Le blog eBoons propose une synthèse des informations récoltés sur le net sur les sites marchands, le e-commerce et les technologies numériques aux services du e-business. Notre logique: vivre moins chère sans se priver !

2006-07-28

Advert Stream

Advert Stream : de la régie publicitaire à l'édition de sites De régie publicitaire positionnée sur la vidéo, Advert Stream évolue vers un groupe média Internet. Le rachat de Numerik Art lui permet d'accélérer le lancement de son activité d'édition.
Après des acquisitions de sociétés de référencement payant, Advert Stream continue sur sa lancée et ajoute Numerik Art à son escarcelle. Cet acteur commercialise auprès des éditeurs de sites un service de rencontres en marque blanche. Cette acquisition permet à Advert Stream de franchir une nouvelle étape dans son cheminement l'amenant d'une activité de régie publicitaire historique à celle, plus large, d'un groupe média Internet. "Nous prenons dorénavant en charge toute la chaîne de valeur d'une activité d'édition, explique Sylvain Morel, co-fondateur et président du conseil d'administration de Advert Stream. C'est donc une diversification stratégique, mais naturelle". Ce qui n'est pas sans rappeler la politique que mène en particulier Hi-media, avec le rachat de Odyssée Interactive

D'une activité historique positionnée sur la niche de la publicité vidéo, Advert Stream a parcouru du chemin. Son pôle de monétisation de l'audience qui s'appuie sur sa régie publicitaire, plus une agence de marketing direct pour l'activité en interne, est en fort développement, au-delà des 60 % de croissance du marché annoncé par l'IAB, selon Sylvain Morel. Une croissance qu'il attribue notamment au lancement début 2006 d'une nouvelle plate-forme publicitaire proposant l'ensemble des solutions média, comme des campagnes média au CPM ou au clic, des campagnes sur le principe des enchères, en self-service sur le réseau Advert Stream, ainsi que des campagnes d'affiliation. "Cet outil permet aux éditeurs de sites de sélectionner les campagnes les plus rentables et nous permet de toucher tout le spectre des annonceurs, que ce soit les plus grands, comme Warner Bros, Sony, VSC, tout comme des PME via notre offre Adnetwork".
Au cours de l'année 2005, Advert Stream a ajouté une corde à son arc, en ouvrant son champ d'action au référencement payant, via l'acquisition de deux petites sociétés qui se lançaient dans le domaine du SEM. Ces acquisitions lui ont permis d'ouvrir un pôle d'acquisition et de génération de trafic. Et c'est dans le cadre d'une mission pour le compte de Numerik Art, mise en œuvre il y a plus d'un an et demi, que les deux sociétés se sont rencontrées et ont pu se rendre compte de la complémentarité de leurs prestations. "Nous voulions être propriétaire de notre audience et nous appuyer sur une base de données qualifiée", précise le président de Advert Stream. C'est chose faite, Numerik Art positionnée sur l'édition d'un service de rencontres en marque blanche, dispose à l'heure actuelle de près d'un millions d'inscrits. Ce service qui offre aux éditeurs de sites la possibilité d'intégrer un onglet de rencontres, personnalisé à leurs couleurs, et pour lequel le partage des revenus entre l'éditeur et le site partenaire est de l'ordre de 50 %, a en effet connu une croissance très rapide. Via ce rachat, Advert Stream pourra dorénavant proposer un service de location d'adresses à ses annonceurs, depuis son agence de marketing direct. "Les synergies en interne deviennent très importantes. Les annonceurs présents sur notre réseau demandent notamment une offre pour de l'e-mailing, car cela leur permettrait de centraliser ses actions auprès d'un même compte" explique Sylvain Morel. A l'heure actuelle, Advert Stream dispose d'une base externe de 5 millions d'adresses e-mail et travaille à la centralisation des adresses pour constituer une offre globale. Cette base devrait atteindre les 10 à 15 millions d'adresses d'ici fin de l'année.
Une volonté d'internationalisation de NumeriK Art et de la régie publicitaireEn termes de développement, la volonté d'Advert Stream est d'assurer la pérennité de Numerik Art, et de lui laisser toute son indépendance. "Ce rapprochement permet à Numerik Art de bénéficier de la solidité financière de la société mère. Son fondateur, Marc Lavigne Delville a rejoint le groupe en tant que directeur du pôle édition et en tant que membre du conseil d'administration", précise Sylvain Morel. Pour septembre, Numerik Art, devenue une filiale à 100 % du groupe Advert Stream, prépare son lancement au Royaume-Uni, en Espagne, aux Etats-Unis, et éventuellement en Amérique Latine d'ici à la fin de l'année. Un lancement pour lequel la filiale s'appuiera notamment sur le pôle de référencement payant.
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Advert StreamLa société compte à l'avenir lancer des services à fort potentiel de rentabilité dans la continuité des jeux audiotel, accessibles sur le site de ludophonie.com, lancés il y a 2 mois par Advert Stream et mis en production dernièrement. En ce qui concerne sa régie publicitaire, un lancement en Espagne et en Italie est également prévu. Advert Stream dispose d'un réseau de 3.500 sites, qui génèrent une audience de 850.000 PAP, dont le président ambitionne un doublement d'ici à la fin de l'année. Advert Stream, qui table sur un chiffre d'affaires de 5 millions d'euros pour 2006 et sur une croissance à 3 chiffres pour 2007, mène une politique de croissance externe et réalise des audits dans les 3 pôles sur lesquels elle se positionne désormais.

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Avec Apache et Primashop, Pixmania retourne en enfance

Pixmania affiche depuis une semaine deux nouveaux onglets sur son site : jouets et puériculture. Il s'agit de relancer des activités historiques de la société, tout en insufflant un air famillial à Pixmania.

L’apparition sur le site Pixmania français de deux nouveaux onglets "Jouets" et "Puériculture" serait-elle le signe d’un changement de stratégie ? D’après Jean-Emile Rosenblum, PDG de Fotovista, il s’agirait avant tout d’une demande des clients qui plébiscitent les catégories "hors high-tech" du site. La réalisation de ce projet a été rendue possible par le réseau de sites de e-commerce appartenant au groupe. En effet, les sites Apache et Primashop auxquels renvoient ces onglets font partie du même groupe que Pixmania, DSG International, bien qu’Apache ne lui appartienne pas totalement. L’opportunité de s’adresser à un public plus large tout en échangeant du trafic entre les sites du groupe n’a pas échappé à ses dirigeants. En effet, malgré une relative notoriété du site d'Apache, notamment depuis l’ouverture de quatre boutiques en France, il se maintient dans une position de challenger derrière Fnac Eveil et Jeux ou encore Joué Club. Quant au pure player Primashop, il ne semble pas non plus rencontrer le succès escompté.

Ces entités devraient donc profiter des 4 millions de membres inscrits au service de photo de Pixmania, MyPixmania, et des six millions de visiteurs mensuels que revendique Pixmania. "La partie photo du site est fréquentée par une cible globalement plus féminine et familiale que le reste du site, il s’agit donc de proposer des services complémentaires aux jeunes parents avec une qualité de service qu’ils connaissent et apprécient, issue de notre expertise du e-commerce", explique Jean-Emile Rosenblum. En outre, les nouvelles activités bénéficieront du réseau logistique éprouvé, détenu par Fotovista.La puériculture constitue d’ailleurs l’activité historique de Fotovista : avec son activité Primaphot, elle est, depuis une vingtaine d’années, spécialisée dans la vente de reportages de naissance professionnels, commercialisé par du porte à porte. En plus de la vente des reportages photo, les 350 vendeuses à domicile de cette entité assureront désormais la promotion des sites du réseau via la distribution de catalogues et la présentation détaillée de l’offre. Dernière pierre à l’édifice, le site etreenceinte.com : fournissant conseils et forums aux couples qui attendent un enfant, il accueille 100.000 visiteurs uniques par mois sur ce marché de niche. "Il s’agit d’un outil puissant et économique pour recruter une audience qualifiée", précise le PDG de Fotovista.Fotovista nourrit de fortes ambitions pour ce nouvel ensemble. Sans toutefois préciser de chiffres, le PDG affirme viser la première place dans la vente de jouets et articles de puériculture grâce ce rapprochement des sites enfants du groupe avec Pixmania. Pour Jean-Emile Rosenblum, il s’agit de fidéliser les clients tout au long de leur vie en leur proposant des services dont ils ont besoin. Pour parvenir à fidéliser les clients, la société mise avant tout sur la qualité de service, ainsi que sur la pratique de prix bas, en particulier dans le domaine de la puériculture, réputé pour sa cherté. C’est pourquoi, avant de les inclure à son menu, Pixmania a attendu que les sites concernés présentent une garantie de qualité : que ce soit aussi bien au niveau de l’exhaustivité des produits proposés, que de leur adaptation à la plate-forme de publication Internet de Pixmania. C’est pourquoi depuis quelques temps déjà, ceux-ci étaient promus dans le magazine créé en partenariat avec Metro France, mais pas encore sur le site.
Depuis plusieurs mois, la stratégie de Pixmania s’oriente vers une diversification de ses canaux de distribution, tout d'abord, avec la création de showrooms (lire l’article du 13/06/2006), et maintenant de ses produits. L’entreprise, jusqu'alors spécialisée dans la vente de produits high-tech en ligne ambitionne de devenir, d’ici quelques années, un site de e-commerce incontournable et familial, comme l’a rêvé et réalisé, en son temps, l'américain Amazon. Lucile REYNARD, JDN
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2006-07-25

E-commerce: recherches virtuelles, mais achats physiques

Une nouvelle étude américaine révèle que 87 % des consommateurs qui recherchent un produit en ligne vont ensuite l'acheter en magasin.

