Le commerce en ligne en France devrait encore progresser de 36% en 2006, pour atteindre 9,5 Mds€ de chiffre d'affaires, a estimé jeudi la société d'études Benchmark Group. Les ventes de l'e-commerce (hors services financiers) ont déjà atteint 7 Mds€ en 2005, en hausse de 44% sur un an, révèle l'étude annuelle de Benchmark Group, une évaluation similaire à celle de l'Association pour le commerce et les services en ligne (Acsel). En 2004, les achats de produits et services en ligne avaient atteint 4,8 Mds€.
En 2005, l'e-commerce s'est "rapidement développé sur des catégories de produits jusque-là en retrait, comme les cosmétiques et l'équipement de la maison" avec aussi l'arrivée de nouveaux concepts de distribution, comme les ventes privées sur Internet. Pour 2006, la progression devrait ralentir un peu du fait "d'un effet de saturation", et d'une "maturité atteinte sur certains secteurs, comme le high-tech", mais "les réserves restent considérables", explique Stéphane Loire, directeur des études. Pour son étude annuelle sur l'e-commerce, Benchmark Group a interrogé 55 grands acteurs du secteur (Fnac, Alapage, Vente-privee, Rue du Commerce, La Redoute, Houra, AuchanDirect, Ooshop...) et plus de 3.300 internautes.
En 2005, l'e-commerce s'est "rapidement développé sur des catégories de produits jusque-là en retrait, comme les cosmétiques et l'équipement de la maison" avec aussi l'arrivée de nouveaux concepts de distribution, comme les ventes privées sur Internet. Pour 2006, la progression devrait ralentir un peu du fait "d'un effet de saturation", et d'une "maturité atteinte sur certains secteurs, comme le high-tech", mais "les réserves restent considérables", explique Stéphane Loire, directeur des études. Pour son étude annuelle sur l'e-commerce, Benchmark Group a interrogé 55 grands acteurs du secteur (Fnac, Alapage, Vente-privee, Rue du Commerce, La Redoute, Houra, AuchanDirect, Ooshop...) et plus de 3.300 internautes.
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