Le blog eBoons propose une synthèse des informations récoltés sur le net sur les sites marchands, le e-commerce et les technologies numériques aux services du e-business. Notre logique: vivre moins chère sans se priver !

2006-11-05

Fnac Eveil & Jeux : La magie de ses premiers Noëls !

La magie de ses premiers Noël !
G6444113
http://www.eveiletjeux.com/news/N80/BB/N06_magic_16.gif"> 15/12/2006

Offre non cumulable avec une autre, non valable en magasin et valable une seule fois dans la limite des stocks disponibles. Si le cadeau n'est plus disponible, vous recevrez un cadeau de valeur identique.
Pour la France :
* hors frais d’envoi, hors livres, hors cédéroms et hors articles marqués par ce sigle
** 0€ au lieu de 5,50€. Ne s'applique pas aux services de livraison rapide à domicile (Chronopost et colissimo), en relais colis et à la livraison Europe.
*** hors frais d’envoi et hors livres.
Pour la Belgique :
* hors frais d’envoi, hors cédéroms et hors articles marqués par ce sigle
** 0€ au lieu de 4,97€. Ne s'applique pas aux services de livraison rapide à domicile, aux Points Kiala et à la livraison Europe.
*** hors frais d’envoi, pour 2 articles minimum.



€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet

2006-11-03

Micromania joue le jeu de l'e-commerce


Le vendeur de jeux vidéos n'était présent sur Internet que sous la forme d'un site éditorial, laissant la vente à son important réseau de 250 magasins. Changement de stratégie avec le lancement de sa boutique en ligne.

02 Novembre 2006 Le site

La boutique Micromania
Alors que le e-commerce français est en plein boom depuis plusieurs années, le vendeur de jeux vidéos vient seulement d'ouvrir sa boutique en ligne. Une réticence apparente qui se retrouve dans ce lancement, puisque Micromania.fr est présenté comme un magasin parmi les 250 que compte la chaîne.

Le distributeur n'a pourtant pas résisté à la croissance de la vente en ligne. "L'objectif principal est de permettre au plus grand nombre possible de joueurs d'accéder de n'importe où, n'importe quand, d'un simple clic à toute l'offre et l'univers de Micromania", a indiqué dans un communiqué Pierre Cuilleret, président de la société. Le site devrait permettre d'élargir la clientèle aux joueurs éloignés d'un point de vente.


Micromania.fr apparaît donc comme un complément au réseau physique, qui reste au coeur de la stratégie de la société. Même si l'enseigne était à l'origine un vépéciste, le fondateur l'avait rapidement transformée en chaîne de magasins. Depuis 2004, le distributeur aurait ainsi ouvert 120 magasins. Le changement de direction en août 2005 a entraîné un retour vers la vente à distance, via Internet.

Le site a été pensé comme une "véritable vitrine virtuelle du savoir-faire et de la philosophie de l'enseigne". Il proposera ainsi l'ensemble de la gamme disponible dans le réseau. La navigation rappellerait également la boutique, avec des présentoirs virtuels classant les jeux selon leurs dates de sorties, prix et types de consoles. L'enseigne a par ailleurs voulu assurer un service équivalent, avec la possibilité de retourner la commande, et de profiter du même programme de fidélité.

Les dirigeants de Micromania ont également voulu accompagner les internautes dans leurs choix avec une large information, comme s'ils se trouvaient dans un magasin. Sur ce point, le distributeur peut s'appuyer sur l'équipe rédactionnelle qui alimente Micromania.fr, un site jusqu'à présent uniquement éditorial sur l'actualité du jeu vidéo. Cet aspect informatif est maintenu, et la boutique en ligne est bien distincte, accessible via un onglet. La partie éditoriale a été refondue pour assurer l'unité graphique de l'ensemble.

Le site

La boutique Micromania
La prochaine étape pourrait être de proposer des jeux en téléchargement. Mais, sur ce point, les enseignes du secteur du jeu vidéo se montrent actuellement frileuses, ce mode de distribution mettant en danger directement les boutiques. Baptiste RUBAT du MERAC, JDN


€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet
www.eboons.com

2006-11-01

E-commerce : La confiance dans le paiement en ligne s'instaure

Par Sandra Laffont

21 millions de transactions en ligne en un trimestre, les e-commerçants de l'hexagone doivent avoir le sourire. Mercredi, l'Association pour le commerce et les services en ligne (ACSEL) a présenté en Assemblée générale les bons chiffres du deuxième trimestre.

Les 23 commerçants réunis dans le panel de l'ASCEL - dont voyages-sncf, expedia, ooshop- ont vu leur chiffre d'affaires progresser de 31% par rapport à la même période en 2005, une croissance soutenue. Et l'ACSEL peut afficher son optimisme car les internautes craignent de moins en moins de payer en ligne. Selon des chiffres de Médiamétrie, 60% des internautes, soit 16,2 millions de personnes, déclarent avoir confiance en l'achat en ligne. Il subsiste par ailleurs « un fort potentiel d'acheteurs en ligne puisque 3,2 millions d'internautes, confiants dans l'achat en ligne, ne sont pas encore passés à l'acte d'achat », explique l'ACSEL dans un communiqué. De plus, si la population d'internautes a augmenté de 12% sur un an, celle d'acheteurs en ligne a progressé de 24 points à 16,1 millions, un signe que le e-commerce séduit de plus en plus.

Une bonne santé qui attire évidemment les commerçants : on trouve aujourd'hui 6 903 boutiques française (qui ont leur siège en France) en ligne sur le Web contre 4 429 en octobre 2005 selon Leguide.com. Les deux secteurs phares sont « vie pratique » (électroménager, maison...) et « culture et loisirs » (DVD, musique, sport...). Presque la moitié des e-commerçants proposent sur leurs étalages des produits de ce type.

Des tendances qui ne devraient pas s'essouffler lors des fêtes de fin d'année et qui confirment la prédominance du Web dans les modes de commande à distance. En 2005, Internet était déjà utilisé dans prés de 54% des achats à distance, loin devant le téléphone et le courrier selon la Fédération des entreprises de vente à distance. Une mutation bien engagée...


€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes adeptes du e-commerce

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet
www.eboons.com

Le e-commerce français en hausse de 31 % selon l'Acsel

La France compte désormais 16 millions de cyber-acheteurs, soit une hausse de 24 % sur un an. Résultat : le chiffre d’affaires du commerce électronique grimpe de 31 %, boosté par l'offre des TPE-PME.
26 Octobre 2006
Acsel
DoYouSoft
La croissance du haut-débit et la baisse des coûts d'équipement en terminaux d'accès à Internet profitent pleinement au commerce électronique. Selon le baromètre e-commerce du troisième trimestre 2006 de l'Acsel (Association pour le commerce et les services en ligne), réalisé en partenariat avec Médiamétrie, plus de 16 millions de Français achètent désormais en ligne, soit une progression de 24 % sur un an. Le nombre d'acheteurs progresse deux fois plus vite que le nombre global d'internautes, en augmentation de 12 % en un an avec 27,3 millions de connectés. En outre, les marges de progression des e-commerçants sont encore confortables, d'autant que 41, 5 % des non acheteurs se déclarent prêts à passer à l'acte d'ici trois mois. Les fêtes de fin d'année devraient donc s'avérer fructueuses.
Le trimestre a donc été bon pour le e-commerce français, qui conserve un rythme de croissance soutenu. Le panel Acsel de 23 e-commerçants, consolidé par PricewaterhouseCoopers, indique une progression de 31 % du chiffre d'affaires au troisième trimestre 2006 par rapport au troisième trimestre 2005 et à périmètre comparable.
Le chiffre d'affaires cumulé du panel est ainsi passé de 314 millions d'euros au quatrième trimestre 2003 à 891 millions d'euros au troisième trimestre 2006, pour 11,2 millions de transactions enregistrées, soit un panier moyen de près de 80 euros par commande.Cinq intermédiaires financiers (Atosorigin, Caisses d'Epargne, E3xperian, Ogone et Paybox) ont par ailleurs constaté à leur échelle une progression globale de 46 % du chiffre d'affaires réparti sur 21 millions de transactions en ligne.