Si l'e-commerce ne cesse de progresser, Internet reste d'abord une vitrine sur laquelle le consommateur se renseigne. Mais dans son comportement, l'achat physique reste une priorité puisque 9 fois sur 10 c'est dans un magasin qu'il consomme.

L'étude de BIGresearch vient confirmer le rôle essentiel que tient aujourd'hui Internet dans la démarche d'achat, ce qui impose aux entreprises d'être présentes et visibles sur le Web. En revanche, il reste un important chemin à parcourir entre la démarche prospective en ligne et la conclusion sur le même mode, puisque 87 % des internautes continuent d'acheter physiquement leurs produits, même si c'est sur Internet qu'ils l'ont recherché et trouvé. Sans surprise, l'étude révèle que les internautes recherchent en priorité des produits électroniques, des produits pour la maison, des appareils en général, et – phénomène typiquement américain - des médicaments, des vitamines et des compléments alimentaires. La présence du terme générique 'appareil' n'a rien de surprenant, avant d'acheter, l'internaute se documente aujourd'hui en ligne. Enfin, BIGresearch révèle que les recherches s'effectuent en priorité sur Google, puis Yahoo, eBay et Amazon.com, et ensuite, là encore typiquement américain, sur Walmart.com, le site du géant de la distribution.


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9,8% des PME-PMI françaises ont un site d'e-commerce

Par la rédactionZDNet France21 juillet 2006

Si la VoIP (voix sur internet) et les VPN (réseaux privés virtuels) ne sont pas encore des réalités tangibles dans les PME/PMI, l'usage métier du web y progresse à pas mesurés. 64,1% des entreprises ont un site web vitrine, mais seules 9,8% disposent aujourd'hui d'un site d'e-commerce (16,6% pour les entreprises de commerce pures), révèle une récente enquête de Telecom Italia-Pouey (*).
Du côté de l'usage interne, c'est mieux en revanche: 42,6% ont un intranet, 23,5% un extranet, et 18% des applications métiers. Les PME-PMI françaises
dotent par ailleurs de plus en plus leurs salariés d'un accès à internet.
Toutefois, parmi celles connectées au web, 20,2% n'ont encore ni site web, ni intranet, ni site d'e-commerce, ni application métier: un autre aspect de la fameuse "fracture numérique".
(*) Enquête téléphonique réalisée par la division entreprises de l'opérateur Telecom Italia et Pouey International (gestion du risque client et renseignement d'affaires) auprès de 599 entreprises, du 26 avril au 19 mai dernier.
CNET Networks, Inc. All Rights Reserved


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2006-07-14

Le coup de tête de Zinedine Zidane


PARIS (Reuters) - Le coup de tête de Zinedine Zidane contre le défenseur italien Marco Materazzi dimanche en finale de la Coupe du monde est en un rien de temps devenu le thème d'une chanson qui pourrait tourner au "tube de l'été".

"Coup de boule" a été écrite lundi matin, juste après la défaite de la France à Berlin, par les trois responsables d'une petite maison de production de musique, "La Plage Records" (www.laplagerecords.com).

Zidane a été exclu sur carton rouge après avoir asséné un coup de tête sur la poitrine de Materazzi. Quelques minutes après, l'Italie gagnait la Coupe du monde 2006 aux tirs au but.
Emmanuel et Sébastien Lipszyc, fondateurs de La Plage, et le compositeur Franck Lascombes ont tenté de surmonter leur tristesse en écrivant sur un coin de table le refrain "Zidane, il a tapé", chanté sur un rythme de zouk.

Ce "Coup de boule" qui devait être une thérapie sous forme de blague pourrait rapporter beaucoup à leurs auteurs.
La chanson a été envoyée, via l'internet, à une cinquantaine d'amis et de contacts pour les consoler. La radio Skryrock l'a immédiatement diffusée, ce qui a déclenché la course aux droits de diffusion par les majors de la musique et les vendeurs de sonneries de téléphone portable.
"Ca a circulé a une vitesse incroyable. Mardi, c'était la folie", a dit à Reuters Sébastien Lipszyc.


"On discute avec quatre grosses maisons de disques et on pourrait signer demain (...) Oui, ça peut devenir lucratif, effectivement (...) Mais, si on peut faire danser tout le monde dessus cet été, ça nous fait marrer", a-t-il ajouté.
Dans les milieux de l'industrie du disque, on estime que les droits de diffusion pourraient être vendus jusqu'à 100.000 euros aux grandes maisons de disque.

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2006-07-11

Publicité sur mobile, année zéro

La première veille publicitaire sur mobiles réalisée par TNS Media Intelligence auprès d'Orange Publicité révèle un investissement global de 2,4 millions d’euros sur les quatre premiers mois de l'année.
TNS Media Intelligence
La France compte plus de 48,5 millions d'utilisateurs de téléphones portables selon les chiffres de l'Arcep du 31 mars 2006, et pourtant le marché de la publicité sur mobile reste marginal. Un paradoxe mis en évidence par la première veille de l'activité publicitaire sur les téléphones mobiles orchestrée par TNS Media Intelligence. L'étude révèle en effet un montant total d'investissements publicitaires de 2,4 millions d'euros sur les quatre premiers mois de l'année 2006. L'objectif de TNS Media Intelligence est d'apporter une base décisionnelle aux annonceurs pour accompagner le développement du marché.
Top 10 annonceurs sur le téléphone mobile (Janvier - Avril 2006) (en euros)

Annonceur Montant investi
FRANCE TELECOM 402.707
NEWSTECH MULTIMEDIA 337.066
CELLCAST MEDIA 202.338
UTEL 168.339
MOUSTIK 149.651
CELLFISH MEDIA 106.452
AIR FRANCE 93.651
PIXTEL 92.490
QUALIMUCHO MEDIA 89.334
INDEX MULTIMEDIA 84.004
Source : TNS Media Intelligence
"La publicité sur mobile est un petit marché en fort développement que nous avons tout intérêt à faire avancer et ce en apportant une aide à laquelle les annonceurs pourront se référer", explique Eric Trousset, directeur marketing du Pôle Investissements Publicitaires de TNS Media Intelligence. 2006 constitue à ce titre l'an 1 de la mesure de l'activité publicitaire sur mobile. TNS Media Intelligence publiera en effet à compter d'aujourd'hui les résultats mensuels de sa veille sur l'activité publicitaire, sous l'égide de la Marketing Mobile Association, qui réunit les principaux acteurs de la chaîne de valeur du marketing mobile (opérateurs, éditeurs de contenus, régies, fabricants, etc.)"Les annonceurs se posent des questions face à l'explosion de l'offre publicitaire. Après l'apparition de la TNT, surgit la télévision Haute-Définition, après le fil RSS arrive le podcast, qui sont autant de modèles économiques à confirmer", précise Eric Trousset qui insiste donc sur la nécessité de normaliser le marché de la publicité mobile, une des conditions nécessaires à son décollage.
L'enquête est pour l'instant réalisée sur un mode déclaratif et seul Orange Publicité a participé à sa première édition. Eric Trousset espère convaincre Bouygues Telecom et SFR avant la fin de l'année. La somme de ces trois opérateurs par lesquels transitent les campagnes sera alors représentative du marché de la publicité mobile.
En savoir plus
Mobile Marketing Association
Le site
TNS Media Intelligence
Les premiers chiffres portent donc sur les quatre premiers mois de l'année 2006. Ils révèlent un montant total d'investissement de 2,4 millions d'euros dont 1,4 million pour l'Internet mobile, soit 58 % du total. Les campagnes sur Internet mobile sont majoritairement des offres de téléchargement de logos et sonneries. Les campagnes SMS représentent 33 % de l'investissement global soit 800.000 euros et les MMS concentrent 9 % du budget total soit 150.000 euros. Ces investissements ont été réalisés par 41 annonceurs au premier rang desquels figure France Telecom avec 402.707 euros dépensés.
Guillaume DEVAUX, JDN

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Environ 15 % des clics sur des liens sponsorisés sont frauduleux


Liens promotionnels : le point sur la fraude. Environ 15 % des clics sur des liens sponsorisés sont frauduleux, selon une étude d’Outsell, Inc. Une véritable menace sur le secteur, certains annonceurs ayant d'ores et déjà réduit leur budget de search engine marketing.

