‘pure players’ entendent augmenter leurs investissements en 2006, les entreprises traditionnelles vont ‘seulement’ les maintenir par rapport à 2005 (près de 91% des réponses). Les entreprises traditionnelles semblent donc avancer plus prudemment dans l’e-publicité.A l’inverse, concernant les investissements publicitaires dans les médias traditionnels, ceux-ci vont être maintenus ou augmentés par plus de 95% des ‘clic and mortar’, contre 66% des ‘pure players’. Les entreprises traditionnelles misent donc plus sur les médias traditionnels, qui semblent rester pour elles la valeur sûre.D’autres réponses confirment que les ‘pure players’ ont une culture e-publicité plus mûre que les entreprises dont un pan d’activité se joue hors ligne.
Du côté des fonctions des répondants, il est intéressant de voir chez les ‘pure players’ une majorité de responsables affiliation – poste dédié donc à l’e-publicité. Ce profil n’apparaît pas dans les entreprises plus traditionnelles qui s’expriment en majorité via leur responsable marketing. Le poste 'epublicité’ semble donc avoir été inauguré surtout dans les entreprises exclusivement positionnées sur Internet.
Les stratégies publicitaires restent donc fidèles à la nature de l’activité de l’entreprise, même si les synergies ‘on’ et ‘off’ s’accentuent comme vu précédemment.Zoom sur l’affiliation : beaucoup de potentielPour rappel, l’affiliation constitue une méthode de publicité sur Internet basée sur la performance. Les annonceurs rémunèrent les sites affichant leurs offres en fonction de leur rendement, ce via un tiers de confiance comme Public-Idées. L’enquête fait apparaître les forces de cette méthode d’e-pub, et les attentes de ses ‘consommateurs’ : D’une part, l’affiliation est avant tout utilisée pour générer du chiffre d’affaires additionnel comme le confirment plus de 95% des répondants. D’autre part, elle permet de toucher de nouveaux clients avec plus de 32% des ventes réalisées via l’affiliation qui concernent de nouveaux acheteurs.
Les participants se sont aussi exprimés sur ce qui peut augmenter le taux de clic et de transformation des campagnes d’affiliation. Les réponses insistent sur l’importance de la qualification des sites affiliés, et de leur ‘gestion’ (sélection, suivi, relance, fidélisation).Egalement citée, la variété des formats d’affichage doit continuer de s’enrichir (flux XML, mini boutiques, vidéo, son, interstitiel) pour renforcer l’impact des campagnes. Toutes ces réponses indiquent que l’affiliation détient un potentiel important pour monter en puissance et devenir une méthode d’e-publicité incontournable dans un plan média. Plusieurs annonceurs soulignent d’ailleurs l’importance d’ancrer dans le temps une telle méthode afin de mieux la faire fructifier, preuve qu’ils l’envisagent comme une stratégie à long terme. A propos de Public-IdéesL’affiliation constitue une méthode de publicité sur Internet basée sur la performance. Les annonceurs rémunèrent les sites affichant leurs offres en fonction de leur rendement, ce via un tiers de confiance comme Public-Idées. En résulte un ROI des campagnes supérieur de plus de 10% à celui d’une campagne classique au CPM.Public-Idées offre des prestations innovantes couvrant toute la chaîne de valeur de l’affiliation publicitaire : conseil stratégique et aide à la décision, animation de réseau et mesure de résultats. Cette offre est résolument orientée conseil et haut de gamme. C’est pourquoi les programmes conçus et animés par Public-Idées s’adressent exclusivement aux sites éditeurs et annonceurs les plus performants. L’entreprise compte comme clients réguliers des entreprises telles que Opodo, Canal +, Marionnaud, Wanadoo, HotelClub, MeilleurMobile.
Sources de l'information : Isabelle Gregorat, Attachée de presse,
Le Pro de l'achat malin sur le net

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