Le chiffre d'affaires moyen des TPE-PME gagne 40 %
Les TPE et PME ont également accroché leurs wagons à la locomotive du commerce électronique. L'indicateur e-commerce des TPE-PME réalisé par PowerBoutique indique une progression de 55 % du nombre de transactions et une hausse de 90 % du chiffre d'affaires sur un an réalisé par 731 boutiques actives. Le chiffre d'affaires moyen par boutique a ainsi progressé de 40 % sur un an."Le développement des TPE-PME sur le Web correspond de moins en moins à une logique de niche. On compte aujourd'hui moins de pure players et plus de commerçants de détail qui franchissent le pas, ne serait-ce que pour fidéliser leur clientèle existante. Les secteurs du prêt-à-porter et des articles de sport sont en très fort développement", précise Stéphane Escoffier, directeur associé de DoYouSoft, société éditrice de PowerBoutique.
Le réseau de guides d'achat LeGuide.com référençait pour sa part un total de 6.903 e-commerçants implantés en France au 1er octobre 2006, contre 4.429 en octobre 2005, soit une hausse de près de 56 % sur un an. Les catégories de produits 'Culture et Loisirs' et 'Vie pratique' sont respectivement commercialisées par 47 % et 45 % des e-commerçants. Les secteurs de la mode et de la beauté, de la culture et des loisirs, et de l'informatique enregistrent les plus fortes hausses durant le troisième trimestre 2006. 45,5 % des e-commerçants proposent en outre des livraisons à l'étranger avec une forte concentration sur les pays limitrophes : Luxembourg, Allemagne, Espagne et Belgique.
Après analyse des 50.000 mots-clefs les plus tapés chaque mois dans les moteurs de recherche partenaires de son service (notamment Yahoo France, Voila.fr, Alice, Lycos…), Yahoo Search Marketing précise par ailleurs que les "intentions d'achats", soit les requêtes effectuées sur le réseau, ont augmenté de 19 % au troisième trimestre 2006 par rapport au troisième trimestre 2005. Les catégories les plus actives sont celles de la "culture et des loisirs", qui draine 20 % des intentions d'achat, suivie des "voyages et du tourisme" avec 16 %, puis de l'informatique à hauteur de 10 %. "Soutien scolaire", "connexion ADSL", "voyage", "billet d'avion" et "rachat crédit" sont les mots-clefs ayant connu les plus fortes progressions au troisième trimestre 2006.
€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet
www.eboons.com

Solutions e-Commerce : Lycos Europe acquiert l'allemand Mentasys

Par Sophie Fiévée
Cette technologie pour les solutions de ventes en ligne assistées sera combinée avec Pangora, la plate-forme de solutions de shopping du groupe Internet.
Lycos Europe renforce son positionnement dans le e-commerce. Un pan d'activités jugé stratégique pour le réseau de huit portails Internet sur le Vieux continent. Le groupe Internet de Christoph Mohn annonce l'acquisition du spécialiste allemand des solutions de shopping Mentasys GmbH. Le montant de la transaction n'a pas été communiqué. Cette société allemande emploie près de 60 personnes pour un chiffre d'affaires de 30 millions d'euros.
La technologie de Mentasys pour les solutions de ventes en ligne assistées sera combinée avec Pangora, la plate-forme de solutions de shopping pour le compte d'éditeurs tiers (filiale de Lycos Europe).
Mentasys propose aux revendeurs, fabricants et opérateurs de portails une offre packagée de mesures de ventes assistées. Cette offre sera maintenant intégrée au portefeuille de solutions de shopping de Lycos Europe. Elle sera également être étendue à d'autres pays comme la Grande-Bretagne, la France ou l'Italie.

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet
www.eboons.com

2006-10-30

Bannière Publicitaire

Bannière Publicitaire
Le lexique de la publicité sur Internet

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la publicité Internet est sur cette page ! Retrouvez toutes les définitions des termes employés dans ce domaine.

Important : Les termes les plus utilisés sont définis dans ce lexique. Cela vous permet donc d'utiliser votre bannière publicitaire à bon escient, et de comprendre toutes les offres de diffusion de publicités qui existent sur Internet.
Faites en bon usage. ;-)

Affichage
Cette définition s'applique aussi au terme : impression.
Définition : affichage
Un affichage de publicité (ou impression de publicité) est l'apparition de la publicité sur l'écran du visiteur. Cet affichage apparaît sur le site web d'un site dit Editeur (voir sa définition dans le lexique).
Annonceur publicitaire
Définition : annonceur publicitaire
L'annonceur publicitaire est la société qui paie un Editeur (voir sa définition dans le lexique) pour diffuser des affichages publicitaires sur son site internet.
Bannière publicitaire
Cette définition s'applique aussi aux termes : bannière de publicité, bandeau de publicité, bandeau publicitaire.
Définition : bannière publicitaire
Une bannière publicitaire est ce que vous pouvez créer gratuitement sur ce site (Banniere-Publicitaire.com). C'est un pavé de taille variable (voir ci-dessous : Formats de publicité) qui contient des éléments graphiques et du texte pour annoncer votre site internet aux visiteurs. En tant qu'annonceur, vous pouvez ensuite diffuser cette bannière sur d'autres sites Internet. Une bannière publicitaire peut-être animée, ce qui est fortement recommandé en vue d'avoir un bon taux de clic.
Call to action
Cette définition s'applique aussi au terme : appel à l'action.
Définition : call to action
Un call to action se trouve dans votre bannière publicitaire. Il vise à attirer l'attention sur lui de façon à ce que le visiteur qui voit votre publicité réalise une action. En l'occurence, vous attendez que le visiteur qui voit votre bannière de publicité clique dessus pour se rendre sur votre site web. Vous pouvez donc placer comme "call to action" un texte clignotant "Cliquez-ici".
Capping
Définition : capping
Le capping permet de contrôler la répétition d'affichage d'une même publicité au même visiteur. Cette maîtrise permet par exemple de n'afficher qu'une seule fois une bannière publicitaire à une même personne dans la journée.
Clic
Définition : clic
Un clic sur un bandeau publicitaire est l'action d'appuyer dessus avec sa souris. Il en résulte l'ouverture de votre site web dans une nouvelle fenêtre du navigateur.
Conversion
Définition : conversion
Une conversion est la réalisation d'un objectif que vous fixez à l'avance en préparant votre campagne de publicité. Une conversion peut-être une inscription à votre site, le remplissage d'une demande de devis, un achat...
Coût Par Mille (CPM)
Cette définition s'applique aussi aux termes : coût par 1000, coût par 1000 affichages.
Définition : coût par mille (CPM)
Le coût par mille affichage (ou CPM) est le prix Hors Taxes que vous coûte l'affichage de 1000 bandeaux de publicités sur le site web d'un Editeur. Il varie fortement d'un site à l'autre. Ce prix démarre par exemple à 0,2€ pour la régie Agence Publicité Internet. Cela veut dire que pour 20 centimes d'euros, cette régie diffuse 1000 fois votre bannière de publicité.
Coût Par Clic (CPC)
Définition : coût par clic (CPC)Le coût par clic (ou CPC) est le prix Hors Taxes que vous coûte chaque clic effectué sur votre bandeau de publicité sur le site web d'un Editeur. Une fois encore, ce prix varie fortement d'un site à l'autre.
Coût Par Acquisition (CPA)
Cette définition s'applique aussi aux termes : Coût d'acquisition, Coût par conversion, cost per lead (CPL).
Définition : coût par acquisition (CPA)
Le coût par acquisition est le prix Hors Taxes que vous coûte une conversion (défini dans ce lexique) réalisée suite à l'affichage de votre bandeau de publicité sur le site de l'Editeur. Cette rémunération peut se faire à la commission (par exemple 0.45€ pour toute inscription à une newsletter gratuite) ou au pourcentage d'une vente (par exemple 10% pour toute vente d'un livre).
Emplacement publicitaire
Définition : emplacement publicitaire
Un emplacement publicitaire se trouve sur le site web de l'Editeur. C'est un endroit spécifique sur son site internet, dont le seul but est d'afficher des publicités pour des Annonceurs. Généralement les éditeurs de sites mettent des emplacements publicitaires sur les parties supérieures et les parties à droite de leurs sites web.