Outsell, Inc. Le sommaire de l'étudeLes liens promotionnels représentent aujourd’hui plus du tiers du marché publicitaire online et certaines entreprises y consacrent plus de 50 % de leurs investissements d'acquisition de nouveaux clients, comme Voyages-sncf.com (lire l'article du 13/06/2006). Une manne qui n’a pas tardé à générer des abus en tous genres. Des concurrents malintentionnés qui cliquent sur les liens de leurs compétiteurs. Ou des escrocs qui montent des pages Web factices sur lesquelles ils installent des liens dans le seul but d’être rémunérés en fonction du nombre de clics.Si Google, Yahoo et MSN assurent prendre toutes les précautions pour éviter que les annonceurs soient lésés, la fraude reste importante. C’est ce que montre une étude menée par Outsell, Inc. auprès de 407 annonceurs américains. Premier enseignement, les annonceurs estiment qu’en moyenne, le taux de clics frauduleux s’établit à 14,6 %. Un score jugé important par l’institut qui note perfidement qu’il n’existe pas de secteur économique présentant un taux de fraude aussi important. Le coût total de la fraude pour les annonceurs américains serait donc de 800 millions de dollars. Conséquence : 27 % des annonceurs interrogés ont déjà réduit leurs dépenses en liens sponsorisés et 10 % envisagent d’en faire autant. Parmi les annonceurs qui ont déjà réduit leur budget, 53 % l’ont diminué de 20 % ou plus et 16 % ont définitivement arrêté d’utiliser les liens promotionnels. En tout, ce sont 500 millions de dollars de budgets qui ont ainsi été coupés.

De manière générale, l’étude note la grande opacité des pratiques anti-fraude de Google, Yahoo et MSN, à la fois sur les techniques mises en place pour détecter les clics frauduleux et sur les dispositifs de remboursement et d’indemnisation des clients. Ainsi, le centre d’aide de Google France ne trouve aucune réponse sur le mot "fraude" ; quant au mot "remboursement", il est seulement évoqué pour obtenir un remboursement du solde d’un compte. Pourtant, il est possible de demander un remboursement aux trois réseaux de liens sponsorisés et certains annonceurs le font déjà. L’étude d’Outsell, Inc. indique ainsi que 5,4 % des annonceurs ont demandé un remboursement à Google, 1,5 % à MSN et 2,9 % à Yahoo.
En savoir plus
Dossier Liens promotionnels
Le site
Outsell, Inc. Le sommaire de l'étudeLe cabinet d'études indique aussi que certains annonceurs se sont vu proposer un remboursement sans n’avoir rien demandé. Google a ainsi proposé en moyenne des remboursements de 9.444 dollars (contre 15.597 dollars en moyenne lorsque la demande de remboursement vient de l'annonceur). L’étude conclue sur les mesures de protection que devraient prendre les moteurs de recherche et les entreprises pour limiter la fraude, notant qu’une entreprise sur deux a déjà implémenté des systèmes d’analyse.
Richard Chuck, vice-président d'Outsell, Inc. : "Demander des remboursements dès que l'on suspecte une fraude"
JDN. Que doivent faire les annonceurs pour se protéger de la fraude au clic ?Richard Chuck. Nous recommandons tout d'abord aux annonceurs de surveiller leurs statistiques de clics et leurs taux de transformation de très près et au jour le jour. Et de demander des remboursements dès qu'ils suspectent des clics frauduleux. Pour le moment, le nombre d'annonceurs demandant des remboursements est bien inférieur à celui des victimes. Ensuite, nous recommandons de travailler l'optimisation du ranking dans les moteurs de recherche et de déterminer le meilleur mix de dépenses entre les liens sponsorisés et l'optimisation du ranking. Enfin, nous leur préconisons aussi de suivre les nouveaux programmes de type CPA (cost-per-action) où les annonceurs sont facturés en fonction du taux de transformation et de les expérimenter. N'oublions pas non plus que les liens sponsorisés et le CPC (cost-per-click) ne sont qu'un des éléments d'une campagne publicitaire réussie et pas le seul. Il faut toujours préparer le meilleur mix entre online (publicité, sponsoring, séminaires en ligne, publi-information comme les livres blancs, placement produit, etc.) et le papier, la TV et la radio, ...
Que devraient faire les moteurs de recherche pour enrayer la fraude ?Nous demandons à ce que Google, Yahoo et MSN (GYM) ajoutent plus d'analyses "humaines" pour la détection de la fraude au clic. Une personne bien entraînée peut en effet détecter des traces de fraude qui ne sont pas repérées par une machine. Nous leur demandons aussi d'analyser de plus près leurs sites partenaires [sur lesquels les liens sponsorisés sont diffusés, NDR], et de fermer directement les splogs [contraction de spam-blog, NDR] créés uniquement pour générer des revenus sur des liens sponsorisés. Autre demande : publier des statistiques sur les fraudes interceptées, les remboursements effectués ainsi que sur les pays, produits et industries qui sont le plus souvent la cible de la fraude au clic. Enfin, nous réclamons la création d'un bureau d'audit indépendant.
Rédaction JDN & JDN Solutions

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2006-07-05

100 milliards d’euros dépensés sur l’Internet en 2006 !

Le e-commerce européen se porte bien. La barre des 100 milliards d’euros sera franchie dès cette année, affirme Forrester Research qui table sur une progression ininterrompue d’ici 2011. Les prévisions du cabinet d’études peuvent paraître optimistes. Elles n’en sont pas moins solides et s’appuient sur des statistiques recoupées. Les 100 millions d’acheteurs européens dépenseront en moyenne 1 000 € chacun. Le calcul est simple. La barre des 100 milliards d’euros sera franchie avant la fin de l’année. Selon Forrester Research, « les ventes européennes en ligne feront plus que doubler au cours des cinq prochaines années pour atteindre 263 milliards € en 2011, avec 174 millions d’acheteurs en ligne ». La demande sera stimulée par la diversité croissante de l’offre chaque jour plus riche ainsi que l’action des sites de comparateurs de prix. « Le client en ligne plus confiant accroîtra sa dépense d’achat moyenne sur Internet à 1 500 € », poursuit Forrester. Au Royaume-Uni, par exemple, le montant des dépenses des internautes dépassera celui de leurs homologues américains ! Quant aux catégories gagnantes pour les achats sur Internet, elles sont toujours les mêmes : le voyage, les vêtements, l’alimentation et l’électronique grand public qui dépassent toutes la barre des 10 milliards € par an Deux années de forte croissance Selon Jaap Favier, directeur de recherche pour les marchés de la consommation chez Forrester Research, « le nombre d’Européens faisant ses achats en ligne a progressé de 37 % au cours des deux dernières années. A fin 2003, 48 % des Européens se connectaient au moins une fois par mois et 19 % avaient acheté en ligne ; deux ans plus tard, ces chiffres étaient montés en flèche à respectivement 54 % et 26 % ». L’acheteur moyen sur Internet aurait fait progresser sa dépense trimestrielle sur de 10 % entre le quatrième trimestre 2003 et le quatrième trimestre 2005. Ce panier trimestriel est ainsi passé de 244 € en Q4 2003 à 268 € en Q4 2005. « Associé à la hausse du nombre des clients en ligne, l’e-commerce européen total a augmenté de 50 % en deux ans. » La France bientôt devant l’Allemagne et le Royaume-Uni Si elle conserve son rythme de progression, la France pourrait dépasser le Royaume-Uni et l’Allemagne en 2011. La croissance de l’e-commerce fera plus que tripler le chiffre d’affaires du e-commerce français pour le porter à 39 milliards € dans cinq ans. La dépense en ligne par acheteur français restera à peu près dans la moyenne européenne. Au Benelux, le volume des ventes au détail en ligne représentera toujours environ la moitié de celles réalisées en France. Le marché du Benelux étant loin d’être uniforme : le plus grand nombre d’acheteurs en ligne se trouvant aux Pays-Bas, les Néerlandais dépensant peu par an (688 € seulement en 2006 contre 851 € en Belgique).Pour l’heure, le Royaume-Uni est toujours en tête du groupe européen des consommateurs en ligne. « Le consommateur britannique moyen dépensera 1 744 € en ligne en 2006 et 2 410 € en 2011, faisant passer l’e-commerce britannique de 43 milliards € en 2006 à 76 milliards € en 2011, soit 29 % des achats européens de détail en ligne. Le consommateur allemand moyen doublera pratiquement ses achats en ligne, de 786 € en 2006 à 1 441 € en 2011 ». Et comme les acheteurs allemands seront 43 millions en 2011, l’Allemagne devrait conserver sa deuxième place sur la carte de l’e-commerce européen. Les voyages touristiques toujours en tête Si les ventes en ligne d’alcool et de matériel sportif sont celles qui connaîtront la plus forte croissance au cours des cinq prochaines années (respectivement 283 % et 245 % selon Forrester), ensemble, elles représentent qu’à peine 4 % des achats totaux en ligne. « Aujourd’hui, un tiers des euros, livres ou couronnes dépensés en ligne par les consommateurs sont consacrés à la réservation de voyages touristiques, estime Jaap Favier. Les dépenses de voyage en ligne progresseront de 133 % pour atteindre presque 77 milliards € en 2011 (en faisant le premier poste de croissance en termes absolus), mais sa part dans le commerce de détail total en ligne baissera à 29 %. Les vêtements verront leur chiffre d’affaires en ligne exploser de 10 milliards € en 2006 à plus de 31 milliards € en 2011. Le grand gagnant sera la VPC, Neckermann, Otto et La Redoute, qui affinent leurs bonnes pratiques de GRC, vieilles de plusieurs décennies, pour l’Internet ». L’alimentation et les boissons, ainsi que l’électronique grand public dépasseront alors les 10 milliards € dans toute l’Europe.
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2006-06-23