Formats de publicité
Cette définition s'applique aussi au terme : formats publicitaires.
Définition : formats de publicité
Un format de publicité est la hauteur et la largeur exprimées en pixels d'une bannière publicitaire. Le format le plus utilisé sur Internet est le format 468x60 pixels. Mais il existe de nombreux autres formats officiellement reconnus par l'IAB (voir sa définition dans le lexique).

Voici des tailles standards reconnus par l'IAB :

468x60 (bannière classique)
160x320 ou 160x600 (skyscraper)
180x150 (bannière rectangle)
300x250 (bandeau rectangle moyen)
728x90 (large bannière)
120x240 ou 120x600 (bannière verticale)
250x250 (bandeau carré)
320x180 (bandeau "16/9e")

Voici des tailles répandues mais non reconnues par l'IAB et les associations professionnelles :
120 x 90, 125 x 125, 88 x 31 (boutons)
234x60 (demie-bannière)
336x280 (bandeau "billboard")
Banniere-Publicitaire.com vous permet de réaliser gratuitement votre bandeau de publicité au format standard 468x60.
IAB (Internet Advertising Bureau)
Définition : IAB (internet advertising bureau)
L'IAB (Internet Advertising Bureau) est une association de taille mondiale qui dispose de bureaux dans beaucoup de payx, dont la France. Sa vocation est de défendre les intérêts de la publicité en ligne.
Inventaire publicitaire
Définition : inventaire publicitaire
C'est le nombre prévu d’emplacements publicitaires disponibles à la vente sur le site d'un Editeur, pour une période donnée.
Nombre d'affichages
Cette définition s'applique aussi au terme : nombre d'impressions.
Définition : nombre d'affichages
Ce chiffre fait partie des indicateurs vous permettant de commander des affichages de publicité, ou encore consulter combien d'affichages ont déjà été diffusés pendant votre campagne.
Page d'atterrissage
Cette définition s'applique aussi au terme : landing page.
Définition : page d'atterrissage
C'est la page qui s'affiche lorsqu'un visiteur clique sur votre bandeau de publicité. Cette page est souvent la page d'accueil de votre site bien qu'il soit conseillé de créer une page d'atterrissage spécifique à votre bandeau publicitaire. Par exemple, si votre bannière propose une remise, vous avez tout intérêt à créer une page d'atterrissage qui reprend ce concept de remise.
Page Avec Publicité (PAP)
Définition : page avec publicité (PAP)
Comme son nom l'indique, une page avec publicité est une page située sur un site Editeur qui dispose d'emplacements publicitaires disponibles à la vente.
Page vue

Définition : page vue
Une page vue est une page consultée par un visiteur. Cette page peut contenir des emplacements publicitaires, auquel cas on l'appelle aussi page avec publicité (PAP).
Pixels
Définition : pixels
Unité de mesure utilisée par les logiciels de graphisme et comme référence pour définir les formats de publicités.
Régie publicitaire
Définition : régie publicitaire
Une régie publicitaire est une entité dont l'objectif est de proposer à la vente des emplacements publicittaires disponibles sur plusieurs web d'éditeurs. C'est cette entité qui négocie les prix et gère les commandes des Annonceurs.
Réseau de sites
Cette définition s'applique aussi au terme : réseau publicitaire.
Définition : réseau de sites
Regroupement de sites web liés entre eux par une société ou un intérêt commun.

Serveur de publicité
Définition : serveur de publicité
Logiciel utilisé pour gérer les campagnes de publicité, tant au niveau des Annonceurs que des Editeurs.
Site Editeur
Cette définition s'applique aussi au terme : diffuseur, site support, Editeur.
Définition : Site éditeur
Un site éditeur est un site web de contenu éditorial qui dispose d'emplacements publicitaires (voir définition de ce terme dans ce lexique). Il met à disposition ses emplacements publicitaires afin qu'un Annonceur disposant d'une bannière de publicité puisse annoncer sur son site en échange d'une rémunération. La rémunération se fait soit au coût par clic, soit au coût par mille affichages.
Taux de clic (CTR)
Cette définition s'applique aussi au terme : clickthrough.
Définition : taux de clic (CTR)
Le taux de clic s'exprime en pourcent d'affichages diffusés. Il permet de savoir, sur 100 publicités affichées, combien de clics se sont produits sur les bannières. Les taux varient fortement, et peuvent aller de 0,05% de taux de clic jusqu'à 2,5%. Si le taux de clics est de 1%, cela veut dire que sur 100 publicités affichées, 1 visiteur a cliqué dessus.



€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet
www.eboons.com

L'ADSL passe deux fois le cap des deux millions d'abonnés



Neuf Cegetel et Free revendiquent, tous les deux, les deux millions d'abonnés. France Télécom en est à 5,5 millions.
Arnaud Devillard , 01net., le 27/10/2006 à 19h35


C'est un mois record pour Free. En septembre, le fournisseur d'accès a enregistré son meilleur niveau de recrutement de nouveaux clients, depuis novembre 2002. C'est-à-dire depuis qu'il a lancé son offre au tarif unique de 29,90 euros par mois. Au total, ce sont 171 000 abonnés de plus au troisième trimestre. Par la même occasion, la filiale du groupe Iliad a passé le cap de 2 millions d'abonnés à l'ADSL.
Coïncidence, c'est le même chiffre que revendique Neuf Cegetel maintenant qu'il a racheté AOL. L'opération, validée le 26 octobre par la DGCCRF (1), sera effective le 1 er novembre. Elle apportera officiellement à l'opérateur, récemment introduit à la bourse de Paris, les 505 000 abonnés du haut-débit d'AOL. Sans donner de chiffre, cette fois, Neuf Cegetel affirme avoir recruté depuis le 18 août plus de clients que l'an dernier au même moment. La raison ? Son forfait « 100% neuf » proposant toutes les options des divers forfaits précédents dans un seul.
5,5 millions d'abonnés haut-débit chez Orange
Il faut rappeler que le million d'abonnés au haut-débit avait été atteint par Neuf Telecom également à l'occasion d'un rachat,
celui de Cegetel mi-2005. Mais, à l'époque, le nouveau groupe envisageait d'atteindre les deux millions mi-2007. Il a donc un peu d'avance sur ses prévisions d'alors.
Tous ces chiffres confirment en tout cas une tendance au maintien de la progression de l'ADSL en France quand, il y a encore quelques mois, certains FAI affirmaient qu'il allait être temps de se consacrer à la conservation des clients déjà acquis et de les rentabiliser plutôt que d'en conquérir de nouveaux. Selon les derniers chiffres de l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep), la France comptait, au 30 juin 2006, 11,1 millions d'abonnés à l'ADSL. En 2005, au même moment, ils étaient 7,893 millions. Soit une progression de 40,7 %.
Dans ce paysage, l'opérateur historique se taille toujours la part du lion. Orange annonçait 5,5 millions de clients en septembre dernier, soit un million et demi de plus en un an. Mais sa part de marché reste finalement stable, puisqu'en septembre 2006, comme en 2005, elle s'établit à un peu plus de 50 %.
(1) Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes Attention ! © 1999-2005, 01net.
EbOOns.com est une interface conviviale et intuitive qui centralise tous les bons de réductions et autres promotions afin d’aider l’internaute à lui faire économiser de l’argent.
La logique est de vivre moins chère sans se priver.
Mots clefs
bons, bon, réduction, reduction, achat, charme, lingerie, bonnes affaires, économie, argent, euro, moins cher, bon marché