Faites de votre e-commerce une réalité

PRAGMA, spécialiste dans l’externalisation de la logistique des sites e-commerce, lance son site www.pragma.fr.
Notre métier est de prendre en charge et d’optimiser le processus de Vente à Distance, de la naissance de la commande à sa livraison chez le client. Experts dans notre domaine, nous assurons la mise en place et la gestion de ce processus pour répondre à cette problématique de logistique globale.
PRAGMA a pour vocation de mieux répondre aux attentes de la Vente à Distance et vous garantit une prestation complète et efficace adaptée à vos besoins.
L’équipe de PRAGMA vous apporte toute son expertise et expérience quel que soit votre secteur d’activité.
Des prestations sur mesure et adaptées selon nos clients
PRAGMA met à votre disposition ses savoir-faire et son expérience dans les domaines suivants :
L’informatique : Nous mettons à votre disposition un progiciel capable de vous fournir une prestation de grande qualité (gestion des adresses, des produits, des stocks, des commandes, statistiques, suivi et organisation de la prestation)
La logistique : Prestataire spécialisé, partenaires des plus grands noms de la Vente à Distance, nous vous garantissons une qualité Zéro défaut de la prise de commande à l'expédition (gestion complète du stockage, gestion physique du stock, prélèvement routage et expédition du colis à vos clients).
La relation client : La gestion de la relation client joue un rôle décisif dans la qualité du service. Nous vous proposons un accueil téléphonique personnalisé (traitement et suivi des appels téléphoniques, prises de commandes, réponse par e-mail résolution des litiges,...). Nos opérateurs sont formés à la gestion de toutes les situations.
La gestion des retours : Des retours et échanges gérés sous 24 heures constituent un élément fort de la fidélisation de vos clients. Ils contribuent à préserver voire améliorer l’image que vous donnez et témoignent du respect des engagements pris.
Pour en savoir plus sur PRAGMA et trouver les réponses à toutes vos questions, rendez vous sur www.pragma.fr !
http://www.pragma.fr/

2006-06-16

Carrefour active un nouveau site d'e-commerce

Le distributeur complète sa présence sur la Toile. Aux côtés d'Ooshop.com, son site d'e-commerce de produits alimentaires, il lancera le 19 juin, Boostore.com, consacré, lui, à la high-tech, à l'électroménager, aux fleurs, aux articles de sport et aux biens culturels. Pour lancer son nouveau site, Carrefour s'appuie sur une campagne décalée « pasdembrouille.com ». Une façon de dire que l'accent ne sera pas mis que sur les prix, mais aussi sur les services et la relation clientèle.
01NET

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E-commerce: les sites français mieux armés contre les fraudes

Business - Les transactions frauduleuses sur le Net ont reculé de près de 2 % en 2005. Les parades des sites marchands s’avèrent plus efficaces face à des malfaiteurs de mieux en mieux organisés.
Les réseaux d'escrocs sur internet n'ont jamais été aussi en nombreux, et pourtant, les tentatives de fraudes contre les commerçants en ligne ont atteint, en 2005, leur niveau le plus bas depuis quatre ans. C'est
ce qui ressort du livre blanc sur «La sécurité des transactions commerciales sur internet» publié par l'assureur Fia-Net (*).
Les chiffres sont éloquents: alors que le commerce en ligne explose, les tentatives de fraudes ont représenté 1,73% des ventes réalisées par les cybermarchands analysés par Fia Net; en baisse de 28% par rapport à 2004. «Les impayés subis par les marchands atteignent un niveau des plus bas à 0,07% des ventes en 2005, soit une chute de 74% par rapport à l'année précédente», précise le livre blanc.
Même tendance pour le panier moyen de la fraude: il est passé de 578 euros en 2002 à 360 euros l'année dernière. «Devant la difficulté à obtenir la livraison de leurs commandes frauduleuses, les fraudeurs sont obligés de se rabattre sur des articles de valeur moins élevée, moins surveillés par les commerçants», note l'assureur. «La décroissance constante de cet indicateur témoigne de l'efficacité de plus en plus forte des sites marchands à lutter contre les fraudes.»
Matériel électronique au premier rang des fraudes
Tous les secteurs sont victimes de ce type d'arnaques, mais le matériel électronique arrive en première position, avec 30% des impayés. Appareils photo, caméscopes numériques, lecteurs et enregistreurs numériques sont des cibles privilégiées. Suivent le tourisme et l'informatique, puis la mode, la téléphonie. Sur ce dernier secteur, les fraudes concernent en priorité les recharges téléphoniques à distance, «ne nécessitant pas de livraison d'un matériel à une adresse physique».
Fia-net a identifié plus de 679 réseaux organisés en 2005, ce qui représente une augmentation de près de 80% par rapport à 2004. Mais ils réalisent moins de transactions en moyenne, que les années précédentes: 21,15 contre 31,63 en 2004. «Loin de correspondre à une accalmie de ces fraudeurs organisés, la baisse de ces chiffres témoigne au contraire d'une professionnalisation accrue de ces malfaiteurs», estime Fia-Net, en soulignant «leur capacité à brouiller les pistes et à renouveler l'intégralité des informations utilisées lors des tentatives de paiement».
(*) Pour réaliser son étude l'assureur s'appuie sur les données fournies par ses adhérents, qui représentent environ 15% du marché français, avec un volume d'affaire de 960 milllions d'euros
Estelle DumoutZDN

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2006-06-15

eBay veut lancer sa plate-forme de liens sponsorisés

En réponse au récent positionnement de Google sur le créneau des petites annonces, eBay lancera prochainement une plate-forme de liens sponsorisés visant à augmenter le traffic sur son site.
Ebay, qui vient de conclure des accords commerciaux avec Yahoo et qui a racheté Skype en septembre 2005, a marqué un point supplémentaire dans son combat contre Google. Le site d'enchères en ligne devrait en effet lancer prochainement une plate-forme de liens sponsorisés. Baptisée "AdContext", celle-ci aura pour vocation la promotion des enchères en cours sur eBay. Les listes d'objets pertinents s'afficheront grâce aux mots-clés contenus sur les pages des sites partenaires. "Les publicités devraient être contextuelles, expliquait Michael Van Swaaj, directeur de la stratégie du groupe américain, lors d'une récente conférence de développeurs. Un site d'informations sportives pourrait, par exemple, afficher des publicités pour des articles de sport en vente sur eBay", poursuit-il. Cette offre d'affiliation, s'adressera à d'abord à des sites non-concurrents d'eBay, c'est-à-dire à des sites qui sont en dehors de la sphère traditionnelle du e-commerce.
Malgré un nom proche de la solution de liens sponsorisés de Google (AdSense), le géant du e-commerce souhaite se différencier de son principal concurrent (et prestataire !) en ne rémunérant pas les sites partenaires au clic mais à la commission. Chacun d'entre eux devraient toucher un pourcentage situé entre 40 et 70 % de la marge que perçoit eBay sur la vente des objets aux enchères, ce qui représente environ 15 % du prix de vente. Pour Van Swaaj, la plate-forme de liens sponsorisés d'eBay serait donc complémentaire et non concurrente à celles de Google, Microsoft ou Yahoo.
En revanche, les éventuels partenaires, très attentifs à la "monétisation" de leurs pages, risquent de ne pas être convaincus par le mode de rémunération proposé par la plate-forme : les gains en découlant auraient en effet un caractère plutôt aléatoire, car ils ne seraient réalisés qu'en cas d'achat finalisé sur le site. Par ailleurs, en fonction de la nature de l'achat, la commission devrait considérablement varier. Mais eBay n'a pas pour coeur de cible les e-marchands. Il compte plutôt attirer les sites personnels ou encore les blogueurs qui utilisent déjà les liens sponsorisés pour se financer. Ce nouveau service leur apporterait, toujours selon Swaaj, une source de revenus complémentaires.Ce nouveau service devrait toutefois engendrer quelques modifications dans le modèle bien établi du site d'enchères. En effet, en proposant des codes paramétrables, facilement insérables sur les sites partenaires, eBay permettra à ses partenaires et à leurs visiteurs de suivre leurs enchères hors de son site. Il changera ainsi son modèle de diffusion : précédemment l'acheteur devait obligatoirement passer par le eBay.com pour rechercher des objets ou suivre ses enchères. A l'avenir, divers modules pourront être dispatchés sur des sites partenaires. Au delà, pour recruter plus facilement des affiliés, eBay pense également proposer aux developpeurs de pouvoir utiliser les commentaires d'évaluations, sur lequel repose sa crédibilité et celle des vendeurs, alors que jusqu'à présent leur utilisation sur d'autres sites était passible d'amende pour atteinte à la propriété intellectuelle. Cependant, selon le porte-parole du groupe, une telle décision pourrait mettre plusieurs années à se concrétiser.