Eboons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet

2006-10-16

Le e-commerce représente plus de 15000 emplois directs

La Fédération des Entreprises de Vente à distance (Fevad) et Benchmark Group ont publié une étude sur l'emploi dans le e-commerce. Ce secteur en fort développement représente désormais la moitié des emplois directs de la Vente à Distance pour les particuliers. Avec 15 500 emplois directs, le e-commerce prend une place de plus en plus importante dans la vente à distance. Selon l'enquête de la Fevad et de Benchmark Group, les sites marchands (regroupant les spécialistes internet - les "pure players" - et les enseignes de magasins en ligne - "click & mortar"-) ont vu leurs effectifs augmenter de plus de 60% depuis 2004. Le chiffre d'affaires de ces sociétés, en majorité des PME, a lui aussi fait un bond, en particulier dans le domaine du voyage, des produits high-tech ou des biens culturels. Les intentions d'embauche dans le e-commerce restent donc élevées, notamment sur les fonctions liées à l'informatique ou aux centres d'appels.
D'une manière générale, les emplois du e-commerce sont d'ailleurs très qualifiés : 36% des personnes qui travaillent dans la vente à distance sur Internet sont des cadres, alors que la vente à distance traditionnelle ne compte que 13% de postes d'encadrement. Au total le e-commerce représente actuellement la moitié des emplois du secteur de la VAD à destination des particuliers (35 500 emplois directs). Si l'on ajoute les 30 000 emplois indirects (logistique, routage, imprimerie...) et les 15 000 personnes qui tirent un revenu de la vente de produits sur les plateformes de vente, le e-commerce devrait faire partie des secteurs les plus dynamiques d'ici 2008.
€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet

2006-10-12

Du bon usage du RSS pour blogueurs

Il y a à mon sens trois erreurs fondamentales que beaucoup de blogueurs font quant à l'exposition du flux RSS de leurs blogs.
1/ Tronquer les articles. C'est le cas notamment des blogs sous Movable Type où cette option est activée par défaut. Il existe toutefois des blogueurs qui choisissent intentionnellement cette option. L'argument en faveur de cette pratique est de pousser le lecteur qui accède aux articles via son agrégateur, à visiter le blog d'origine (l'argument d'économie de la bande passante est un peu dépassé étant donnée la baisse des coûts de celle-ci). Une "tactique" supposée gonfler les statistiques de visite du dit blog, ce qui à mon avis n'est pas tout à fait vrai. C'est d'ailleurs un sujet de débat éternel sur la blogosphère.Ce qu'on oublie souvent est que le blogueur prend beaucoup de risques en décidant de présenter des articles tronqués :- Les lecteurs de blogs lisent en diagonale, rarement en profondeur. Si les premières ligne de l'article ne les attachent pas suffisamment ils ne cliqueront pas pour lire la suite.- Les articles ne sont pas entièrement indexés par les moteurs de flux RSS.- Les premières lignes d'un articles ne donnent pas forcément une bonne idée sur son contenu.- Les utilisateurs sont frustrés en se sentant "obligés" de visiter le blog. Certains pourraient même se désabonner du flux. L'expérience étant vraiment désagréable. Ça m'est personnellement déjà arrivé de me désabonner d'un flux tronqué. PointBlog par exemple est sur ma liste de candidats :-).Enfin, fournir l'article complet à ses lecteurs est à mon avis une question de respect et de reconnaissance avant tout.2/ Fournir plusieurs versions du même flux. Erreur très commune, et tellement inutile. Les utilisateurs s'en foutent de la version : Atom, RSS
2 ou RDF, l'essentiel est ailleurs. Personnellement, par habitude je choisis toujours le RSS 2.0. Sinon Atom pour les blogs sous blogspot. Pour le lecteur néophyte il y a un risque de confusion. Il y a aussi un risque de duplication du contenu dans les agrégateur publics ce qui est très mauvais pour l'index des moteurs de recherche qui peuvent bien de vous en pénaliser. Finalement, si on décide de modifier son fil RSS, il est toujours plus simple de changer un seul que 2 ou 3 templates.Il faut savoir que fournir un seul flux RSS ne nécessite pas nécessairement la suppression des autres versions. Il suffit de modifier le header du blog pour n'y inclure qu'uns seule URL de flux susceptible d'être automatiquement découverte par les agrégateurs et les moteurs de recherche. Éventuellement un 301 redirect pourrait faire l'affaire pour regrouper ses différents flux. Et puis, pour les adeptes de Feedburner (quelle horreur!), assurez-vous au moins de supprimer les autres flux de l'entête, sinon à quoi bon !Ah puis tiens je viens de trouver ça :Making readers choose a feed format is like asking them to choose between an HTML and XHTML version of your site - technically there are differences, but end users shouldn't have to care about this. They just want to subscribe to your words of wisdom without having to deal with the plumbing. [Nick Bradbury]
3/ Supprimer les tags HTML a et img. Il s'agit d'une pratique malheureusement assez courante : plusieurs flux RSS ne fournissent que du texte brut, sans liens ni images. Mise à part la frustration que peut ressentir le lecteur d'être obligé de visiter le blog, et le risque de fournir une information déficiente surtout pour les articles contenant plusieurs liens et images, il y a aussi un manque à gagner au niveau des rétroliens (back links) que génère l'indexation des articles republiés par les agrégateurs publics. C'est le cas notamment d'articles contenant des images hébergés localement, et surtout des liens internes au blog lui même.4/ Question bonus : mettre les icônes et les liens vers le (les) flux RSS sur le blog, ça sert à quoi au juste ?
sujets : ,
http://houblog.net/article/1123-blogs-rss-usage

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet
www.eboons.com

WiMAX, les élus à l'affût

WiMAX, les élus à l'affût. Une évidence : le WiMAX désenclavera les zones blanches. L'importance des investissements consentis place les élus en position d'arbitres.
Des opérateurs ont payé, parfois très cher, pour obtenir une des 49 licences régionales WiMAX. Cette licence les oblige à déployer les infrastructures prévues au cahier des charges qu'ils ont rendu à l'autorité de régulation des télécoms (Arcep) pour désenclaver les zones blanches et grises d'ici à deux ans. Un gage d'accès bon marché au haut-débit pour toutes les PME de France ? Pas si sûr. En effet, certaines régions ont aussi obtenu des licences, conjointement aux opérateurs, ou bien parfois deux opérateurs rayonnent sur la même région. Une situation qui laisse perplexe bon nombre d'observateurs quant aux modèles commerciaux sur lesquels misent les opérateurs.
Dans le principe, comme le rappelle Rémy Prin, responsable TIC du Pays des Vals de Saintonge, « les collectivités ne peuvent être opérateurs, sauf carence manifeste. Elles vont donc attribuer une délégation de service public à un opérateur - HDDR, Maxtel, SHD, Bolloré Télécom -, lequel déploiera l'infrastructure. Il faut bien comprendre que ces derniers n'opéreront que l'infrastructure. Les offres commerciales seront effectuées par des tiers : Free, AOL, Neuf Cegetel ou des opérateurs de services locaux. » Ceux qui déploieront l'infrastructure feront donc de la revente de gros à des opérateurs de services, locaux ou nationaux. Lesquels proposeront leurs offres commerciales aux entreprises et au grand public.
Dans un premier temps, ce modèle, s'il bénéficie à l'entreprise qui aura finalement accès au haut-débit, laisse circonspect sur sa viabilité financière. D'autant plus que nombre de licences ont été attribuées dans des zones où le haut-débit est déjà fortement présent à l'image de l'Île-de-France, de la Bretagne ou de Paca.
« Nous sommes convaincus qu'en France, le WiMAX restera essentiellement un marché de niche du fait de la capillarité de l'ADSL, lequel couvre déjà 96 % de la population », analyse Julien Grivolas d'Ovum. Un discours plus modéré que celui de Bernt Ostergaard, analyste pour Current Analysis (lire l'encadré « Personne ne fera de l'argent avec le seul WiMAX »), persuadé que nombre de licences seront revendues à moyen terme. Une possibilité offerte par le marché secondaire, et déjà exploitée. Certains tentent en effet de vendre l'exploitation de fréquences à des collectivités locales sur certaines zones, en réalisant un bénéfice à la clé. « Nous allons assister à des reventes d'engagements dans tous les sens, certaines sont déjà prénégociées. L'idée est de récupérer un peu d'argent et de se concentrer sur les zones denses », affirme un équipementier sous couvert d'anonymat.
Le nomadisme pour les collectivités
Les collectivités sont plus optimistes. Comme le rappelle Rémy Prin, les opérateurs, quels qu'ils soient, ont l'obligation de couvrir les zones blanches et grises. Il y aura donc du haut-débit partout. Pour ce faire, certains départements mettent la main à la poche pour financer les opérations de génie civil et s'arrangent ensuite avec le délégataire pour l'exploitation. Ces mêmes collectivités, outre l'aménagement du territoire, ont l'obsession du nomadisme : pouvoir accéder au haut-débit dans le cadre d'un hot spot ou via un PC portable au sein de l'entreprise.
Ainsi, l'ambition de Nancy est de tisser un maillage très dense de points d'accès dans les zones très fréquentées. « C'est un modèle qui tient la route, mais qui est en concurrence avec les nombreux hot spots déjà déployés », rappelle Bernt Ostergaard. Pour mémoire, la stricte mobilité, soit le passage d'un point d'accès à un autre (handover), est strictement interdite par l'Arcep aujourd'hui. En attendant la mise au point du WiMAX mobile (802.16e), au mieux fin 2007, les déploiements s'effectueront avec du fixe ou du « prémobile » évoluant par mise à jour logicielle ou matérielle.
L'enjeu est colossal, « une fois effective, la normalisation du WiMAX mobile engendrera des économies d'échelle au niveau d'un marché devenu mondial », explique Nicolas Pinton, directeur général de HDDR. On comprend que chacun tente de se placer sur ce marché. « Il ne faut pas oublier que les collectivités communiquent entre elles et peuvent exercer des pressions sur les opérateurs », prévient toutefois Jean-Pierre Messin, chef de cabinet de Charles Choné, vice-président de la communauté urbaine du Grand Nancy.
Par ailleurs, « les collectivités ou les opérateurs ne construisent pas un réseau strictement WiMAX car, en dehors des zones très rurales, ils utiliseront aussi la fibre optique, l'ADSL ou éventuellement de la BLR. Le WiMAX étant une partie de cet arsenal », rappelle Rémy Prin. Un panachage de technologies pour desservir au mieux les utilisateurs en leur proposant des alternatives d'accès. Mais aussi pour assurer la collecte des données (dorsale) et leur transport au niveau national. D'où l'obsession des opérateurs de tisser un réseau national comme le confirme Nicolas Pinton de HDDR. Dans ce modèle, par le biais d'accords croisés, chacun pourra acheminer ses flux en tout lieu à la demande par les réseaux de son concurrent. Un opérateur de services pourra ainsi faire transiter des flux vendus par un opérateur étranger sur une multitude de réseaux et les transmettre à son client final.
« Les opérateurs ont enfin compris qu'il y avait, d'une part, les tuyaux, et de l'autre, les flux qui passent dedans. Comme les autoroutes. Elles appartiennent à plusieurs opérateurs, mais tout le monde peut les emprunter moyennant un droit de péage. Il en ira exactement de même dans les télécoms », conclut Jean-Pierre Messin.
€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet
www.eboons.com

2006-10-02

L’e-commerce se porte bien en Europe

Un consommateur européen sur quatre a fait au moins un achat sur internet au cours des douze derniers mois. C'est ce qui ressort des résultats de l'Eurobaromètre sur la protection des consommateurs, publié ce mercredi par la Commission européenne. 27% des citoyens ont ainsi effectué un achat par voie électronique, une proportion qui tombe à 6% pour ce qui concerne les achats électroniques transfrontaliers. Le commerce électronique devient une habitude chez les internautes européens, puisque 50% des personnes ayant internet ont fait du e-shopping cette année.Les Européens n'auraient donc pas encore totalement confiance dans les sites web d'autres états membres, pour des questions notamment de livraison, de renvoi des marchandises, ou d'un éventuel règlement de litige. A noter enfin que les Néerlandais sont les Européens les plus équipés d'internet, les moins pourvus étant les Grecs.
La France, elle, affiche 44% de ses foyers connectés au web.

www.euronews.com

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet
www.eboons.com

L’e-commerce se porte bien en Europe


jeudi 28 septembre 2006.
Un Français sur trois a déjà acheté un produit ou un service sur Internet, 19 % des internautes disent aller s’informer dans les boutiques « en dur » pour finalement passer à l’acte - d’achat - sur des sites marchands.

A l’échelle de l’Union européenne, seuls 26% des sondés ont effectué un achat transfrontalier au cours de l’année écoulée, contre 12% à peine en 2003.
Quarante-quatre pour cent des achats transfrontaliers portaient sur des montants entre 100 et 499 euros, et 28% sur des achats d’une valeur inférieure à 100 euros. Le commerce électronique gagne tout doucement en popularité auprès des consommateurs européens, mais essentiellement pour des achats effectués dans leur propre pays.
L’usage d’internet pour des achats dans des pays étrangers n’est utilisé que par 6% des Européens, alors qu’ils sont 27% à se servir du web pour faire des emplettes auprès d’entreprises établies dans leur propre pays. Que ce soit par internet ou non, le sondage montre qu’une majorité des Européens hésitent davantage à acheter auprès de fournisseurs étrangers.

Deux tiers des consommateurs européens estiment ainsi que les achats à l’étranger les exposent à de plus grands risques ou difficultés, notamment quant au traitement d’éventuelles réclamations, au renvoi de marchandises, ou à la livraison.

Septante et un pour cent des Européens pensent d’ailleurs qu’ils est plus difficile de régler un litige en cas d’achat dans un autre Etat européen, et 68% redoutent d’être victimes d’une escroquerie.
(D’après Belga)

€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.
www.eboons.com

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet

2006-09-30

BuyCentral lance un programme d'affiliation


Le comparateur de prix Buycentral lance cette semaine son programme d'affiliation en France. Ce programme permettra aux éditeurs de sites web de toute taille d'ajouter une source de revenus à leur site tout en proposant un service nouveau à leurs internautes. Tout type d'intégration est possible, de la simple bannière à des intégrations plus complexes comme des affichages dynamiques de produits ou des flux XML. Les affiliés peuvent ainsi proposer à leurs internautes le contenu de Buycentral, soit plus d'un million de produits mis en ligne par plus de 400 revendeurs partenaires. Les propriétaires de sites perçoivent une commission chaque fois qu'un de leurs internautes est redirigé vers un site marchand présent sur le comparateur.La technologie a été développée par Zanox, plate-forme d'affiliation qui travaille dans plus de 25 pays et avec plus de 500 000 partenaires de vente. La technologie de comparaison de prix de BuyCentral est fournie par Pangora, qui équipe également, et notamment, les sites de shopping de Lycos et Club-Internet.
Source : Abondance

€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.
Bientôt eboons proposera son propre flux xml !