En savoir plus
eBay
Enfin, grâce à AdContext, eBay, l'un des plus gros acheteurs de liens sponsorisés sur les moteurs de recherche, devrait être moins dépendant de ces derniers et pourrait réduire ses dépenses publicitaires. Ce service supplémentaire devrait également inciter ses "clients-vendeurs" à plus de fidélité.Victime de leur fuite vers les nouveaux sites de petites annonces, ne commissionnant pas ou peu les ventes, eBay a en effet tout intérêt à proposer à ses membres et prospects des services à réelle valeur ajoutée grâce auxquels il pourra justifier la facturation de ses services et leur éventuelle augmentation. La bataille est belle est bien engagée.Lucile REYNARD, JDN
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La France se dote d'une charte 'e-commerce entre particuliers'

Les plates-formes de commerce entre internautes, le ministère des PME et la Fevad ont signé jeudi la charte sur le commerce électronique entre particuliers. Le 09/06/2006 à 11:05 Une charte de confiance a été signée en France, entre pouvoirs publics et acteurs du e-commerce entre particuliers.
Les plates-formes de commerce entre internautes (eBay, PriceMinister, Amazon, etc.), le ministère des PME ainsi que la Fédération des entreprises de vente à distance (Fevad) ont signé jeudi 8 juin 2006 la charte sur le e-commerce entre particuliers.
Sans surprise, cette charte reprend les propositions présentées en novembre 2005 par le Forum des droits sur l'Internet, organisation regroupant 70 membres, organismes publics, associations et entreprises privées. Parmi ces dispositions :
Le renforcement de l'information des utilisateurs ; la mise en place d'une signalétique des vendeurs professionnels ; le recours à des outils de paiement sécurisés et, enfin, la mise en œuvre d'outils techniques permettant le respect de formalités légales.
En France, les ventes en ligne entre particuliers ont progressé de 53% en 2005. Par ailleurs, 48% des internautes interrogés en mai dernier par Médiamétrie//NetRatings, contre 39% l'an dernier, ont déclaré avoir déjà utilisé un site CtoC.
A l'heure où le commerce entre internautes se démocratise, il est utile de développer "un climat de confiance" sur ces plates-formes. La charte, créée dans ce but, privilégie l'autorégulation à la contrainte.
Basée sur l'engagement volontaire de ses signataires, la charte évoluera en fonction des usages du commerce électronique entre particuliers. Un premier bilan sera établi dans six mois.
Ariane Bekyhttp://www.neteconomie.com/perl/navig.pl/neteconomie/infos/article/20060609110520

2006-06-14

Le e-marketing au service du développement économique

D'une session à une autre, du lancement de l'Université virtuelle à l'exposition d'œuvres de nombreux peintres, d'une conférence sur le journalisme économique à un séminaire sur le e-marketing, la Fondation ONA poursuit assurément un cycle d'activités scientifiques dont le moins qu'on puisse dire est qu'elles tombent à point nommé : elles sont au cœur d'une problématique, le développement et la croissance qui interpellent responsables politiques et chefs d'entreprises. Ce n'est pas une coïncidence, mais une conjonction heureuse entre des attentes exprimées ici et là et la réflexion discursive proposée par les responsables de la Fondation de l'ONA. C'est surtout une volonté affichée d'être en phase avec son temps, de traduire une évolution en tant qu'acteur et non en spectateur, de fournir aux Marocains les éléments d'une matrice qui révolutionne chaque jour l'économie.Le forum organisé jeudi à Casablanca sur le thème, d'une actualité brûlante, «Le e-marketing au service du développement économique», s'inscrivait bel et bien dans une telle vision. Il avait ceci de particulier, également, qu'il a exigé une journée entière d'échanges et mis face-à-face - ou côte à côte - des personnalités nationales et internationales, renforçant pour ainsi dire un débat de qualité sur les nouvelles technologies et leur application à l'activité économique et commerciale. La présence, entre autres, de deux experts internationaux de renommée, Thomas Paul Stevenson et Parnell Woodard, venus tout droit des Etats-Unis, non seulement a illustré une ouverture interdisciplinaire caractéristique aux forums internationaux, mais permis aux participants d'écouter des exposés sur des expériences concrètes, comme celle de Buick, et sur un vécu conceptualisé à la limite d'une théorie commerciale.Thomas Paul Stevenson est lauréat de Harvard Business School et de la John Fitzgerald Kennedy School of Government. Son parcours de consultant international, après avoir exercé des fonctions de management, est impressionnant puisqu'il a travaillé auprès d'importantes institutions comme Solvay, Booz, Allen & Hamilton, William Kent International et Washington Post/Newsweek Interactive. Parnell Woodard, qui a ébloui l'assistance avec une prestation sur le processus modèle de marketing en faveur de la voiture Buick aux Etats-Unis, est, quant à lui, fondateur et dirigeant du cabinet «Emerge Partners» et passe pour être un expert reconnu en matière de «Business to Business», en conseillant notamment des groupes comme Motorola et Xerox. Laborieuse, studieuse, entrecoupée seulement par une pause d'une heure où le partage d'un repas de midi symbolisait un autre partage, celui d'une forte convivialité, la journée de réflexion et de débats a été marquée par la présence de plusieurs personnalités.Il s'agit notamment de Salaheddine Mezouar, ministre du Commerce, de l'Industrie et de la Mise à niveau de l'économie, Saâd Bendidi, président du Groupe ONA, Rachid Slimi, président de la Fondation ONA, Mohamed Benchaâboun, directeur général de l'ANRT, Rachid Benmokhtar, ancien ministre et président de l'Université al-Akhawayn, Mehdi Mimoun, ambassadeur et directeur des études et de la coordination sectorielle au ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, Jamal Eddine Jamali, directeur de la production industrielle au ministère du Commerce et de l'Industrie, Naîm Tamsamani, fraîchement nommé directeur général de Casa shore, Othman Chérif Alami, P-DG de Atlas Voyages, Abbas Azzouzi, directeur général de l'ONMT, Nezha Lahrichi, présidente-directrice générale de la SMAEX, Mohamed Fikrat, directeur général de Cosumar et Mohamed Kettani, directeur général de Attijariwafa bank. Deux grands moments ont décomposé la journée, constituée de quatre panels axiomatiques que Noureddine El Hachami, directeur du Centre d'analyses socio-économiques de la Fondation ONA et Khalid Belyazid, directeur général du groupe L'Economiste ont animés tour à tour : «L'utilisation de l'Internet pour l'attraction des investissements étrangers» a constitué le premier panel.Il a été suivi par «L'usage de l'Internet pour la promotion des offshoring activities», ensuite du thème du «Développement du tourisme et sa promotion par le biais de l'Internet», enfin par celui de «L'outil Internet au service du commerce extérieur». Dans la matinée, après l'allocution d'ouverture prononcée par Rachid Slimi, président de la Fondation ONA, deux exposés majeurs ont donné le ton ; le premier, fait par Salah Eddine Mezouar, déclinait les lignes de force du «Plan Emergence comme choix stratégique pour le Maroc», le second, par Mohamed Benchâaboun, plaidait «L'aménagement du cadre favorable aux pratiques du Web marketing». Ils étaient relayés par les deux professeurs américains Stevenson et Woodard qui ont développé, chiffres et arguments à l'appui, le thème de «L'usage de l'Internet comme outil stratégique de marketing», et son application au Maroc.Avec pédagogie et un savoir-faire communicatif, ils ont développé devant une assistance passionnée le modèle de vente élaboré pour Buick, dont le processus peut parfaitement être appliqué à un secteur comme le tourisme marocain. Un processus qui concerne tout achat et toute acquisition où se croisent deux données essentielles : la volonté de l'acheteur et la disponibilité du produit. Cinq phases ont été minutieusement décrites et détaillées.Elles forgent la décision. Il y a d'abord celles du shopping passif, du shopping actif, puis du post-achat, de la fidélisation du client et enfin, du re-shopping actif. Parnell Woodard, tout à sa grande rigueur intellectuelle, a précisé une hausse de l'ordre de 600 % des ventes via Internet de voitures, le système reposant en effet sur le cumul d'informations que les clients recherchent en accédant au web. La source de l'e-marketing est bel et bien là, dans cette adéquation entre le désir du consommateur et la possibilité pour lui d'accéder aux sources d'information fiables et convaincantes.Le Maroc, que 2.295 citoyens américains visitent en moyenne chaque jour sur le web, devrait renforcer son lobbying et intégrer le grand marché numérique mondial. Non qu'il consacre, comme les Etats-Unis, quelque 20 % du budget à l'e-marketing, mais qu'il consolide l'aptitude de ce segment des 30 à 40 ans qui comprend les consommateurs assidus désormais de l'Internet. L'impact du e-marketing sur l'économieA première vue, le thème de «e-marketing au service du développement économique du Maroc» pouvait s'apparenter à un de ces sujets à la mode, nourrissant les discussions des start-up en mal d'ancrage.Que non ! Il est à l'image du nouveau monde qui émerge, c'est le cas de le dire, avec son architecture inédite, une tectonique du commerce international dont on ne soupçonne guère les soubassements, un basculement géoéconomique et l'accentuation des fractures technologiques. Ouvrant les travaux, Rachid Slimi a d'emblée affirmé «qu'il s'agit moins d'une définition du marketing ou de l'Internet, que de mesurer l'impact de ses applications sur l'économie nationale». Devant le flux abondant et incessant de l'information qui caractérise le monde de nos jours, il convient de prendre la mesure des outils que sont le e-marketing et l'Internet.Comme aussi des secteurs qui constituent une priorité, à l'instar du tourisme, champ privilégié d'application s'il en est. L'Internet, fil magique des temps modernes, permet aux Américains d'être connectés chaque jour avec la réalité marocaine à raison de quelque 2.250 visites, alors que pour la Belgique, c'est 1731. Chiffres indicatifs qui disent tout autant la distance que la proximité maroco-américaine…Salah Eddine Mezouar, tout à sa rigueur imprégnée d'optimisme, a fait un plaidoyer pro domo de ce qu'il appelle le premier pilier du programme Emergence, autrement dit l'offshoring que le gouvernement met en œuvre à l'horizon 2010. Il a rappelé non sans émotion que cette journée coïncidait avec sa nomination par S.M. le Roi Mohammed VI, il y a deux ans jour pour jour, au poste de ministre du Commerce, de l'Industrie et de la Mise à niveau de l'économie.Il a ainsi décliné quatre axes stratégiques et complémentaires : l'offshoring ou délocalisation de services ; les med-zones (sous-traitance industrielle) articulées sur l'industrie automobile, l'électronique de spécialité et l'aéronautique ; l'activité agroalimentaire avec la transformation des produits de la mer (TPM) ; et enfin, le textile.S'il s'est prêté à exposer l'architecture qui joue le rôle de veine jugulaire du plan Emergence, il n'en a pas pour autant dévoilé la teneur entière, soulignant la mise en place, dans le cadre de l'offshoring, de quatre plateformes à Casablanca, Rabat, Tanger et Marrakech ; dans le cadre des med-zones, de trois pôles en équipements automobiles, électroniques et aéronautiques : Tanger Automotive City, Tanger Electronic City, aéronautique Nouaceur et Marrakech. Ensuite, des agro-centers à Meknès, dans le Gharb, le Souss-Massa-Drâa, l'Oriental et Marrakech-Tensift-el Haouz.La plateforme de transformation (fishing transformation hub) concerne Agadir, Dakhla et Lâayoune.Le pôle de Casashore et le marché des BPOL'offshore dans le monde générera dans un an la bagatelle de 346 milliards de dollars. Le volet informatique croît à hauteur de 31 %, il implique une croissance exponentielle en termes de ressources humaines, de centres de relation clientèle, d'archivage et documentation, de services financiers, d'éducation à distance, de design et ingénierie, etc.A l'appui de sa démonstration, M. Mezouar rappelle que «l'offshoring a révolutionné l'économie indienne, qui a représenté aux alentours de 75 % du marché de BPO mondial au niveau des services financiers à fin 2002, et la demande en BPO va croissant en Europe, privilégiant en effet les destinations francophone et hispanophone». «De ce fait, estime-t-il, le Maroc devrait être perçu comme une cible privilégiée des 10 milliards d'euros mobilisés dans le cadre de BPO.» Et c'est pourquoi le programme Emergence articule son déploiement sur l'offshoring/nearshoring francophone et hispanophone, avec 3 filières banque et assurance, 6 autres administratives et trois informatiques enfin, en plaidant naturellement la proximité géographique du Maroc avec l'Europe, l'assimilation des véhicules linguistiques, la disponibilité de la main-d'œuvre.Casa-shore est déjà lancé, suivi des autres sites. Un prix stimulant est proposé aux opérateurs, soit 7 à 8 euros le mètre carré ; l'IGR ne dépassera guère les 20 % pour l'entreprise, les jeunes diplômés qui s'y risqueront seront exonérés pour un temps, bénéficiant d'une aide financière à l'installation, d'un IS à 0 % et des droits de douane à 2,5 %.Une « prime aux pionniers » est envisagée pour les premières entreprises installées. Salah Eddine Mezouar n'avait pas assez de mots convaincants et forts pour dire à quel point le plan Emergence est aujourd'hui la cheville ouvrière de la relance tous azimuts de l'économie nationale.Centrant son intervention sur les télécommunications, Mohamed Benchaâboun, directeur général de l'Agence nationale de réglementation des télécommunications (ANRT), a souligné d'emblée que «l'Internet a bousculé toutes les situations acquises» ! Il a rappelé que depuis la grande réforme des télécoms de 1997, s'est dessinée une vision de l'offshoring et de l'information on-line, parce que tout simplement le Maroc est l'un des tout premiers pays à favoriser le développement des nouvelles technologies. M. Benchaâboun estime que la croissance en 5 ans a été de 20 % par année. Il y a 13 millions d'abonnés au GSM et 44 % de taux de pénétration.Dès 2007, le Maroc aura trois opérateurs de téléphonie mobile, ils renforceront les deux opérateurs du fixe, inscrivant ainsi notre pays dans le schéma du «service universel». Soucieux également d'intégrer sa réflexion dans le thème du séminaire, il a précisé que l'Internet en particulier et les nouvelles technologies en général connaîtront un développement accéléré au Maroc dans les prochaines années. Un fonds spécial est créé à cet effet, mobilisant pour commencer quelque 500 millions de dirhams pour favoriser l'implantation de l'Internet dans les écoles, les lycées, les instituts et les collèges. Un programme qui concerne environ 8.600 établissements, 6 millions d'élèves appelés à consulter la toile à raison minima de 2 heures par semaine.Annonçant également l'arrivée au Maroc de la troisième génération du mobile, avec ses caractéristiques et ses offres en tree-play, il a déclaré qu'au niveau des établissements scolaires quelque 40.000 PC sont d'ores et déjà déployés.Diplomatie économique et tourismeL'ambassadeur Mehdi Mimoun, jusqu'à l'année dernière en poste à Pékin, s'est appliqué, lui, à mettre en relief les efforts que l'administration marocaine déploie pour développer la «diplomatie économique» et, ce faisant, se mettre à jour en ce qui concerne les nouvelles technologies. Son intervention, suivie et relayée par une discussion, a porté sur la nécessité de mettre à la disposition des investisseurs étrangers les moyens d'information économique nécessaires, via l'Internet et l'e-marketing.L'avenir de l'offshoring et du tourisme en dépend à coup sûr. L'exposé de Othman Chérif Alami, émaillé d'humour et de détails chiffrés, a retracé le parcours du tourisme marocain à la lumière de cette nouvelle révolution, le e-marketing qui déferle sur les continents et dont le tourisme marocain ferait bien de prendre l'exacte mesure. C'est dire que les prestations du tourisme se font désormais par le biais de l'Internet et qu'en amont, une grande campagne de e-marketing les précède. A l'évidence, on rejoint, dans ce panel, les recommandations de Thomas Paul Stevenson et Parnell Woodard qui n'ont de cesse de souligner que le e-marketing ne remplace pas le marketing, mais qu'il faut «créer une convergence» entre les deux impératifs, la demande et l'offre.Chérif Alami est allé droit au but : «le tourisme, dit-il, est le premier secteur présent sur le web. 70 % des transactions se font par le net, 84 % des réservations de billetterie, 78 % des réservations d'hôtels, 60 % des réservations de location de voiture, 33 % des billets de spectacles et plus de 47 % consultent les sites des agences de voyages et des Tour Operators…». Et l'humour toujours chevillé au corps, Othman Chérif Alami de prévenir : «ceux qui choisissent d'ignorer les transactions électroniques le font à leurs risques et périls…Ils seront dans la position "lost destination mais pas dans easy destination"». Selon lui, la Vision 2010 n'a pas encore intégré complètement le Net, parce que le problème du retard de paiement online sécurisé n'a pas encore été réglé pour les entreprises, quand bien même un projet de loi à cet égard serait en discussion parlementaire et que quelques banques sur place - lancées dans la dématérialisation documentaire et l'authentification de la signature électronique -, opérant aussi leur propre révolution en la matière, le mettent en œuvre… Outre le haut débit et la sécurité de paiement électronique, les opérateurs du tourisme réclament également, dans le cadre de leur restructuration technologique, des taux compétitifs des coûts financiers, la possibilité d'offrir des solutions B2B et B2C vingt-quatre heures sur vingt-quatre, la participation à la mise en œuvre de l'e-promotion 2010-2020.Vendre c'est bien, mais être payé c'est encore mieuxMme Nezha Lahrichi s'est appliquée quant à elle à présenter le modèle de site web installé par la SMAEX, qui est autant un promoteur qu'une véritable niche d'opportunités pour les opérateurs et exportateurs. La Société marocaine d'assurance à l'exportation s'adapte et adapte sa démarche au phénomène de la mondialisation – dont l'e-commerce incarne le «bras armé». «Mondialisation et Internet sont liés», assure-t-elle et l'exportateur est forcément à l'écoute du monde, il en bénéficie.Dans sa quête d'informations sérieuses, il recourt à l'Internet parce que celui-ci bouscule désormais l'organisation mondiale, au niveau du commerce, de la productivité, et décompose la traditionnelle chaîne de valeurs. «On entre désormais dans un segment de l'intelligence» ! Parce que l'Internet baisse les barrières traditionnelles et parce qu'on a affaire aujourd'hui à une nouvelle race d'investisseurs. La mission de la Smaex est de garantir la pérennité aux exportateurs, car «vendre c'est bien, mais être payé c'est encore mieux..» conclut-elle.Nezha Lahrichi, qui n'a pas quitté son accoutrement de professeur d'économie mais qui est tout autant sensible à l'évolution du monde, appelle à une véritable veille économique, dans cette tradition nouvelle qu'on appelle «l'intelligence économique», et souligne que c'est là le rôle de son agence qui compte quelque 18.000 entreprises. L'exposé de Mohamed Kettani, directeur général de Attijariwafa bank, concluait en apothéose une journée de réflexion riche et dense. La banque, qu'elle soit publique ou privée, est plus que jamais interpellée.Et Attijariwafa bank a d'ores et déjà anticipé le mouvement dans l'instauration de règles d'une culture de la toile pour les clients et les investisseurs, d'innovations technologiques et de partenariats en la matière. Il revenait à Noureddine El Hachami de clôturer un forum dont les interventions, les unes aussi riches que les autres, se sont succédées et croisées dans une logique didactique. Le choix du thème, «Le e-marketing au service du développement économique du Maroc» constitue une opportunité indéniable et inédite pour les opérateurs et les universitaires. Il a valeur de symbole parce qu'il ouvre de nouvelles perspectives aux modèles de gestion. Quatre millions d'internautes au Maroc ! C'est dire le poids croissant d'une émergence sociale réelle. La Fondation ONA a assumé une mission de pédagogie collective, donné la possibilité aux uns et aux autres d'entrer dans cette sphère de la technologie la plus exigeante, d'accéder enfin au processus de gestion technologique qui caractérise le nouveau monde avec son pendant naturel, une démocratie mondiale à la mesure des performances économiques globalisées.