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet

2006-09-26

Les bases de l'achat de mots clés

Comment acheter du trafic sur les moteurs de recherche ?
Vous avez la possibilité de faire la promotion de votre site en achetant des mots (appelés mots clés) en relation avec le thème de votre site. L’algorithme du moteur de recherche va alors associer un mot clé tapé par l’internaute avec celui que vous avez acheté et diffuser la publicité associée. Mais pourtant quand je surfe sur Google, Yahoo ou encore Msn/Live je ne vois pas de publicitéDétrompez-vous, les liens grisés en haut de page et sur le côté droit des pages de recherche sont bien de la publicité. C’est bien grâce à ces simples liens textes que les moteurs de recherche arrivent à dégager d’énormes revenus.Le secteur de la recherche en ligne s’est basé sur le constat suivant : plus de 70% des recherches sur Internet sont motivées par un acte d’achat.Les moteurs de recherche jouent donc un rôle d’intermédiation entre un vendeur et un acheteur. Et si quelqu’un a acheté le même mot clé que moi ? C’est là que ça devient intéressant. Un système d’enchères sur les mots clés a été mis au point par les différents moteurs de recherche afin de pouvoir donner une position aux annonceurs qui ont acheté le même mot. Cependant cette explication est quelque peu simpliste, en effet les différents algorithmes prennent en compte différents paramètres afin de favoriser l’annonceur qui met en avant la publicité la plus pertinente et pas forcément celui qui paye systématiquement le plus cher. (Nous en reparlerons dans la prochaine newsletter). Chaque mot clé / combinaison de mots clés a une valeur intrinsèque. L’enjeu est de savoir quelle valeur / bénéfice vous êtes susceptibles de dégager suite à la redirection d’un internaute vers votre site. En effet certains peuvent coûter très chers et sont très tapés puis cliqués par les internautes. Exemple: les mots clés voyage et crédit. Qui va cliquer sur ma publicité ?Contrairement à la plupart des formes de publicités en ligne, ou les annonces sont simplement diffusées auprès d’un large éventail de publics, les annonces de publicités contextuelles sont ciblées en fonction des centres d’intérêt de l’internautes. Lorsqu’un internaute effectue une recherche, il obtient les résultats correspondants, ainsi que des annonces ciblés en rapport avec les termes recherchés. Les annonces de publicité contextuelle sont donc aussi pertinentes et utiles que les résultats de recherche. Généralement la diffusion d’annonce sur le réseau de recherche est la plus couramment proposée, néanmoins il est également possible d’annoncer sur un réseau dit de « contenu » . Cette nouvelle méthode de ciblage offre la possibilité de choisir les sites sur lesquels vous souhaitez annoncer, en pratique il vous est possible de sélectionner d’annoncer uniquement sur un portail thématique ou de créer une liste de sites du même thème par exemple. Ces différentes méthodes ayant leurs avantages et leurs inconvénients, il vous est possible de les combiner afin de tirer le meilleur parti de votre campagne. Comment suis-je facturé ? Combien ça me coûte ? Le slogan de tous les moteurs de recherche est le suivant : vous ne payez que pour les visiteurs qui vous sont envoyés. La facturation se fait donc aux clics envoyés vers votre site. Ce système se démarque donc des modèles de publicité traditionnels en ligne qui ont plus tendance à jouer sur la visibilité qui est donnée à une publicité où l’unité adoptée pour la facturation est l’impression d’une publicité (nombre de fois où elle va être affichée). Par différentes options de paramétrage vous avez la possibilité de contrôler au plus juste votre budget. En effet, vous définissez combien vous voulez dépenser par jour et à quelles heures de la journée vous voulez voir apparaître votre annonce. Comment connaître les performances de ma campagne publicitaire ? Tous les moteurs de recherche mettent à votre disposition différents outils vous permettant de voir le nombre de clics qu’ils vont renvoyer vers votre site. Tous ces rapports sont très précis, en effet vous allez pouvoir connaître par exemple quels sont les mots qui sont plus cliqués ou encore ceux qui vous coûtent le plus cher.
Grâce à l’outil EPI de TradeDoubler vous pouvez savoir quels sont les mots qui ont généré des ventes : donc ceux sur lesquels il faut que vous apportiez un intérêt particulier pour maximiser vos revenus. Et TradeDoubler dans tout ça ?Vous avez aujourd’hui l’habitude de travailler avec TradeDoubler en mettant en avant nos différents programmes sur votre site ce qui vous permet de générer des revenus. Grâce à l’achat de mots clés, vous pouvez donc augmenter votre trafic vers les pages de votre site affichant des publicités.Certains des annonceurs de TradeDoubler autorisent les affiliés à rediriger du trafic directement vers leurs sites depuis les moteurs de recherche. D’une certaine manière ils externalisent cette activité via des programmes d’affiliation. Une campagne pour un programme d’affiliation sur un moteur de recherche peut être très lucrative pour un affilié si elle est bien faite. En ce moment offre d’essai – 50€ de réduction sur votre première campagne.
Rappel Webmasters : le programme d'affiliation pour MSN/Live est disponible sur la plateforme Tradedoubler La prochaine newsletter portera sur l’optimisation d’une campagne de liens sponsorisés afin d’en tirer le maximum de bénéfices.
€bOOns.com est une interface conviviale et intuitive qui centralise tous les bons de réductions et autres promotions afin d’aider l’internaute à lui faire économiser de l’argent. La logique est de vivre moins chère sans se priver.
Mots clefs
bons, bon, réduction, reduction, achat malin, lingerie, bonnes affaires, économie, argent, euro, moins cher, bon marché

€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet

2006-09-02

« Un internaute sur deux est acheteur »

Une réaction après la publication de l’enquête Ipsos-Media qui révèle que plus d’un Français sur 2 est connecté à Internet ?
Bien sûr c’est une excellente nouvelle ! Elle montre qu’internet continue de gagner du terrain et que les internautes ont pris définitivement le pas sur les non-internautes. Nous avons toutes les raisons d’être satisfaits, car un internaute est un cyber-acheteur potentiel. D’ailleurs, selon l’étude que nous avons réalisée avec Médiamétrie cet été, le nombre de cyber-acheteurs en France progresse même encore plus vite que celui des internautes. Cette tendance ne peut que nous rendre optimistes pour l’avenir du commerce électronique.
Quel est votre sentiment sur l’évolution du e-commerce en France ?C’est un marché en plein développement. Il y avait à peine 4% de Français qui achetaient en ligne en 2000, et ce chiffre atteignait déjà plus de 25% en 2004. Le marché français figure d’ailleurs parmi les plus performants, puisque la France est championne d’Europe de la croissance du e-commerce en 2006 : la part des acheteurs en ligne a augmenté de 21% entre le 1er trimestre 2005 et le 1er trimestre 2006. Le ratio nombre d’internautes/nombre d’acheteurs est également très bon, puisqu’un internaute sur deux est acheteur. Cette proportion est encore plus importante chez les jeunes : parmi les 25-35 ans, c’est un Français sur qui deux achète sur Internet. Malgré tout, le commerce électronique français est encore loin derrière l’Angleterre en termes de chiffres d’affaires. Un écart, qui, j’en suis sûr, devrait prochainement se combler grâce à la progression attendue du nombre de foyers français connectés.
Quels sont les points clés à prendre en compte pour comprendre le marché français de la vente en ligne ?
Il y a d’abord l’équipement. Nous sommes légèrement en retard à ce niveau là par rapport à nos voisins européens, puisque plus de 60% des Anglais, des Allemands et des Suédois ont accès à Internet. Cela montre aussi qu’il y a en France un réservoir de clients potentiels encore plus important que dans ces autres pays. L’autre réel atout du e-commerce français réside dans l’importance de l’ADSL. C’est un vrai phénomène. Cela concerne aujourd’hui 70% des internautes, un chiffre nettement supérieur aux autres pays. La France est certainement aujourd’hui championne du monde de l’équipement haut-débit. Or, cela a été prouvé, le haut-débit favorise une augmentation du temps passé à naviguer mais aussi à consommer sur Internet. La confiance reste aussi une donnée psychologique importante. Elle est aujourd’hui en très forte progression. Enfin il ne faut pas oublier l’offre. Au début, les produits achetés sur le web, c’étaient surtout le high-tech et les produits culturels. Avec la démocratisation d’Internet, l’offre s’est considérablement diversifiée. Depuis deux ans on assiste à une explosion de la vente de voyages en ligne. Plus récemment, les ventes devêtements ont progressé de manière spectaculaire. Il faut dire que la clientèle sur Internet s’est très fortement feminisée. Aujourd’hui, plus de la moitié des nouveaux acheteurs sur Internet sont des femmes.
A quoi attribuez-vous la réussite exceptionnelle d’eBay, d’Amazon ou de Price Minister en France ? C’est pratique, facile et pas cher. Et puis, à l’heure où le pouvoir d’achat est plutôt en baisse, nous sommes nombreux à chercher des moyens de pouvoir malgré tout consommer plus. Revendre sur Internet permet souvent de se faire plaisir en s’achetant un bien un peu plus cher que prévu, tout en déculpabilisant. Ces sites sont aussi un « paradis » pour les collectionneurs et ceux qui cherchent à faire des bonnes affaires. Il faut savoir qu’aujourd’hui près de la moitié des internautes déclarent utiliser des plateformes de commerce entre internautes.
Quel a été l’impact du succès du commerce en ligne sur le secteur de la vente à distance ?
L’explosion de la vente à distance est plus que jamais liée à celle du e-commerce. Désormais, les ventes sur Internet représentent, à elles seules, 62% du chiffre d’affaires de la vente à distance aux particuliers. Le e-commerce a considérablement fait évoluer le paysage de la VAD. Les acteurs traditionnels de la vente à distance et notamment les grandes enseignes de vente par catalogue réalisent déjà plus de 30% de leur chiffre d’affaires sur Internet. Avec Internet, de nouveaux acteurs sont apparus. Qu’il s’agisse des « pure-players » mais aussi d’enseignes de magasins et de la grande distribution qui ont développé des sites marchands. Cela ne veut pas dire que les consommateurs boudent les magasins, au contraire ils repèrent les produits sur la Toile et vont acheter après sur place. Parallèlement, certains sites pure-players n’hésitent pas à ouvrir des magasins. Avec Internet, la VAD est entrée dans l’ère du multicanal. Pouvoir commander un produit à distance devient de plus en plus une demande des consommateurs.
Peut-on parler d’une « nouvelle économie parallèle » sur Internet ?Je n’aime pas tellement le terme « parallèle ». La nouvelle économie fait de plus en plus partie intégrante de l’économie en général. Elle est même devenue un enjeu majeur pour notre économie.
eBay et Yahoo ont récemment été attaqués pour contrefaçon, est-ce que ces abus représentent une menace pour l’avenir du commerce en ligne?Je n’ai pas de commentaires particuliers à faire sur ces deux affaires qui sont actuellement en cours et qui soulèvent des problématiques juridiques complexes. D’une manière générale, je dirais qu’Internet est une activité nouvelle. On vient tout juste de fêter ses 10 ans. Il n’est donc pas tout à fait surprenant que cela puisse poser des problèmes d’interprétation juridique, face à des lois qui remontent parfois à plus d’un siècle. J’ajoute que le nombre d’affaires judiciaires auxquelles nous assistons est tout à fait dérisoire si on considère qu’en 2005, plus de 100 millions de transactions ont été réalisées par les sites internet. Cela ne signifie pas pour autant que nous ne sommes pas attentifs à ces questions. Bien au contraire. L’an dernier, nous avons élaboré un code de conduite en matière de campagne e-mailing. Ce code a été officiellement approuvé par la CNIL. Cette année, la FEVAD a signé la Charte de confiance des plateformes de commerce entre internautes avec le Ministère du Commerce. Pour 2007, nous préparons une charte du e-commerce. Parallèlement nous travaillons avec les plateformes et les pouvoirs publics sur la question de la contrefaçon. C’est un sujet qu’on rencontre aussi dans d’autres formes de commerce. Pour résumer, je dirais que les plateformes comme les sites de e-commerce sont des professionnels responsables.

Doit-on prendre plus de risques pour réussir sur Internet, notamment en raison de la forte concurrence ?Après le succès très rapide du e-commerce, les acteurs se sont rendu compte qu’ils devaient être présents sur ce marché. Evidemment, cela a augmenté la concurrence. Une entreprise en ligne demande un plus grand niveau d’innovation, de savoir-faire et de réactivité. Souvent le prix ne suffit plus. Les clients sont de plus en plus exigeants sur la logistique et le service client. Je pense cependant qu’il existe encore aujourd’hui de réelles opportunités en e-commerce, de nouveaux secteurs à conquérir.

Comment voyez-vous l’évolution du e-commerce à l’horizon 2010 ? Selon une récente étude, le chiffre d’affaires du e-commerce pourrait tripler d’ici là. Une chose est sûre, nous sommes toujours en phase de développement et la marge de progression me semble encore importante. D’autant que d’autres évolutions particulièrement intéressantes sont en train de voir le jour. Notamment l’arrivée du m-commerce, c'est-à-dire les ventes sur mobiles, qui devraient accompagner le déploiement de l’internet mobile. C’est un niveau supplémentaire d’accessibilité à l’offre pour les clients. Je peux vous dire que de nombreux professionnels de la vente à distance ont aujourd’hui cet outil dans leur ligne d’horizon...

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet

www.eboons.com

€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.