Marketing en ligne : Netbooster prend la direction de la Bourse


L'agence dédiée au search marketing vise une place sur Alternext. Elle a scellé plusieurs partenariats pour étoffer son réseau.
Philippe Guerrier,
VNUnet.fr 02.06.2006
Dotée d'une nouvelle direction et d'activités plus diversifiées,
Netbooster cherche à disposer de leviers financiers afin d'accompagner son développement. D'où sa volonté de déposer sa candidature sur le segment Alternext d'Euronext Paris. Dans le meilleur scénario, le passage en Bourse pourrait survenir avant le début de l'été.
Historiquement, depuis sa création en 1998, l'agence s'est positionnée comme un spécialiste du référencement Web. Dorénavant, elle se tourne dorénavant vers des activités plus larges liées au marketing interactif, qui comporte des dimensions de génération de trafic, d'affiliation et toujours un peu de référencement. "Nous ne disposons pas de compétences techniques de type SSII. En revanche, nous sommes aptes à répondre à la définition d'un cahier des charges pour le pilotage marketing", explique Pascal Chevalier, Directeur général de Netbooster.
La société a développé des outils pour mesurer l'efficacité de leurs campagnes comme les logiciels ROI Platform et Netbooster Visibility Platform. Elle affiche une base de données de 600 clients en France. Le site Internet de l'agence donne quelques références comme Danone, Nestlé, Procter & Gamble, La Poste, Pixmania.com ou M6.fr.
Dévelopement européen
Cette mutation de Netbooster a été facilitée par la mise en place fin 2004 d'une nouvelle équipe de managers. Après le départ de Jean-Pierre Eskenazi, le fondateur de Netbooster, qui souhaitait prendre du recul, Pascal Chevalier et Stéphane Darracq, qui occupe le poste de directeur financier, ont pris en main les rênes de l'agence. Quant à Emmanuel Brizard, il a rejoint Netbooster en tant que président en février 2006 pour aider la société dans la procédure d'introduction.
Le groupe Netbooster, qui dispose de relais au Royaume-Uni, Allemagne et en Espagne (l'Italie devrait suivre dans le courant du deuxième semestre), emploie désormais 65 personnes. Il prévoit de recruter une cinquantaine de personnes "pour accompagner sa forte croissance" en Europe dans les 18 prochains mois. La société communique un chiffre d'affaires en 2005 de 8,9 millions d'euros, en progression de 70% par rapport à l'année précédente.
Mais, auparavant, les comptes étaient marqués par un niveau d'endettement élevé. "En 2004, la situation était encore tendue. Mais, en janvier 2005, Stéphane Darracq et moi-même avons réalisé un apport de cash significatif dans la société par augmentation de capital, puis un plan drastique de réduction des coûts et enfin un net effort sur le commerce", explique Pascal Chevalier. "Tout cela nous a permis de retrouver fin 2005 une situation bénéficiaire, des fonds propres positifs et un endettement redevenu normal", rajoute-t-il.
Réseau étoffé
Récemment, Netbooster a procédé à quelques prises de participations pour acquérir des compétences complémentaires : le groupe détient 20% de l'agence Internet
Reverso et 50% de Buzz-Lemon spécialisée dans le marketing viral. Le réseau de partenariats s'étoffe au fur et à mesure : ainsi, Netbooster a noué des liens avec la nouvelle agence de communication La Chose, co-fondée par Eric Tong Cuong (ex-président d'EMI France et ancien président d'Euro RSCG BETC).
Un rapprochement qui se traduit par une prise de participation de 5% de La Chose dans Netbooster. "C'est une opération capitalistique symbolique. Nous avons besoin d'interlocuteurs dans le monde du off-line et, à l'inverse, La Chose a besoin d'appuis pour ses développements Internet", indique Pascal Chevalier. Toujours un souci de complémentarité.

2006-05-25

Le français Cdiscount, filiale de Casino, a annoncé avoir racheté 50% de Discount24


Le français Cdiscount, filiale de Casino, a annoncé avoir racheté 50% de Discount24, filiale du groupe allemand Otto, numéro deux du commerce en ligne de détail dans le monde derrière Amazon", révèle aujourd’hui le L’Expansion. Discount24, qui sera désormais dirigé par un directeur général nommé conjointement et administrée par un conseil de surveillance paritaire composé de 4 membres, sera détenu à 50-50 par Otto et Cdiscount. Créé en 2000, Discount24, qui intervient dans les secteurs de l'informatique, de l'image et du son, de la photographie, de l'électroménager, de la mode et de la maison, affiche un chiffre d'affaires en ligne de 3 milliards d'euros. "Nous allons développer en Allemagne, qui est le marché européen le plus compétitif, un modèle qui a porté ses fruits en France", a déclaré Hervé Charle, cofondateur de Cdiscount.
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Quarterly retail e-commerce sales : 1st quarter 2006

U.S. Census Bureau, mai 2006.
Depuis le mois d’octobre 1999, l’enquête Monthly Retail Trade Survey (MRTS) de l’U.S. Census Bureau demande aux quelque 11 000 entreprises qui composent un échantillon représentatif de l’ensemble des détaillants américains, d’indiquer le volume des ventes qu’elles effectuent de façon électronique. Ces ventes peuvent avoir été conclues par le biais d’Internet, d’un extranet, de l’EDI, ou d’un autre système électronique branché. Le paiement des produits peut avoir été fait – ou non – en ligne. Les données sont présentées de façon désaisonnalisée et sont également ajustées selon les jours fériés et les jours de bourse.
Quelques résultats : Le commerce électronique des entreprises américaines du secteur du détail a généré des ventes totalisant 25,2 milliards de dollars U.S. au premier trimestre de 2006. Il s’agit d’une augmentation de 7,0% par rapport au quatrième trimestre de 2005 et du plus haut niveau de ventes jamais atteint depuis 1999. Notons que ces ventes représentent 2,6 % de l’ensemble des ventes totales du commerce de détail (« hors ligne » et en ligne), celles-ci étant estimées à 976,1 milliards de dollars U.S.
Comparativement aux résultats obtenus l’an dernier, soit au premier trimestre de 2005, les ventes électroniques ont augmenté de 25,4%.
Les résultats non ajustés indiquent quant à eux une baisse des ventes au détail en ligne. En effet, les ventes du premier trimestre de 2006, qui totalisent 24,5 milliards de dollars U.S., ont diminué de 9,4% par rapport au quatrième trimestre de 2005. Les ventes en ligne du premier trimestre représentent 2,7% de l’ensemble des ventes totales du commerce de détail.
Depuis un an, soit depuis le premier trimestre de 2005, les ventes en ligne non ajustées ont crû de 25,6%.
Le tableau suivant présente l’évolution du pourcentage des ventes en ligne par rapport aux ventes totales de commerce de détail.
Source(s): Étude
Étude(s) connexe(s): U.S. Census Bureau

2006-05-24

Formation continue : SupDeCo Toulouse lance son Badge pour e-Commerce

Politiques publiques


« De nombreuses PME, et plus seulement les grands groupes, ont compris qu'elles pouvaient créer des services additionnels à valeur ajoutée via Internet, pour leurs clients, prospects et collaborateurs. Un besoin de formation de leurs cadres se fait donc de plus en plus sentir pour intégrer ces nouvelles compétences, tant d'un de point de vue technologique que managérial ou de gestion », explique Joël Echevarria, Directeur Développement Marketing et Partenariats de l'Ecole Supérieure de Commerce de Toulouse.