Référencement : les 10 conseils des sages

Ils sont spécialistes des moteurs de recherche et du référencement naturel. Leurs trucs de pros.
04 Septembre 2006
Qu'il s'agisse d'astuces ou de préceptes, les professionnels du positionnement sont les premiers à prôner le respect des règles des moteurs et à tenir compte en priorité de l'utilisateur final. Bien que le référencement dans les premières pages soient de plus en plus difficile, il est tout à fait possible d'y arriver sans utiliser la manière forte. De la minutie, un travail quotidien et de la patience aident à arriver à ses fins.
1- Penser et intégrer le référencement avant la réalisation du site, préconise 1ère Position. La plus grosse erreur commise en référencement : y penser quand le site est déjà en ligne alors qu'il doit d'abord être optimisé au niveau de sa structure.
2- Mesurer et affiner le choix des mots clés des contenus et services, continue 1ère Position. L'analyse des statistiques du site, des mots clés tapés dans les moteurs généralistes et les moteurs de recherche interne, permet d'adapter le contenu et le choix des mots clés selon la demande réelle et telle que l'exprime les internautes.
3- Proposer 2 ou 3 pages de présentation, signale Webformance. Dans le cas d'un lancement de site, il est interessant de proposer 2-3 pages de présentation du site à venir, afin que les moteurs puissent commencer à référencer le site avant son lancement officiel.
4- Investir sur le contenu rédactionnel d'un site, recommande Takezo Quel que soit le secteur d'activité, la quantité et la qualité éditoriale du contenu sont primordiales pour les moteurs de recherche qui peuvent ainsi identifier les mots clés sur lesquels le site est pertinent. Le robot d'un moteur de recherche ne comprend que le texte, il n'interprète pas les images ni les animations flash. Le principe est de définir trois ou quatre mots clés principaux et de les intégrer de la manière la plus naturelle possible dans le contenu de la page. Il est possible de renforcer le poids d'un mot clé dans une page en l'incluant dans un titre, en le soulignant ou en créant un lien dessus.
5- Développer des opérations de linking dédiées au référencement, ajoute
TakezoUn des critères majeurs de bon référencement d'un site est sa "popularité", c'est-à-dire sa faculté à générer des liens texte qui pointent vers ce site et repérables par les moteurs de recherche. Ce facteur a évolué de manière très importante dans les derniers mois, le nombre de liens et le Page Rank restent des indicateurs essentiels mais ne sont plus aussi représentatifs de la popularité qu'ils pouvaient l'être par le passé. Aujourd'hui, pour augmenter la popularité d'un site, il est important de travailler sur la qualité des liens et le contenu des pages qui pointent vers le site. Intégrer ces liens dans du contenu qualitatif et sémantiquement relié aux mots clés de son site est la manière la plus optimale d'améliorer son référencement.
6- Réfléchir à sa stratégie d'acquisition de trafic avant de référencer son site, incite Netbooster. Les moteurs de recherche sont un canal d'acquisition de trafic et de visibilité. Si certains sites ont un intérêt évident à être référencés, il faut avant tout bien définir quels sont ses objectifs de communication pour ensuite déterminer sa stratégie d'acquisition sur les moteurs de recherche et le plan d'action à y mener. Il est important de déterminer qui vient sur son site, qui veut-on cibler, quels sont les motivations de ma cible, quels mots clés génèrent du trafic et quels sont les meilleurs moyens de générer du trafic sur son site. Le search est un outil puissant d'acquisition de trafic, c'est désormais une composante du mix marketing on line d'un site, une approche purement technique du référencement est vouée à l'échec.
"La satisfaction de la recherche et des attentes de l'internaute est la condition première"( Netbooster)
7- Vérifier que le serveur supporte l'en-tête HTTP "If-Modified-Since", suggère Webformance. Cette opération permet d'indiquer à certains moteurs comme Google si le contenu du site a évolué depuis leur dernier passage. Vous réduirez ainsi la largeur de bande passante et l'utilisation des ressources du serveur.
8- Penser à l'utilisateur final, pas seulement au moteur de recherche, conseille NetboosterLe site doit répondre de manière précise au besoin exprimé par un utilisateur au moment de sa recherche. Il faut réfléchir au discours et aux mots et expressions clés qui vont générer du trafic ciblé et intégrer ces contenus dans votre site pour le positionner sur les requêtes correspondantes. Cette démarche qui place l'utilisateur au centre de la stratégie d'acquisition de trafic conditionne la structure du site et la production de contenus. La satisfaction de la recherche et des attentes de l'internaute est la condition première de l'acquisition durable de trafic ciblé. Une fois les expressions clés déterminées, et les contenus validés, il s'agit alors de rendre accessible votre site aux moteurs de recherche.
9- Ne pas oublier les outils de recherche verticaux et locaux, rappelle Webformance. Ces outils n'apportent pas réellement de visibilité directe, parfois de la visibilité indirecte, mais s'ils sont référencés ils rentrent en compte dans le calcul de la popularité.
10- Se faire accompagner par un bon spécialiste, conclue Takezo,Notamment pour éviter les pièges (spam ou tout ce qui peut être assimilé à une solution de contournement). Depuis plusieurs mois déjà, les moteurs ont mis en service des formulaires de dénonciation de techniques de spamming et vos concurrents ne se gêneront pas pour les utiliser à votre insu et indiquer dans le détail à Google ou un autre ce que vous avez fait de "répréhensible". Se faire accompagner par un bon spécialiste est le meilleur gage d'un référencement réussi : il est très difficile de bien référencer son site seul dans son coin. Il y a de nombreux points extrêmement complexes, notamment la gestion du site, sur lesquels il vaut mieux faire confiance à des experts.
Emmeline RATIER, JDN Solutions

€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet

10 astuces-référencement à connaître

C'est souvent par des petites attentions que le référencement prend de l'importance.

04 Septembre 2006
Pour la plupart, ces astuces se destinent autant aux visiteurs qu'aux moteurs de recherche.
1- Avoir un site régulièrement mis à jour en apportant régulièrement du contenu pertinent, un site sera visité plus régulièrement par les robots des moteurs de recherche. Ces derniers s'adaptent en effet aux fréquences de mise à jour.

2- Proposer un titre avec les mots clés adéquats. Pour les moteurs de recherche, le titre possède plus de valeur. L'intitulé doit contenir les mots-clés essentiels, les plus représentatifs du contenu de la page. Les mots clés utilisés dans ce titre doivent également être en accord avec les requêtes des internautes. Plus qu'incitatif, le titre doit être représentatif (lire l'article "Créer le contenu qui plait aux moteurs de recherche" du 21/07/2006).
3- Utiliser le tiret - Séparateur - officiel des moteurs de recherche, le tiret "-" (touche 6) ou bien la virgule. La touche underscore (le tiret bas) est à oublier. Pour l'URL comme pour le texte, cette dernière touche n'est pas considérée comme un caractère de séparation valide pour les moteurs.
4- Ne surtout pas oublier de bien nommer les images du site
Pour rappel, les moteurs sont des visiteurs aveugles : ils ne pourront pas "voir" la photo. En revanche, si cette image est bien nommée et mieux encore, si les balises alt sont renseignées, le site gagnera en pertinence.
5- Redirections en JavaScript ou avec la balise meta refresh à proscrire. En effet, elles sont au mieux mal interprétées par les moteurs ou au pire source de désindexation. Il est fortement recommandé d'utiliser une redirection permanente ou bien directement sur le serveur.
Les concurrents sont une bonne source d'inspiration
6- Ne pas renseigner excessivement les meta tagPar exemple, plus la balise meta keywords contient de mots clés, moins la pertinence de la page sur un de ces mots clé sera importante. 7- Attention aux caractères spéciauxIl est préférable de nommer les fichiers sans caractères spéciaux et notamment les accents, bien souvent pas pris en compte par les moteurs de recherche (lire l'article"les caractères spéciaux sous haute surveillance" du 09/12/2005).
8- Prendre en compte les statistiques
Savoir comment se comporte son visitorat, avec quels mots clés ses clients arrivent sur le site, quelle page amène le plus de visiteurs. Toutes ces informations sont essentielles pour mettre en place une bonne stratégie de référencement, mais surtout pour améliorer cette dernière lors de sa mise en place.
9- Abandonner les liens nommés "cliquez ici"Ils sont tous simplement sans valeur. Il faut formuler le lien en expliquant clairement l'information contenue dans la page concernée.
10- Les concurrents sont une bonne source d'inspiration
Effectuer régulièrement une veille concurrentielle permet de connaître leurs efforts, leurs priorités et surtout leurs points faibles. A exploiter au mieux dans le cadre de son propore référencement.

www.eboons.com
€boons met en place des applications qui ont de vraies valeurs ajoutés pour les internautes.

Eboons est le Pro de l’achat malin sur internet

Contributeurs