Pour répondre à ce besoin, l'ESC Toulouse lance à la rentrée 2006 la formation " Marketing, Internet et e-Commerce". Ce nouveau cursus, à suivre dans le cadre du pôle de formation continue Capitolis, reçoit le label "BADGE", pour "Bilan d'Aptitude Délivré par les Grandes Ecoles". «
Ce nouveau label a été créé dans le cadre de la conférence des grandes écoles pour permettre à des personnes en activité d'acquérir des compétences complémentaires sans perturber leur rythme de travail. En effet, le volume horaire n'implique jamais plus de deux jours consécutifs de présence chaque mois. Et de plus l'enseignement est réparti entre mode présentiel et e-learning, 2/3 et 1/3 dans notre cas. Autre intérêt : il est possible de capitaliser deux cursus labelisés BADGE dans le même domaine afin d'obtenir un master. », précise Joël Echevarria. Ainsi, en choisissant deux cycles BADGE parmi les suivantes " Métier : MANAGER ", "Développeur d'activité commerciale", " Marketing, Internet et e-Commerce" et " Marketing, logistique et achats en business to business ", il est possible de prétendre au Mastère spécialisé " Marketing, Management&Communication ".

Sur la durée d'une année, l'apprenant qui suivra le cursus " Marketing, Internet et e-Commerce" devra être présent dans les locaux de SupDeCo Toulouse 28 jours, et 10 jours environ en e-learning. Le spectre de compétences est proposé au travers des modules suivants, outre quelques rappels et prérequis : "Veiller sur son marché via Internet", "Utiliser les outils TIC pour le Marketing" (avec notamment un focus sur l'email-marketing), "Savoir référencer un site", "Savoir vendre en ligne", "Créer et gérer le site au quotidien", "Savoir convertir le visiteur du site en client" et " Comprendre les aspects techniques d'un site".

La première promotion sera limitée à 12 stagiaires. Le coût de la formation a été fixé à 6500 euros net, dont une partie peut être prise en charge dans le cadre de financements par l'entreprise (CIF,...).
Les TIC à L'Ecole Supérieure de Commerce de Toulouse
Rappelons que l'ESC Toulouse prodigue plusieurs autres cycles de formation orientées vers les Technologies de l'Information :
- le cursus Bachelor (1er cycle) comporte une option "informatique de gestion et e-commerce" (précédemment formation dénommée EGCI à Entiore),
- une option de 3 ème année dans le programme général de l'ESC Toulouse est intitulée " Managing the Digital Enterprise " : formation en anglais consacrée à la mise en place de solutions Internet dans l'entreprise
- le Mastère spécialisé "Management et Ingénierie des Systèmes d'Information"
- le Mastère spécialisé "Marketing, Management et Communication", qui intègre une large partie sur les TIC. (dont une partie formalisée par le BADGE Marketing, Internet et e-Commerce
Enfin, dans le périmètre du groupe ESC, à l'IPC (Entiore) :
- l'Institut de Management et Systèmes d’Information (niveau II)
- l'Institut de Négociation Informatique (niveau III)

Au total, ce sont près de 200 étudiants qui recoivent chaque année une formation aux TIC à l'Ecole Supérieure de Commerce de Toulouse. Son chiffre d'affaires s'établit en 2005 à environ 29 millions d'euros. Et le nombre total d'étudiants atteint les 3000 auxquels il faut ajouter environ 1500 stagiaires.
Frédéric Dessort ,
MID e-NEWS
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2006-05-14

E-commerce : des profits tout sauf virtuels


Valérie Collet 13 mai 2006, (Rubrique L'actualité économique)Cette année, son chiffre d'affaires frôlera 10 milliards d'euros, après 7 milliards en 2005. Une manne qui échappe pour beaucoup aux groupes de distribution traditionnels. LES MAMMOUTHS de la distribution n'ont pas l'intention de se laisser écraser. Si le commerce en ligne profite d'abord aux vedettes de l'Internet et de la vente à distance comme Amazon ou eBay, les enseignes traditionnelles du type Auchan, Carrefour ou Leclerc préparent leur riposte. Carrefour dégainera le premier, le 19 juin. Le leader de la distribution lance son premier magasin virtuel. Il proposera des meubles, des livres, de la musique, des produits high-tech... mais pas d'alimentaire.
Il était temps. En 2005, l'e-commerce a dégagé un chiffre d'affaires de 7 milliards d'euros en France, deux fois plus qu'en 2003. Ce montant représente seulement 3% du commerce de détail non alimentaire de l'Hexagone. Mais la montée en puissance du commerce électronique se poursuit : d'après l'étude annuelle de Benchmark Group, en 2006, le volume d'affaires devrait approcher 9,5 milliards d'euros. «C'est la première fois que le commerce sur Internet parvient à maintenir son niveau de croissance d'une année sur l'autre», observent les analystes de la société d'études.
Ceux qui tirent le mieux leur épingle du jeu ne sont pas les rois de l'hypermarché. «Les géants de l'Internet comme eBay ou Amazon ont vraiment créé une nouvelle manière de consommer, estime Kristin de Walk, professeur de marketing à HEC. En revanche, les grandes enseignes possèdent des atouts précieux : elles jouissent d'une grande crédibilité auprès du public qui hésite encore à payer ses achats en ligne.»
Les «pure players» en position de force
Outre le voyage qui continue de caracoler en tête du palmarès des produits les mieux vendus sur Internet – voyages-sncf est le 2e site le plus visité en France – le matériel high-tech et les produits culturels fléchissent légèrement selon le Benchmark Group. D'autres secteurs réalisent une percée et tirent la croissance : les cosmétiques et l'équipement de la maison. Par ailleurs, de nouvelles idées sont apparues comme ventes-privee.com dont le concept de club en ligne remporte un vif succès.
«A part la Fnac, La Redoute et la SNCF, les sept grands leaders de la vente en ligne sont des «pure players» d'Internet, explique Henri de Mautblanc, le président de l'Acsel. Auchan a certes réalisé des acquisitions dans ce domaine avec Grobill et, de son côté, Casino possède Cdiscount mais les grands distributeurs ont pris du retard.» S'ils veulent rester dans la course, il leur faudra peut-être acheter des marques vedettes de la Toile ou suivre très vite le chemin de Carrefour...
Car les jeunes, particulièrement friands d'achats en ligne, sont les consommateurs de demain : «Ne disposant pas toujours d'une indépendance financière ou d'un pouvoir d'achat conséquent, leur consommation en ligne demeure modeste», nuance Marc Mironneau, analyste de Benchmark Group. En vieillissant, cette population ne peut que favoriser l'essor de ce mode de distribution.

France, deux fois plus qu'en 2003. Ce montant représente seulement 3% du commerce de détail non alimentaire de l'Hexagone. Mais la montée en puissance du commerce électronique se poursuit : d'après l'étude annuelle de Benchmark Group, en 2006, le volume d'affaires devrait approcher 9,5 milliards d'euros. «C'est la première fois que le commerce sur Internet parvient à maintenir son niveau de croissance d'une année sur l'autre», observent les analystes de la société d'études. Ceux qui tirent le mieux leur épingle du jeu ne sont pas les rois de l'hypermarché. «Les géants de l'Internet comme eBay ou Amazon ont vraiment créé une nouvelle manière de consommer, estime Kristin de Walk, professeur de marketing à HEC. En revanche, les grandes enseignes possèdent des atouts précieux : elles jouissent d'une grande crédibilité auprès du public qui hésite encore à payer ses achats en ligne.»

Le Pro de l'achat malin sur le net

L’audience e-commerce au 1er trimestre 2006

Médiamétrie//NetRatings propose le classement de l’audience e-commerce au premier trimestre 2006. Dans le Top 15 des sites e-commerce les plus visités en France, eBay est premier avec 11 045 000 visiteurs uniques. En second, voyages-sncf avec 8 736 000 visiteurs uniques et en troisième Cdiscount avec 8 142 000 visiteurs uniques. Sur le premier trimestre 2006, près de 8 internautes sur 10, soit 79,3 %, c’est-à-dire 17 365 000 visiteurs uniques ont consulté au moins un des sites du Top 15.

En ce qui concerne le Top 5 des sites e-commerce de "Voyages/Tourisme" les plus visités en France, voyages-sncf est en tête avec 8 736 000 visiteurs uniques, suivi de Lastminute avec 3 681 000 visiteurs puis Expedia avec 2 981 000 visiteurs uniques. Médiamétrie-eStat rappelle que "sur le premier trimestre 2006, près d’un internaute sur deux (48,6 %), soit 10 636 000 visiteurs uniques, ont consulté au moins un des sites "Voyages/Tourisme" du Top 5. On constate une progression de 19,2 % en termes d’audience par rapport au premier trimestre 2005 (8 921 000 visiteurs uniques").

Enfin, dans le Top 5 des sites e-commerce de "Vente Privées" les plus visités en France, vente-privee.com est numéro un avec 3 685 000 visiteurs uniques. En second, achatvip.com avec 1 799 000 visiteurs et enfin, surinvitation.com avec 1 240 000 visiteurs. Là encore, sur le même trimestre, près d’un quart des internautes (23,4 %), soit 5 110 000 visiteurs uniques ont consulté au moins un des sites de ventes privées du Top 5.

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